Chapitre 7 : Mémoires de la journée

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La nuit était tombée depuis plusieurs heures, et Asia était allongée sur le sol de la boîte en bois, nue et tremblante. L'horloge marquait 23h, mais le sommeil semblait une chimère lointaine. La boîte n'avait pas encore retrouvé une température confortable après les jets d'eau glacée de sa punition, et elle doutait même que la température soit redevenue positive.

Elle frissonnait continuellement, chaque mouvement envoyant une nouvelle vague de froid à travers son corps. Le sol était encore humide, l'eau glacée ayant imprégné le bois rugueux. Asia se recroquevilla davantage, tentant en vain de se réchauffer. Ses muscles étaient endoloris, et la douleur dans sa gorge persistait, rappel constant de l'épreuve qu'elle avait endurée quelques heures plus tôt.

Elle ferma les yeux, essayant de calmer son esprit agité. Mais les pensées tourbillonnaient sans cesse dans sa tête, l'empêchant de trouver un semblant de paix. Il lui restait encore 96 futanari à faire jouir en seulement six jours. Le calcul était impitoyable : elle devait en satisfaire au moins seize par jour pour espérer sortir de cet enfer vivante. Aujourd'hui, elle n'en avait fait jouir que quatre, car l'épreuve qu'elle avait ratée ne comptait pas.

Le désespoir menaçait de la submerger. Comment pourrait-elle y arriver ? Chaque épreuve était un tourment, une humiliation et une souffrance sans fin. Elle repensa à chacune des épreuves qu'elle avait vécues aujourd'hui, ses souvenirs défilant comme un film torturant son esprit épuisé.

La première épreuve

Elle se souvenait du premier pénis, immense et imposant, qui avait pénétré le trou circulaire. La voix lui avait donné cinq minutes pour faire jouir la futanari. Les détails de la texture du membre, la chaleur et la pulsation sous ses doigts lui revenaient en mémoire. Elle avait réussi cette épreuve, mais la sensation de soumission totale et la peur d'échouer restaient gravées en elle.

La deuxième épreuve

La deuxième épreuve avait été encore plus difficile. Deux pénis, l'un gras et veineux, l'autre court mais dur, avaient apparu simultanément. Elle n'avait eu le droit d'utiliser que ses mains, devant les caresser avec une précision et une coordination parfaite pour les faire jouir tous les deux. Les gémissements de plaisir des futanari et la sensation du sperme chaud sur sa peau la hantaient encore. Elle avait réussi, mais l'épuisement physique et mental l'avait presque brisée.

La troisième épreuve

Puis, il y avait eu l'épreuve du contrôle. Elle devait branler la futanari à toute vitesse sans la faire jouir en moins de huit minutes. La tâche avait semblé impossible dès le départ. Elle avait lutté désespérément pour trouver un équilibre entre stimulation et retenue, mais la futanari avait éjaculé après seulement six minutes et quatre secondes. L'échec avait été douloureux, et la voix féminine n'avait pas manqué de se moquer d'elle avant d'annoncer sa punition.

La punition glacée

La punition avait été une véritable épreuve de survie. Déshabillée complètement, elle avait jeté ses vêtements dans un trou ouvert dans le sol. Le froid intense qui s'était ensuite abattu sur elle, avec l'air à -15 degrés et les jets d'eau glacée, avait été insupportable. Ses muscles s'étaient contractés, sa peau était devenue dure et rougie par le froid, et elle avait tremblé de manière incontrôlable pendant deux heures interminables. Mais elle avait survécu, malgré la douleur et l'humiliation.

La quatrième épreuve

Enfin, il y avait eu la quatrième épreuve, où elle devait coller sa bouche au trou et laisser la futanari baiser sa bouche d'elle-même. Le pénis long s'était enfoncé profondément dans sa gorge, manquant de la faire s'étouffer à plusieurs reprises. Elle avait dû lutter contre son instinct de reculer, gardant sa tête collée à la paroi malgré l'inconfort extrême. Elle avait réussi, mais la douleur dans sa gorge et l'épuisement total en étaient les témoignages silencieux.

L'épuisement et le désespoir

Les larmes coulaient silencieusement sur ses joues alors qu'elle se remémorait ces épreuves. Chaque succès et chaque échec avaient laissé des marques indélébiles sur son esprit et son corps. Elle savait que les jours à venir seraient encore plus difficiles. Mais elle devait continuer. Elle devait survivre.

Asia sentit le poids de la fatigue l'envahir, ses paupières devenant de plus en plus lourdes. Elle s'enroula sur elle-même, essayant de trouver une position plus confortable sur le sol humide et froid. Les larmes continuaient de couler, mais son esprit commençait lentement à s'engourdir, la fatigue prenant le dessus.

Elle pensa à sa vie avant cet enfer, à sa maison, à ses amis, à la chaleur d'un lit confortable. Ces pensées la réchauffèrent un peu, lui donnant la force de continuer à lutter. Elle ferma les yeux, laissant les souvenirs heureux l'emporter loin de la boîte pour un instant.

Enfin, épuisée et en larmes, Asia s'endormit, son corps tremblant et douloureux. Le sommeil était agité, hanté par les souvenirs de la journée et l'anticipation des épreuves à venir. Mais pour un moment, elle trouva un semblant de paix dans l'obscurité de la boîte. 

Futa BoxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant