Chapitre 12 : Traite du lait

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Asia était allongée sur le sol, épuisée mais déterminée. Chaque épreuve la rapprochait de la liberté, même si le chemin semblait interminable. Elle avait réduit le nombre de futanari à 89, mais chaque nouvelle tâche semblait plus difficile et plus humiliante que la précédente. Pourtant, elle ne pouvait pas abandonner. Sa survie dépendait de sa détermination et de sa capacité à supporter l'insupportable.

Soudain, la grande trappe sur le bord de la boîte s'ouvrit de nouveau. Asia reconnut immédiatement la paire de collants noirs qu'elle avait vue ce matin. Une main féminine apparut, tenant un seau en plastique de 5 litres. La main lui fit signe de prendre le seau, et la trappe se referma avec un claquement sourd.

La voix féminine résonna de nouveau, froide et implacable :

"Asia, place le seau au centre de la boîte."

Asia, encore tremblante de l'épreuve précédente, se redressa péniblement et attrapa le seau. Elle le plaça au centre de la boîte, se demandant quelle serait la prochaine torture.

Un trou s'ouvrit soudainement au centre du plafond de la boîte, laissant passer un large pénis qui descendit lentement. Il était d'une taille impressionnante, et Asia sentit une vague d'appréhension la submerger. La voix expliqua la nouvelle épreuve :

"La futanari là-haut a été injectée d'un sérum qui fait durer ses éjaculations très longtemps. Tu devras remplir le seau avec son sperme en utilisant tes deux mains pour branler son pénis, comme si tu trayais une vache. Tu as 15 minutes. Commence."

Le chronomètre se mit à tourner, et Asia prit une grande inspiration. Elle s'agenouilla devant le pénis, ses mains tremblantes se posant sur le membre imposant. La peau était chaude et douce sous ses doigts, chaque veine pulsant légèrement.

Elle commença par des mouvements lents et réguliers, ses mains glissant le long du pénis avec une pression ferme mais douce. Elle utilisa ses deux mains, imitant le geste de traire une vache, ses mouvements devenant plus fluides et plus précis à mesure qu'elle trouvait son rythme.

Le pénis réagit presque immédiatement, se tendant sous ses caresses expertes. Les gémissements de la futanari au-dessus se firent entendre, signe que son excitation montait. Asia continua, augmentant progressivement la vitesse de ses mouvements.

Elle sentit le pénis se durcir encore plus, les veines devenant plus proéminentes sous ses doigts. Les gémissements de la futanari devenaient de plus en plus intenses, et Asia savait que l'orgasme approchait. Elle redoubla d'efforts, ses mains travaillant en parfaite synchronisation pour maximiser le plaisir de la futanari.

Enfin, après ce qui sembla une éternité, le pénis se tendit violemment, et un jet de sperme jaillit avec force. Le liquide chaud et épais remplit ses mains avant de couler dans le seau en dessous. Asia continua à branler le pénis, tirant chaque goutte de sperme possible, comme si elle trayait une vache.

Le flux de sperme était constant et abondant, le sérum injecté dans la futanari prolongeant l'éjaculation bien au-delà de ce qui était naturel. Asia sentait ses bras se fatiguer, mais elle ne pouvait pas s'arrêter. Elle devait remplir le seau.

Les minutes s'écoulaient lentement, chaque seconde une nouvelle épreuve de volonté. Le seau se remplissait progressivement, le sperme s'accumulant en une masse épaisse et blanche. Asia continuait à travailler, ses mains glissant le long du pénis avec une précision inébranlable.

Finalement, après ce qui sembla une éternité, le seau fut rempli. Asia jeta un coup d'œil au chronomètre, qui affichait 14 minutes et 55 secondes. Elle avait réussi, juste à temps. Elle laissa ses mains retomber, épuisée mais soulagée.

La voix féminine résonna de nouveau, cette fois avec une note de satisfaction :

"Bien joué, Asia. Tu as rempli le seau en 15 minutes. Le nombre de futanari à faire jouir descend à 88."

Asia se laissa tomber sur le sol, haletante et tremblante. Elle avait réussi, mais elle savait que les épreuves allaient continuer. Chaque jour serait une nouvelle torture, un nouvel enfer à affronter. Mais pour l'instant, elle pouvait se permettre un instant de répit, se préparant mentalement et physiquement pour la prochaine épreuve.

Elle savait que chaque victoire, aussi petite soit-elle, la rapprochait de la liberté. Et malgré la douleur, l'humiliation et l'épuisement, elle devait continuer à se battre. Pour elle-même, pour sa survie. 

Futa BoxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant