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Aria

Cela fait trois jours que je suis allonger dans ce lit d'hôpital, je ne peux même plus sortir prendre l'air les médecins me l'interdisent.

Je suis une adolescente qui aura bientôt seize-ans et depuis mon réveil il y'a trois jours, je suis orpheline.

Les services sociaux ou je ne sais qui vont surrement me mettre dans un foyer ou je devrais rester jusqu'à ma majorité.

A cette pensé une larmes solitaire coule sur ma joue. Je n'arrête pas de pleurer, c'est sans cesse.

Ma maman et ma grande soeur sont mortes.

C'est moi, qui aurais dû mourir à leur place.

Ma soeur avait un avenir, son rêve était de devenir avocate.
Elle devait passer son diplôme dans quelques mois pour faire de son rêve une réalité.

Ma mère elle était professeur dans le lycée où j'étudiais.
Elle était tellement gentille avec tout ces élèves.

Et moi, je ne suis pas à la hauteur.
Je ne mérite pas de respirer alors que les battements de leurs cœurs ont cesser.

Je sort de mes pensées lorsque la porte de ma chambre s'ouvre.

Les joues recouverte de larmes et le visage rougit ma meilleure amie entre dans ma chambre.

— Salut.

Je m'effondre en larmes.

Ellie s'approche de moi et s'installe sur le bord du lit elle attrape ma main dans la sienne.
Nous pleurons toutes les deux sans pouvoir être consoler de notre chagrin.

Ellie et mon amie depuis qu'elle et ça famille ont déménagé ici, au Texas après avoir quitter New York.
Nous nous sommes rencontrés au Lycée l'hors de son premier jour, depuis ce jour nous ne nous sommes plus séparés.

Je relève les yeux et remarque que Annabelle la maman de ma meilleure amie et elle aussi présente.

Elle me sourit tristement en effaçant rapidement une larmes.

— Je suis tellement désolé, Aria.

Annabelle est une femme très chic, coiffer d'un chignon bas et habillé d'un tailleur blanc elle s'approche de moi et me serre dans ces bras.

Elle et ma maman était amie.
Pas autant qu'Ellie et moi mais elles s'apprécier énormément.

Je reste silencieuse tout en gardant Annabelle et Ellie dans mes bras.
Nous restons ainsi de longues minutes et leurs parfum m'apaise.

Annabelle ce sépare de moi puis affiche un petit sourire.

— Aria, tu va venir vivre chez nous.

Interloquer, je fronce les sourcils vers ma meilleure amie.

— Des policier nous ont dit qu'ils allait te placer dans un foyer pour adolescents..orphelin, annonce cette dernière gêner.

— Il est hors de question que l'on t'abandonne, tu vivra donc chez nous, termine Annabelle.

— Annabelle tu-

— Je ne pourrais pas remplacer ta maman mais laisse-moi te mettre à l'abris, jamais je ne te laisserais dans un foyer alors que nous pouvons être a tes côtés dans cette épreuve.

Je sourit timidement à la maman de ma meilleure amie en hochant la tête pour accepter leur proposition.

Le médecin me donne la possibilité de quitter cet hôpital dans deux jours.

Les quelques blessure sur mon visage devront guérir rapidement.

J'ai mal au coeur de pensé que je ne rentrerai pas chez moi, avec ma mère et ma grande soeur.

La douleur que mon coeur ressent, elle ne pourra jamais guérir.

The older brother Où les histoires vivent. Découvrez maintenant