Chapitre 20

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C'est agréable. Le soleil doit être haut dans le ciel pour qu'il me réchauffe le visage ainsi. Nous n'avons quasiment pas bouger de possible. Ma tête niché dans son coup. Sa main à glisser sous le tissu du sweat que je porte entrent en contact direct avec ma peau. La couette a fini sur nos pieds. Je l'ai entendu ronchonner et taper dedans. J'ai dû lui tenir chaud avec mon accoutrement et d'être collé à lui.
Ça fait longtemps que je n'ai pas aussi bien dormi. Peu mais bien. J'ai le malheur d'ouvrir les yeux le regard dirigée vers le bas. Je rougis instantanément. Merde. L'érection matinal sort de son jogging qui est descendu sur ces hanches.
Merde.Merde.Merde. Je fais quoi ?
Je gesticule pour me libérer de ces bras mais ça à l'effet inverse. Il pivote, emprisonnent, me collent son sexe contre le mien. J'ai chaud. Terriblement chaud. Il soupire de bien-être profondément endormi. Tout mon corps est en alerte mais ... Pas pour de mauvaises raisons, j'ai l'impression. Ça chatouille dans le bas de mon ventre et quand son sexe ce frotte au mien, une légère vague de plaisir que je ne connais pas me donne que ça recommence. Ça me surprend moi-même. Son souffle qui frôle la peau fine de mon coup me fait frissonner.

J'ai envie de lui.
Et ça me fait peur.
Mais pas du mauvais sens.

Je soupire et réussi à sortir de ces bras. J'attrape mon téléphone. Mauvaise idée. Ma mère n'est pas contente que je sois partie et sans le laisser de quoi manger ou de quoi ce payer à manger. Ingrate de fille que je suis. Que fait elle mes virements ? Bien sûr qu'elle va vouloir plus car " je suis la petite-amie de Siméon Justir". Je grogne me laissent tomber sur le dos oublient la présence de mon boss. Comment j'ai pu l'oublier et tomber sur ces couilles aussi brutalement ? Il jure ce plient en deux sous le réveil brutal et la douleur.

"- Je suis désolé ! Je voulais pas te faire mal ! Désolée !

Il souffle, enfonce la tête dans son oreiller toujours les mains dans le pantalon. Ces yeux ce posent sur moi retirent doucement ces mains.

-Desolée plus de peur que de mal mais ça surprend et le réveil est brutal.
-Desolée...
-Et si on arrêté de s'excuser, hein ?

Le brun ce redresse en position assise, droite son visage avant de me regarder. Mes yeux sont irrévocablement attiré par la forme de son sexe qui est dessiné sous le tissu fin. C'est la première fois que le sexe d'un homme m'attire.

-Arrête ça.
-Desolée.
-Ambre.
-Pardon.

Il ronchonne, laissent sa tête tomber en arrière contre le mur ferment les yeux. Est ce que je devrais le laisser seul ? J'ai l'impression qu'il essaie de contrôler sa respiration, ces sourcils ce fronce.

-A quoi penses tu ?
-A quoi doit ressemble ma grand-mère morte depuis qu'elle est enterrée.
-Mais pourquoi ?!
-Tu n'as vraiment mais alors vraiment pas envie de le savoir.
-Depuis quand tu décidé pour moi ?
-Depuis que je suis ton mec.
-Depuis quand en deux ans tu as décidé pour moi ?
-Trois ans et demi.
-Combien de fois en trois ans et demi as tu décidé pour moi... Bébé ?

Ces yeux s'ouvrent en grand et j'arrête de rire.

-Pardon c'était pas drôle.
-Tu t'es plus excusé aujourd'hui que durant ces cinq dernières années. 

Il attrape le coussin a côté de lui cachent son érection. Le brun souffle avant de plonger son regard dans le mien.

-Je vais aller me laver.
-Tu veux quelque chose en particulier à manger ?

Il mord son poing avant de souffler profondément encore une fois.

-Ca va ?
-Très bien. Merci.
-Tu as besoin que je face quelque chose pendant que tu te lave ?
-Tagueule.
-Pardon ?!
-J'ai une gole t'imagine même pas ! Plus tu parle plus elle deviens dur. Le seule truc que tu pourrais faire pendant que je me lave, je ne suis pas sûr que tu veuilles l'entendre. Ok ? Alors juste laisse moi.
-Oui, pardon. 

