La vie d'Elia - Tome 2

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J'ai fini par m'endormir avec l'cœur lourd, les pensées saturée, les yeux étouffés par les larmes jusqu'à ce qu'un bruit me réveille, il devait peut-être être 4h du matin quand des vibrations provenant de mon téléphone m'ont perforer le tympan. ho... une notification, j'avais oublié de me mettre en sourdine.

+ 33 6 27 ** ** ** 📩 « Rappel moi quand t'es réveiller »

Qui était-ce ce numéro non enregistrer qui m'avait send ce message !? J'étais autant dans le flou que vous alors j'ai tout naturellement exécuter les instructions présentes mais aucune réponse, j'ai appelé près de dix fois, rien, j'en ai conclut que la personne avait tenter d'me faire une blague.

[...]

Trois jours plus tard

En début de soirée, j'montais les escaliers d'mon batiment tout essoufflé, ha j'vous jure quand l'ascenseur est en panne, j'me demande comment les gens font pour vivre sans.

Arriver à proximité d'ma porte d'entrée, j'aperçois un bouquet de fleurs, et j'souffle parce que c'était surement un garçon qui avait voulu être romantique avec l'une de mes voisines mais qui s'est trompé de porte donc c'est moi qui vais devoir aller déposer l'bouquet toute seule, déjà ça gâche la surprise et en plus j'vais devoir jouer à la policière à toquer à toute les portes.

Bref.

J'me baisse et j'ramasse ce bouquet sauf que pendant que j'admirais ces pétales, une carte est tombé du bouquet.

Moi: Ho putin !

Et sur cette carte, j'aperçois mon nom d'famille.

Moi: What-

Il y avait inscrit mon nom et mon prénom suivit d'un message « répond au telephone la prochaine fois. »

J'me suis retourner au moins quinze fois après avoir lu cette phrase , j'ai eu l'impression d'être suivit , épier, espionner, surveiller tout c'que vous voulez. J'ai rapidement ouvert ma porte d'entrée, fermer la porte à double tour, courue dans ma chambre et bombarder Mai et Sab de messages et d'appels.

Sabine: P'têtre que c'est un keum d'la zone.

Maï: Lia t'es sur que tu flirte avec personne là !?

Sabine: Déjà c'est quelqu'un qui sait exactement où tu vis.

Moi: Nan personne ! c'est une personne qui connaît même mon numéro de pallier, vous vous rendez compte ? imaginez c'est un malade mental qui me suit !?

Mai: On s'calme. c'est p'têtre juste -

Sabine: Pas d'juste , on sait ap donc faut faire attention wAllah.