𝟏𝟐.

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Bonjour, salam !
Bonne lecture...












𝟏𝟐.







R I Y A D :






Moi : chuchote Yara ? Tu dors ?

Je suis même pas étonné pour vous dire. Je la secoue, et elle fini par ouvrir les yeux. Elle se redresse, et s'étire.

Le film est déjà fini depuis trente minutes mais je voulais pas la réveiller, donc je suis resté sur mon téléphone. Mais même moi je commence à être ko donc il serait tant de rentrer.

Elle se lève, et plie le plaide. Je me lève également, et attend qu'elle ai fini. Elle marche jusque sa chambre, suivis par moi car c'est très probable qu'elle tombe, et entre. J'attend à l'encadrement, tandis que elle prend Amara dans ses bras.

Elle me regarde, et fini par dire :

Yara : Je... je vais enlever mon voile.

Moi : Ok pardon. Bonne nuit.

Je lui sourie, et fini par quitter les lieux. J'entre chez moi, et gagne ma chambre.

Je pense déménager dans pas longtemps. Premièrement parce que grand mère a besoin de son intimité elle aussi, et puis parfois elle ne fait pas certaines choses car je suis là. Et ensuite parce que cette appartement me rappel trop de mauvais souvenir. Mais bon.

Je m'allonge et fixe le plafond. J'ai pas envie de dormir mais je suis vraiment fatigué.

Je fini par me lever, mettre mon pantalon de pyjama et un t-shirt, m'allongeait sur le lit et me recouvrir d'une couverture.


Quelques heures plus tard...


Je me réveille en sursaut. Mon cœur ainsi que mon corp me fait mal. Trop mal.







Y A R A :







Je me réveille en sursaut.

Je me redresse et calme ma respiration. J'ai un mauvais presentiment. Il va se passer un truc c'est sur.

Je me lève et rejoins la salle de bain pour me rafraîchir. Je passe de l'eau sur ma nuque, et m'essuie avec une serviette. Une sensation désagréable traverse tout mon corps.

Sans même réfléchir, je prend un voile et le met en prenant mes clés. Je sors pied nu, et tente d'ouvrir sa porte. Mais en vain. Pour cause, le stresse et la peur, ma main tremble ce qui fait que je n'arrive pas à l'ouvrir.

J'inspire, expire, puis ouvre la porte. Limite, je court jusque sa chambre et ouvre la porte.

La vue qui s'offre à moi me fait mal.

Il est debout, sa main droite sur le mur tandis que sa main gauche est sur son cœur. Il est tout transpirant, sa respiration est saccadé et courte. Ses yeux sont larmoyants tandis que sa mâchoire est contractée.

Je me précipite vers lui et prend sa tête entre mes mains. Je l'incite à s'assoir par terre, contre le mur, tandis que moi, je suis sur les genoux devant lui.

"𝐔𝐧𝐞 𝐯𝐢𝐞 𝐚𝐭𝐲𝐩𝐢𝐪𝐮𝐞"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant