𝐀𝐬𝐭𝐫𝐨𝐧𝐨𝐦𝐲 | ℬ𝓁𝓊ℯ 𝓁ℴ𝒸𝓀 𝓍 ℛℯ𝒶𝒹ℯ𝓇

Chapitre 28

[ BLUE LOCK GAGNE ]
3-6

Dernier but marqué par Isagi et tout les journalistes étaient sur nous.

—  Il était tout seul ! Seul devant les cages, le joueur numéro 11 ! Cria le commentateur, Isagi Yoichi marque d'une frappe directe ! Le but de la victoire !

Ok.

Je soufflais, alors que la seule chose dont j'avais envie de faire était de me prendre un médicament. Ma vue se brouillait un peu, alors que je restais debout.

J'ai juste envie de me poser.

Soufflant un bon coup, je me fais prendre par un journaliste alors que je lui lançais un regard noir.

— Avez-vous quelque chose à dire sur ce match ? Demanda le journaliste, alors qu'il y avait tout les caméras sur moi et d'autre sur Isagi.

— Rien, j'ai montré ma capacité dans un match masculin. Les hommes et les femmes sont égaux, alors... je regardais la caméras, continuons à nous battre pour nos droits. Fin de l'interview, terminais-je, passant les journalistes alors que les micros se ruaient sur moi.

— Y/n Ego ! Allez-vous participer à la coupe du monde ? Demanda une journaliste, alors qu'ils me donnaient de plus en plus mal à la tête.

— Je sais pas mais si on me le propose, pourquoi pas, haussais-je les épaules, en levant les yeux ensuite.

— Aller vous reprendre vos activités après le match ? Renchérit un autre journaliste que j'ignorais.

— Une vrai star... rigola Karasu, voyant tout les journalistes sur moi.

— Pouvez-vous nous faire part de vos impressions juste après le match ? Commença une chaîne de télévision à Isagi, alors que tout les journalistes était rués sur nous.

— Comment avez-vous trouver ce match ? Demanda un autre journaliste, alors que je demandais à passer.

— Fin de l'interview, vous l'avez pas compris ? Fronçais-je les sourcils alors qu'ils portèrent enfin.

Ils viennent comme des animals, c'est une dinguerie.

Soufflant enfin, je me dirigeais vers les vestiaires, alors que je contrôlais même plus mes mouvements.

J'ai mal sérieusement.

— T'es sérieuse ? Commença Sae, en marchant vers moi alors que je lui souriais.

— Oui, rigolais-je alors que je posais ma tête dans le creux de son cou. J'ai mal à la tête, haha.

— Faire travailler une malade, levait les yeux Sae, passant un bras autour de moi, me rapprochant de lui.

— J'en peux plus, c'est insupportable Sae, confiai-je sentant  l'envie de pleurer du à la douleur.

— Je sais... murmura-t-il dans mon oreille, caressant mon dos avec sa main. Aller viens, dit Sae, passant sa main dans la mienne, se dirigeant vers les vestiaires.