The older brother

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Clarke

Je termine mon entraînement et rejoins les douches pour enfin passer sous l'eau glacer.

Le beau temps et enfin de retour en ville, le soleil brûle légèrement nos peau depuis quelques jours.

Les cheveux tremper je sort des vestiaires et tombe face à face avec une blonde que je reconnais
- malheureusement -

— Salut, Allen.

La voix d'Aria m'appelant par mon nom de famille résonne dans ma tête.
Cela fait plus de deux semaines que nous sommes ensemble, pas officiellement car nous préférons rester discret.
C'est notre secret, à nous.

— Nelly, la saluer-je sèchement.

Je m'apprête à partir mais elle m'arrête en attrapant mon avant bras.

— Qu'est-ce que tu fait ce soir ?

Je lève les yeux au ciel.

— Je suis occupé.

— Demain ?

— Écoute Nelly, on devrais arrêter de ce voir.

— Pourquoi ça ?

Elle s'avance mais je recule. Je remarque ces sourcils ce froncer en louchant sur quelques choses dans mon dos.

Lorsque je me tourne je la vois, enfin.

Aria et debout à quelques mètres de moi.
Elle et belle, elle m'a manquer.
Je ne l'es pas revue de la journée et j'ai bien ressenti ce manque.

— Je dois y aller.

— Attend. C'est à cause de cette.. meuf banale que tu ne veux plus continuer à me voir ?

Je ne répond pas en m'éloignant d'elle pour rejoindre celle qui compte réellement.

— Ouais, c'est à cause d'elle, exactement.

Je pose un bras autour des épaules de ma rouquine préférée en souriant puis nous partons.

— Salut.

— Salut, me répond-elle en souriant.

Nous échangeons un baiser rapide pour ensuite rejoindre ma voiture.

Devant la maison, je l'arrête avant qu'elle ne sorte de la voiture pour lui annoncer quelque choses.

— Ce soir, on sort.

Elle sourit.

— Tu veux dire qu'on a un rendez-vous ?

— On a un rendez-vous, affirme-je.

— Ou va t'on ?

— C'est une surprise.

Elle lève les yeux au ciel.

Ça tête pivote dans tout les sens en observant l'extérieur pour être sur qu'il n'y es personne puis elle m'embrasse rapidement.

— Comment je dois m'habiller ?

— Simplement, comme tu est habiller en ce moment ça fera l'affaire.

— D'accord.. alors, tu passe me prendre ? Sourit t-elle.

— Je serais devant chez toi à dix-neuf heures précise.

— Parfait, a ce soir, Clarke.

— A ce soir, Aria.

Elle affiche un dernier sourire ravie avant de quitter le véhicule et rejoindre la maison.
Je la contemple quelques secondes avant qu'elle n'entre dans la maison et mon coeur bat la chamade à travers ma poitrine.

Ressaisis toi, idiot ! S'exclame une voix dans ma tête.

Je suis officiellement fou de cette fille.