Chapitre 19 : Moment de détente

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La boîte était plongée dans une obscurité oppressante, et le silence pesant était seulement interrompu par le souffle court et saccadé d'Asia. Il était maintenant 19h, et elle avait réussi à réduire le nombre de futanari à 80. Chaque victoire était une petite étape vers la liberté, mais chaque épreuve laissait des marques indélébiles sur son corps et son esprit.

Les trous de la boîte se refermèrent soudainement, ne laissant que les deux trous d'origine. Asia se redressa péniblement, son corps meurtri par les épreuves successives. La voix féminine résonna à nouveau, douce et impitoyable à la fois :

"Asia, il te reste encore 80 futanari à faire jouir. Tout les 20 paliers de futanari, tu auras droit à une petite récompense. Pour cette fois, tu peux choisir entre une récompense de soin pour soigner ton anus ensanglanté ou une récompense pour te détendre. Quelle est ta décision ?"

Asia réfléchit un instant, consciente de la douleur lancinante dans son anus déchiré. Pourtant, elle savait que la plaie finirait par guérir d'elle-même avec le temps et le repos. La perspective d'un moment de détente, même court, était irrésistible après les souffrances qu'elle avait endurées.

"Je choisis la récompense de détente," répondit-elle, sa voix tremblante d'épuisement.

La voix sembla satisfaite de son choix.

"Très bien, Asia. Deux trous vont s'ouvrir légèrement en hauteur sur un côté de la boîte. Passe tes pieds à travers ces trous, et laisse-toi faire."

Les trous apparurent comme prévu, et Asia s'allongea sur le dos, levant ses jambes pour passer ses pieds à travers les ouvertures. Le simple acte de lever ses jambes provoqua une douleur aiguë, mais elle s'exécuta, sachant que la récompense serait une pause bienvenue dans cet enfer.

Elle sentit l'air froid contre ses pieds nus alors qu'ils passaient à travers les trous. Les premières secondes furent silencieuses et angoissantes, mais elle resta immobile, attendant la suite. Après trois minutes d'attente, une sensation chaude et gluante commença à couler sur ses orteils. Asia frissonna de surprise, mais la chaleur était étrangement apaisante.

La sensation viscérale de la crème glissante entre ses orteils et le long de ses pieds envoyait des frissons de plaisir inattendu dans tout son corps. La lente progression de cette chaleur visqueuse semblait promettre des découvertes plus intimes, des sensations nouvelles et interdites. Puis, elle sentit des mains délicates saisir ses pieds, une paire pour chaque pied. Les mains commencèrent à masser doucement ses orteils, travaillant avec une précision et une douceur surprenante. La crème chaude continuait de couler, ajoutant à la sensation de détente.

Les mains massèrent chaque orteil, les pressant doucement avant de remonter le long de ses pieds, travaillant sur la voûte plantaire et les talons. Les mouvements étaient lents et méthodiques, chaque pression et caresse semblant dissiper un peu de la tension accumulée dans son corps. Asia ferma les yeux, se concentrant uniquement sur les sensations de ses pieds. Les mains travaillaient avec une expertise apaisante, chaque mouvement semblant conçu pour détendre et relaxer. La chaleur de la crème, combinée à la pression douce des mains, créait une expérience de relaxation profonde.

Les minutes s'écoulaient lentement, chaque seconde apportant un peu plus de soulagement à son corps épuisé. Les mains continuaient leur travail, massant chaque centimètre de ses pieds avec une attention méticuleuse. Asia sentait la tension se dissiper progressivement, son esprit trouvant un bref répit dans cette oasis de calme. La sensation de la crème chaude et gluante se mêlait aux mouvements habiles des mains, chaque caresse éveillant en elle des sensations plus intenses, presque érotiques.

La chaleur montait en elle, une chaleur douce mais insidieuse qui semblait se propager de ses pieds à chaque partie de son corps. Chaque pression, chaque caresse semblait éveiller ses sens d'une manière nouvelle, une manière qui la faisait frémir de plaisir. Elle ne pouvait s'empêcher de gémir doucement, son corps réagissant malgré elle à cette attention si particulière.

Après ce qui sembla une éternité, mais en réalité n'était que quinze minutes, les mains se retirèrent doucement. La voix féminine résonna à nouveau, rappelant à Asia qu'elle n'était jamais loin de l'ombre de sa captivité. "Retire tes pieds des trous, Asia."

Elle obéit, ses jambes tremblant légèrement alors qu'elle retirait ses pieds des ouvertures. La sensation de la crème chaude et gluante était toujours présente, mais ses pieds se sentaient incroyablement détendus. Elle laissa échapper un soupir de soulagement, profitant de ce moment de calme avant que la réalité ne la rattrape.

La voix reprit, avec une note de satisfaction cruelle. "Tu te demandes sans doute ce qu'était cette crème chaude et gluante, n'est-ce pas ? Lors des trois minutes d'intervalle avant le massage, des futanari sont venues se masturber au-dessus de tes pieds. La crème était en fait du sperme tout frais."

Asia sentit une vague de dégoût la submerger. La relaxation qu'elle avait ressentie se transforma en une sensation de trahison et d'humiliation. Elle avait été trompée, encore une fois utilisée comme un objet de plaisir pour les futanari.

Elle resta silencieuse, ses pensées tourbillonnant dans son esprit. Chaque épreuve, chaque punition, chaque "récompense" semblait être conçue pour briser son esprit et la réduire à un état de soumission totale. Pourtant, elle savait qu'elle devait continuer. Elle devait survivre.

La voix féminine continua, comme pour enfoncer le clou de son humiliation.

"Souviens-toi, Asia, chaque choix a des conséquences. Mais chaque victoire, chaque réussite te rapproche de la liberté. Prépare-toi pour la prochaine épreuve."

Asia ferma les yeux, essayant de se préparer mentalement et physiquement pour ce qui allait suivre. Son corps était encore en ruine, chaque muscle douloureux et fatigué, mais elle savait qu'elle devait continuer. Pour elle-même, pour sa survie.

Elle inspira profondément, tentant de rassembler ses forces. La route vers la liberté était encore longue et parsemée d'obstacles, mais elle était déterminée à ne pas abandonner. Peu importe la douleur, l'humiliation, ou l'épuisement, elle devait continuer à se battre. Pour elle-même, pour sa survie. 

Futa BoxOù les histoires vivent. Découvrez maintenant