𝟏𝟒.

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Bonjour, salam !
Bonne lecture...











𝟏𝟒.








Y A R A :







Quelques jours plus tard...

14 février






Je prend mon sac et sort de la suite.

Aujourd'hui je vais faire une sortie toute seule comme Liliane est parti rendre visite à son amie.

Je marche jusqu'au Vieux port, et me pose dans un café. Je commande, et sort mon livre de mon sac. J'aime bien lire en prenant mon café, ou mon thé.

L'atmosphère calme et reposante apaise mon cœur devenu plus dur au fil du temps. Ce cœur, que personne n'a pris soin de chérir depuis quelques temps - pas même moi, cesse de rire et sourire. Il cesse d'exploser de joie, d'en partager et d'en recevoir.

Mais comment lui en vouloir. Ce petit bout de bonheur, que j'avais réussi à toucher et savourer, est aussi vite arriver que parti. Durant les moments où il comblait ce cœur, il prenait en couleur et en vivacité. Son apparence était immédiatement embelli, et ses pensée était aussi tôt positive.

« Prend soin de toi ok ? »

Je suis sincèrement désolée, mais si en parlant de prendre soin de moi, tu parles de protéger mon cœur de toi, et bien c'est peine perdu.

Au bout de quelques minutes de lecture, un homme se présente devant moi. Il est grand, blanc de peau, mais c'est un maghrébin. Il a des yeux vert, qui sont super beau d'ailleurs.

Moi : ...Oui ?

? : Je t'observe depuis tout à l'heure, et ça te dit de me passer ton numéro ?

Moi : Je suis mariée.

Lui dis-je en en mettant en évidence ma main gauche où orne la bague de ma tante que j'ai retrouvé il y a quelques jours.

? : Ah ok, chuchote clocharde.

Dit-il en repartant.

Je fronce les sourcils face à cette audace, fini mon café, et paye. Les gens sont... bizarres et audacieux. Au vu du beau soleil, je prend un vélo qui est mis à disposition, et part pour une balade en passant par un parc, une place, et le centre commercial.

Une fois ma balade fini, je rentre et prépare ma valise. Demain, nous rentrons à la maison malheureusement. Ça m'a fait du bien de partir un peux.


Quelques jours plus tard...

24 février


Je met mon pyjama et m'allonge sur le canapé.

Il me manque un truc. Et tout le monde sait que c'est lui. Il me manque vraiment. Mes journées sont monotones et maussades. Elles ne riment à rien, encore une fois. Maison travail dodo. Rien de plus rien de moins.

"𝐔𝐧𝐞 𝐯𝐢𝐞 𝐚𝐭𝐲𝐩𝐢𝐪𝐮𝐞"Où les histoires vivent. Découvrez maintenant