Ady Black

Chapitre 24: Le bal de Noël

Scène de violence en gras si vous souhaitez la passé. 

Les jours suivant j'ai l'impression d'être une vraie loque. Je passe mon temps a pleurer. Mon cœur me fait mal. Je donnerais tout pour que Cédric revienne même si sa réaction me déçoit beaucoup. Pansy me raisonne à chaque coup de mou en listant les raisons pour lequel il est un "parfait connard". 

Quinze jours se sont écoulés depuis la nouvelle de ma grossesse. Je n'ai toujours rien dit a papa, ni à ma tante. J'ai envoyé une lettre a Tonks et a Sirius pour leur demandé conseil. Nous sommes le 15 Novembre, et je sort d'un cours de défense contre les forces du mal. Cédric m'évite depuis que je lui ai annoncé, je me dis que je ne lui manque pas et ca me brise une nouvelle fois le cœur. Je décide d'aller dans la cour, sur un banc. Je reste là un moment, à réfléchir. Le soleil commençait doucement à se coucher, un ciel orangé ornait le ciel, et je décide de reprendre le chemin de mon dortoir, quand je croise la route de Tomas, qui était en compagnie de deux autres amis à Cédric. L'un d'eux me tire par le bras jusqu'au fin fond de la cours, cachés derrière un immense buisson. 

-Alors comme ca tu veux gâché la vie de notre ami en lui faisant un enfant dans le dos ?! 

Puis tout se passe très vite. Je sors ma baguette afin de pouvoir me défendre, mais Tomas me la vole. Ils ont tous 17 ans, ils sont très grand et costaud. J'essaye de reculer, mais je suis prise au piège entre un mur et des buissons. L'un deux me fais voler dans les airs et me projette sur le mur. Avec l'élan, le choc est brutal. Je me mange d'abord le mur pleine tête, puis il me projette une nouvelle fois sur le mur, et je me blesse le bras. Mon front me fais mal et en passant ma main dessus, je sens et vois du sang. Je ne comprend pas trop ce qu'il se passe. Je suis fatiguée, et je n'ai aucun moyen de me défendre. L'un deux, leur dit que je suis blessée qu'ils devraient peut être arrêter, mais Tomas, avais de la haine dans ses yeux. Lui visiblement ne voulait pas en découdre. J'ai des douleurs de partout, a la tête et au ventre, je me lève et dans ma tête je ne vois qu'une option : courir. Mais le soucis, c'est que les trois dadais me bloque la route. Le roux, Julian, est celui qui avait l'air le plus gentil des trois. Je perd beaucoup de sang et il commence à paniquer, il leur dit d'arrêter et qu'ils doivent partir. Tomas, lui dit de partir et d'emmener le dernier du trio, qu'il s'occupera personnellement de moi. C'est chose faite, les deux amis me laisse avec Tomas. Ce dernier se jette sur moi et m'assène un grand coup de poing dans le ventre. J'ai la vision qui se brouille, et je crache même du sang. Le coup était tellement violent que j'ai beaucoup de mal à respirer. Tomas avait l'air plutôt satisfait de la correction qu'il venait de m'infliger, mes douleurs aux ventres s'intensifient et bien que je ne m'y étais pas préparé, j'ai peur à cet instant de perdre mon bébé. 

Mais Tomas me réservait visiblement autre chose, comme si les coups ne lui avait pas suffi, il s'approche de moi. 

-Je vais te montrer ce qu'on réserve aux salopes de ton genre. Tout le monde sait ce que tu fais de ton temps libre. 

Il enlève son pantalon et son caleçon, je recule. Mais il continue de s'approcher et me bloque entre le mur et le buisson. Ses mains se baladent sur mon corps, il déboutonne ma chemise en me caressant les seins et bien que j'essaie de le repousser il est nettement plus fort que moi et arrivent a me coincer. Il me dit " arrête de faire ta sainte nitouche je sais que tu le fais, tu la fais à Céd.. pourquoi pas à moi hein ? Allez je te dis" Mais je refuse, et visiblement ce refus ne lui à pas du tout plus. Il me déshabille de force, enlève ma jupe et ma culotte, et me pénètre d'un coup sec. J'ai mal, j'hurle et je pris pour que quelqu'un entende mes cris. J'essaie de me débattre, mais il continue d'accélérer. Le sang continuais de couler de mon visage et avec sa main, il m'empêche d'hurler en la mettant sur ma bouche. J'en viens a pleurer, en espérant qu'il finisse vite. Je peine à laisser mes yeux ouvert, ma vue se brouille, et je sens du sang qui coule sur mes jambes. Tomas finit son travail en moi puis râle car je saigne. Il se rhabille et me laisse là.