Je me lève honteuse mais une fois à la porte je fais demi-tour et grimpe sur le lit.

-Qu'est ce que tu fais ? Me demande mon patron alors que je m'installe sur mes genoux tout près de lui.
-Tu m'as dis que tu allais m'aider.
-Hein ?
-A surmonter la peur du sexe.
-Je vais jouir.
-Siméon s'il te plaît, je ne rigole pas...
-Je t'assure moi n'ont plus.
-Tu veux que je fasse quoi ?
-Tellement de choses que j'en ai la tête qui tourne.

Ces mains trembles. Son vêtements glissent sur ces cuisses après m'avoir demandé l'autorisation. Son sexe est... Beau ? Peux t'on le qualifier ainsi ?
Ça me tord le bide tellement que je ressens le désire de lui faire plaisir. De le toucher. Et par je ne sais quelle magie mon premier réflexe est d'embrasser sob gland. Il jure perturbé avant que je ne le prenne dans ma bouche. Hésitante de faire le lent mouvement. " Aspire en même temps" murmure t'il en me carressent le dos. Je fais ce qu'il dit le faisant râler de plaisir. "Plus vite" " prend tout s'il te plaît " "C'est parfait" "Oh putain ". Ces mains aggripent mes cheveux pour m'aider à avoir un rythme plus soutenu et de le prendre entièrement. Un premier liquide entre en contact avec la langue. Sa respiration est hiératique. Quand nos yeux ce croisent, il jure encore une fois enfoncent profondément son sexe éjaculent en plusieurs jets. Une fois qu'il eu fini d'éjaculer je me redresse, ces yeux me suivent et je lui offre un sourire timide.

"-Tu as...
-J'ai ?
-Bordel. Tu es incroyable Ambre.
-Merci ?

Siméon ferme les yeux avalent sa salive pour reprendre sa respiration.
Sa main m'attrape me forcément à tomber près de lui. Merde.

-C'etait si nul ?
-Quoi ?
-Tu.. Ton sexe. Je bégaie en lui montrent son sexe qui ce redresse déjà.
-C'est génial même super génial. N'est pas peur hein mais j'ai vraiment, vraiment envie de toi.
-Moi aussi.

Il ce redresse sur un coude.

-Serieusement ?
-Oui. Je voudrais que tu le fasse l'amour Siméon.

Ces yeux examine mon visage cherchent une once de plaisanterie. Mais non, je brûle de l'intérieur tellement que j'ai envie de lui.
Mes lèvres trouvent timidement les siennes avant que je ne retire les sweat qui me couvre pour accompagner ma demande. Il arrête soudainement de respirer à la vue de ma poitrine nue. Il hésite un instant avant de la toucher du bout des doigts. Mes tétons qui sont dressés dans sa direction semble l'impressionné. Siméon me demande silencieusement la permission que je lui accorde.  Sa bouche ce jette emprisonnent mon mamelon. C'est agréable. Une de ces mains malaxe l'autre pendant que ces doigts ce faufiles sous mon dernier vêtement. C'est humide entre mes cuisses, il glisse facilement deux de ces doigts dans mon sexe.

"-Je veux que tu es le plein pouvoir Ambre.

Il retire mon jogging avant de s'assoir et de m'inciter à venir vers lui. Mes sourcils se froncent sans comprendre ces paroles.

-Tu vas me faire l'amour Ambre. C'est toi qui décide comment ça ce passe d'accord. Tu arrête quand tu veux.

Tellement de mauvais souvenirs ce joues dans ma tête. Il n'est pas lui. Loin de là. Mon corps tremble mais je m'avance, sa main tien son sexe sur lequel je me glisse doucement. Les yeux dans les yeux. Ça ne me fait pas mal mais c'est étrange. Front contre front, à l'aide de ces mains sur mes hanches il me montre les mouvements à suivre. C'est agréable puis... Prennent ? Je ne sais comment l'expliquer. Tout mon corps est en proie à des sensations de plaisirs intenses. Je brûle. Je ne contrôle même plus ma voix mais ça n'a pas l'air de le déranger. C'est incroyable. Je vois flou quand un éclair de plaisir me foudroie a plusieurs reprises. Son bassin claque contre le mien. Siméon râle s'enfoncent entièrement m'offrent un liquide chaud et doux.

Largue moi avant Noël ! (Prochain)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant