𝟕 - 𝐅𝐑𝐈𝐄𝐍𝐃𝐒

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Sidjil Reed, 10 ans
Las Vegas, États-Unis

Je suis avec Maxime à la cabane. Mon père à recommencer à me faire mal. C'était quand je suis rentré, après avoir fuis avec Maxime. Il m'a d'abord crié dessus pendant de longes minutes, m'affublant de tout les surnoms les plus péjoratifs qu'un père peux donner à son fils « indigne ». Puis, comme si cela ne m'avais pas assez fait de mal à l'intérieur, il à rendu sa violences physique, en me frappant.

Une gifle, un coup de poing dans le ventre, et le plaisir de me faire tomber des escaliers.

C'est ce que j'ai reçu pour m'être amusé et avoir trouvé la seule personne qui me comprend vraiment et qui me fait sourire même si l'envie m'en manque.

Le jeu en vaut-il la chandelle ?

Quand je suis remonté dans ma chambre une fois le venin de mon père craché, j'ai voulu aller me promener dans les bois, comme à mon habitude. Juste, me calmer et faire redescendre la colère accumulé au fond de moi.

Sans le faire exprès, mes pas se sont d'eux même diriger vers l'endroit que Maxime m'a montrer il y a quelques jours.

La cabane.

Il n'a pas paru surpris de me trouver la, il m'a invité à entrer, et nous avons parlés un peux, on est restés dans les grandes lignes de la raison de ma présence ici. Il est allé me chercher de la glace pour mettre la ou l'hématome à fait le plus mal - celui au flan dû à ma chute d'escalier -. Il a finit par me proposer une partie de Mario Kart pour me changer les idées. J'ai accepter.

J'ai l'impression de connaître Maxime depuis toujours. C'est étrange, cette impression d'être liée d'une manière inexplicable à une personne que l'on connais à peine. On à l'impression de vivre quelque chose de rare, privilégier avec la personne. Une bulle rien qu'à nous, où personne ne peux ni entrer, ni sortir.

Juste nous deux. Maxime et moi.

Je gagne la partie pour la septième fois d'affilié, arrivant premier et remportant le trophée.

- J'ai gagné ! T'as vue, j'ai gagné ! M'exclamais-je en sautant partout.

- J'ai vue, Sid. J'ai aussi vue que j'étais septième.

Je me rassoit sur le canapé en répondant :

- Ta réputation de surdouée ne s'étend pas jusqu'aux jeux, c'est dommage.

Il me fusiller du regard pendant je lui sourit, innocent.

- Tu remet en cause mes capacités de surdoué ?

- J'oserais surtout pas. Niais-je en secouant la tête.

Il me donne un coup de coude dans les côtes, mon rire n'en est que renforcé. Il s'enfonce davantage dans le canapé, abandonnant l'espoir d'essayer de me battre. Naturellement, il se rapproche de moi et sa main viens se poser maladroitement sur la mienne. Je le laisse faire, remettant la télé avec la télécommande dans mon autre main. Guilli fera l'affaire.

- Non so se reagisco così. Murmure-t-il pour lui même.

J'hausse un sourcil, lui demandant ce que cela signifie.

- Oh... C'est de l'italien. Ma mère est italienne et ma habituer a parler ainsi depuis que je suis petit. Des fois je mélange les deux langues.

J'hoche la tête, ne sachant toujours pas la signification de la phrase.

Je me décale pour être en face de lui, en faisant attention de ne pas lâcher le contact de sa main.

𝐅𝐎𝐑𝐁𝐈𝐃𝐃𝐄𝐍 𝐒𝐎𝐔𝐋𝐌𝐀𝐓𝐄𝐒 [𝐃𝐉𝐈𝐋𝐒𝐈𝐌𝐄]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant