Chapitre 44

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J'ai trop mal dormi, j'me sens trop mal à chaque chose que jfait j'ai envie de pleurer.

On dirait que j'abuse mais il faut essayé de me comprendre.

J'me suis préparé en vite fais et je suis parti prendre le bus pour aller au travail.

J'avais pas du tout la tête à ça mais il le faut bien.

J'ai évité Imene toute la journée, quand je suis rentrée chez moi j'ai évité mon frère et je suis parti m'endormir.

13h56

J'étais en cours ça fais 6 jours que ma vie ce résume a aller en cours, travailler, éviter Imene, m'embrouiller avec mon frère et pleurer.

Je m'en veux de ressentir ça alors qu'il y'a bien pire dans le monde, je vie quelque choses de pas facile mais pas d'horrible.

Mais c'est plus fort que moi, je me sens vide. C'est bizzare c'est comme si j'avais fait un énorme retour à la réalité enfin bref.

J'étais en cours et mon téléphone arrêtez pas de sonner heureusement il restait que 10 minutes de cours.

« Sors, je suis devant »

Comment ça il est devant ? Il veux pas comprendre ou quoi ?

Je lui ai répondu que j'avais pas fini mais il m'a appelé

Moi: quoi ?

Nassim: sors

Moi: nan, je fini à 18h30 je sortirai pas avant

Nassim: -souffle- sors wesh

Moi: nan ! J'ai pas envie de te parler et encore moins de te voir.

J'ai raccroché et je suis re partie en cours.

Au final j'ai fini à 19h parce que jsuis restée plus longtemps sur un truc que j'avais pas compris.

J'étais KO, j'avais qu'une envie c'était de dormir.

En plus Antoine est mm pas la.

Là je dois partir travailler dans une heures parce que la boutique fais une nocturne, je sais mm pas comment jvais tenir debout.

Ça fais 1 semaine je dors quasi rien je commence à vraiment sentir la fatigue.

Bref je suis sorti, au début j'ai cru que j'hallucinai mais pas du tout.

Il étais la, adossé à sa voiture.

Il avais bronzé ce gros clochard. Il venais d'aller chez le coiffeur sa se voyais. Il est beau j'crois que c'est ça le pire.

Pour prendre le bus je suis obligée de passer devant lui, alors c'est sque j'ai fais mais bien sûr ça c'est pas passée sans difficulté.

Quand je suis passée il m'a attrapée le bras.

Ça faisais tellement longtemps que je l'avais pas vu, c'est comme si j'étais retombé instantanément amoureuse de lui comme au premier jour.

J'ai vite repris mes esprit, j'me suis dégagée de son emprise et j'ai continuer à marcher jusqu'à l'arrêt de bus.

Nassim: Laya' !

Je m'efforçais du plus profond que je pouvais pour ne pas pleurer, pas devant lui.

Je me suis retourné vers sa direction

Moi: part je veux pas discuter avec toi.

Nassim: si tu veux on parle pas mais viens jte dépose juste t'es ko ça se voit

Je n'aurais jamais du rêver de nous deux...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant