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𝘘𝘶𝘢𝘯𝘥 𝘵𝘶 𝘴𝘰𝘶𝘳𝘪𝘴 𝘫'𝘥𝘦𝘷𝘪𝘦𝘯𝘴 𝘤𝘰𝘯, 𝘲𝘶𝘢𝘯𝘥 𝘵𝘶 𝘳𝘪𝘨𝘰𝘭𝘦𝘴 𝘫'𝘥𝘦𝘷𝘪𝘦𝘯𝘴 𝘣𝘦̂𝘵𝘦 - Pourtant, PLK

𝘘𝘶𝘢𝘯𝘥 𝘵𝘶 𝘴𝘰𝘶𝘳𝘪𝘴 𝘫'𝘥𝘦𝘷𝘪𝘦𝘯𝘴 𝘤𝘰𝘯, 𝘲𝘶𝘢𝘯𝘥 𝘵𝘶 𝘳𝘪𝘨𝘰𝘭𝘦𝘴 𝘫'𝘥𝘦𝘷𝘪𝘦𝘯𝘴 𝘣𝘦̂𝘵𝘦 - Pourtant, PLK

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mathieu
Clamart, France - mercredi 05/09/2024





La lumière du soleil passant par les fenêtres de la pièce m'agressa les yeux, m'obligeant à les garder clos. Je fronça finalement les sourcils en sentant un autre cœur battre contre le mien.

Je ne comprends pas toute suite, ne me rappelant pas directement de la veille.
Ma main toucha de longs cheveux, mais qui, de toute évidence, ne m'appartiennent pas.

Malgré cette forte luminosité, je décida d'ouvrir doucement les yeux. Me voilà surpris, en constatant, que la petite brune est allongé sur mon torse. Je ne l'ai même pas sentie s'installer.

Ça me surprend de la trouver ainsi, je ne m'y attendais pas.

Mais je ne peux m'empêcher de sourire en constatant qu'elle a ses deux mains posés sur mon torse, sous mon t-shirt. Elle dormait souvent ainsi lorsque nous étions encore ensemble, elle me répétait avoir besoin d'un contact avec moi. Ça la rassurait.

Et je devais dormir un point fermé, pour ne pas l'avoir entendu se lever. Je me mis à m'en vouloir, en constatant qu'il aurait pu se passer n'importe quoi, ça ne m'aurait pas réveillé.

Au vue de sa respiration, elle semble dormir à point fermé. Je décida de placer une de mes main dans ses cheveux, afin de lui gratter le cuir chevelu.
Lorsque nous étions encore ensemble, elle adorait ça. Chaque soir, je devais lui faire des gratouilles sur la tête pour qu'elle puisse s'endormir.

Elle semble vraiment détendue, et au vu de ce qu'elle m'a expliqué hier, tout comme moi, elle a beaucoup de mal à dormir. Je ne vais donc pas la réveiller, et attendre patiemment.

Son visage étant posé contre mon torse, je ne parviens pas à le voir, mais je sais d'ores et déjà, qu'elle est magnifique. Elle l'a toujours été, dans toutes les circonstances.

Je finis même par constater, qu'elle a troqué son top et son pantalon de tailleur, pour un t-shirt de mon dernier merch, chambre 140 et un de mes joggings. J'imagine donc, qu'avant de me rejoindre, elle s'est changé.

Je ne peux m'empêcher de sourire. Elle porte fièrement les vêtements à mon effigie, et ça ne peut que me rendre heureux. Ça me montre finalement, qu'elle ne m'a jamais oublié. Puis même si mes vêtements lui sont un peu grand, elle est adorable.

Mon autre main, finit par se poser délicatement dans le creux de ses reins, la maintenant contre moi.

Doucement, je l'a sentie bouger contre mon torse, signe qu'elle commençait à émerger.

𝘢̂𝘮𝘦𝘴 𝘱𝘦𝘳𝘥𝘶𝘦𝘴. - 𝘗𝘓𝘒Où les histoires vivent. Découvrez maintenant