Chapitre 16

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"-Mais vous êtes sérieux ? Vous allez passer le début de la nouvelle année avec des vieux ?
-Merci. Ricane sa sœur. Ça fait toujours plaisir.
-Avou que tu as besoin d'un majeur pour vous faire rentrez en boîte Gabin.
-C'est possible et que j'ai réservé une table à ton prénom.
-Tu te fous de ma gueule, là ?!
-C'etait le seul moyen pour avoir un carré VIP.

Siméon lève les sourcils.

-Ok, on viens.
-Merci ma belle-sœur préférée de tout les temps ! S'eclame t'il en me sautent dans mes bras.

Son frère le détache de moi un peu brusquement mais je le remercie du regard.

-Tu as de la chance. S'il n'y avait que moi c'était mort. A 1h30 on est partis.
-1h30 ?! Mais...
-Tait toi. Le coupe t'il. Sinon en part à minuit trente.

Le garçon aux cheveux longs hoche vivement la tête avant de partir en sautillant. Je lui est sauvé sa soirée à lui et ces potes.

-1h30, tu es sérieux ? Rigole Quentin son beau-frère. La fête va battre son plein. Et tu ne te tape pas la soirée des vieux.

Sa femme lui tape le bras provoque les rires de tout le monde.

-C'est à quelle heure ? Je demande.
-L'ouverture va être pour 22h30/23h j'imagine."

Ah. Je n'ai jamais mis un pied en boîte de nuit, je ne penserai pas que ça commencerai si tard.

Le repas c'est passé dans une humeur légère avec les deux garçons.
Une fois avoir coiffé Gabin de deux belles nattes collés, je retourne dans la chambre pour me préparer. Siméon fait une petite sieste. Son léger ronflement m'indique qu'il est dans un sommeil profond. Je cherche comment m'habiller. Je finis par sortir un bodie, une jupe patineuse noir, des collent et des chaussettes hautes. D'un coup d'oeil derrière mon épaule je m'assure que le brun dort toujours. Je prends une grande respiration me donnent du courage et me déshabille.
Je sursaute quand une bouche ce pose sur mon épaule et qu'une main chaude carresse mon ventre. Sa bouche remonte sur mon coup pendant que sa main descend. Je sent son érection contre le bas de mon dos. Je suis terrorisé mais à la fois existé. On ne m'a jamais vu en sous-vêtements et ils sont horribles. Ces doigts ce faufiles sous ma culotte pour me carresser. J'arrête de respirer. Un doigt puis deux. Il plit légèrement les genoux pour frotter son érection contre mes fesses et c'est à ce moment là que je fais une crise d'angoisse, mon corps ce crispe et il doit le ressentir car il retire sa main a une vitesse folle.

"-Merde. Putain j'étais persuadé que je rêvais. Merde ! Putain excuse moi ! Merde Ambre...

Je n'arrive pas à bouger prise de sanglot incontrôlable. D'un mouvement il me retourne, examinent mon visage. Siméon attrape la couverture pour me découvrir.

-Je suis tellement désolée Ambre. Je pensais être dans un rêve. Putain de merde.

Il fait les cent pas dans la chambre, ce tirent les cheveux. Je reste debout comme une plante verte, pleurent envahit de souvenirs, d'horribles souvenirs qui percent mes nuits de cauchemars. Le brun revient à moi essuyent mes larmes de ces pouces posent son front contre le mien après m'avoir couverte de la couverture.

-Je suis le plus gros des connards. Je suis tellement désolée.
-Ca va... C'est juste que...
-Chute... Je sais...

Ces bras m'enlace par dessus la couette.

-Je suis désolée...
-Pardon ?! Jamais tu dois t'excuser ! C'est de ma faute seulement la mienne.
-J'en avais envie.

Je sent son coeur battre de plus en plus fort contre la ma joue.

-Mais la sentir si proche...
-Je comprends. Me coupe t'il. Je suis terriblement désolée si tu savais à quel point...

-Ca doit m'inquiéter que tu rêve de moi... Sexuellement ? J'ose demandais un rigolent après quelques minutes de silence."

Un rire gêné passe la barrière de ces lèvres avant qu'il ne me laisse me préparer. Depuis combien de temps pense t'il à moi de cette manière ? Sûrement depuis ce moment intime entre nous. Est ce que c'est normal que ça ne me terrorise pas ? Pourquoi j'ai chaud dans le bas ventre ? Je grogne de frustration avant de m'habiller.

Siméon toque , je lui indique qu'il peux entrer pendant que je le maquille. Il m'observe avant de ce laisser tomber sur le lit mais je le vois me regarder. Je lui souris lui montrent que tout va bien. Et c'est vrai tout va bien.

"-Est ce que Adrien Dunil à essayer de te recontacter ?

Mes sourcils ce fronces, surprise par la question. Je m'attendais à tous sauf à ça.

-Oui mais je ne lui est pas répondu. Il m'a contacté avec son téléphone personnel et je suis en vacances.
-Il pourrait t'intéresser ?
-Non. Je ne pourrai pas avoir le poste que j'occupe avec lui, je ne pourrai pas prétendre à être aussi "importante" dans les prises de décision. J'occupe un poste qui n'existe pas dans une autre boîte. Et je me plais vraiment à travailler avec toi. Pour toi.
-Et est ce qu'il te plaît personnellement ?
-Il est marié.
-Ca n'a pas l'air de le déranger.
-Où veux tu en venir ? Je demande en me retournent pour lui faire face.

Il ce redresse mollement, les pieds dans le vide.

-Il te trouve magnifique.
-Tu as fouiller dans mon téléphone ?! Alors tu devrais savoir que je n'ai pas répondu.
-J'ai juste vu la notification. Ça arrive souvent ?
-Seulement quand ont ce croisent. Mais il insiste pas, il envoie deux ou trois messages pas plus vu que je le lui répond jamais. Il reste cordial et poli.
-Il te plaît ?
-Non. Et je suis certaine qu'il a des facettes.

Ma plaisanterie ne lui arrache qu'un micro sourire. A t'il si peur que je quitte son entreprise pour la concurrence ? Jamais de la vie.

-Jamais ça ne m'a traverser l'esprit d'aller voir une autre entreprise Siméon.

Pourquoi me regarde t'il comme ça ?

-Qu'ais-je fais de mal ?
-Rien... Je... Écoute... Tout le monde pense qu'on est ensemble, j'aimerai qu'il ne ce face pas trop d'espoir sur une possible liaison sans vouloir t'offenser. Ne le prends surtout pas mal mai...
-Trop tard. Je le coupe froidement en reprennent mon maquillage sous son soupire.
-Tu comprends mal...
-Au contraire, j'ai très bien compris ne t'inquiètes pas.
-Non, je voulais seulement dire qu'il y a des phrases ou des mots qui peuvent être mal considéré et provoquer des quiproquos à annotations sexuelles auxquels tu ne pense pas...
-Je ne lui réponds jamais ne t'en fais pas, aucun quiproquo possible.
-Tu es très belle.

Je suspens mon mouvement s'estompage avec mon pinceau. J'ai le coeur qui bat vite et des petits trucs qui me chatouille le ventre.

-Merci..."

Largue moi avant Noël ! (Prochain)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant