Ismaël : T'es vraiment ravissante gülümMoi : Je te retourne le compliment
Nos repas étaient servis, c'était vraiment apaisant d'être ici je n'avais jamais ressenti ça auparavant la tranquillité loin de la violence physique, loin des attouchement, loin de mes traumatismes...
Ismaël : Tu te sens mieux depuis l'autre fois j'ai pas eu le temps de te demander
Sa question ma un peu frappé dans le coeur
Moi : Oui...oui
Ismaël : Pourquoi avoir crié ton père ?
Moi : C'était juste un cauchemar
Ismaël : T'es sûr ?
Moi : Oui ne t'inquiète pas menti-je
Si un jour il venait à tout apprendre, je me sentirais incapable d'assumer quoi que ce soit
Je ne pourrais même pas le regarder dans les yeux.
Après avoir mangé, nous marchions le long de la plage, le son des vagues résonnant en moi
Ismaël : Tu trembles tu veux ma chemise ?
Moi : Tu risques d'attraper froid
Ismaël : Je préférais ça plutôt que de te voir tomber malade
Il a retiré sa chemise, révélant un débardeur blanc il s'est tourné vers moi et m'a regardé droit dans les yeux, tout en posant délicatement sa chemise autour de mes épaules
Moi : Comment ça ce fait que nous nous retrouvions mariés ?
Ismaël : Mon père à toujours voulu me marié très jeune mais j'ai toujours refusé car ça ne m'intéresse pas forcément
Moi : Si t'aurais refusé nous ne serions pas marié
Ismaël : J'étais dans l'obligation sinon j'aurais vite refusé mais dans la vie nous ne pouvions pas tout avoir, je dois montrer une bonne image mon père et tout ce qu'il me reste de concret dans ce monde je lui doit tout le respect
Il n'avait pas totalement tort sur ce sujet
Moi : Décidément notre destin nous est lié
Ismaël : Quoi j'ai détruit une amourette ?
Moi : J'ai l'air d'avoir un petit ami ?
Ismaël : Pas vraiment t'es vachement insupportable comme femme aucun homme ne voudrait de toi
Moi : Et toi peut-être? chaque fille qui te côtoie n'est la que pour ton pognon t'intéresse personne, au fond t'es que Ismaël Elsayed seulement et rien d'autre.
J'ai avancé à une allure abondante il m'a rapidement rattrapé par le poignet il me tenait fermement ce sui me faisait extrêmement mal
Moi : Lâche moi
Ismaël : Et toi qui voudrait d'une pauvre fille comme toi quand je te vois tu m'inspire la pitié je comprends mieux pourquoi mon père t'as accepté auprès de notre famille toi et t'as famille vous n'êtes rien à coter de nous vous êtes de simples déchet
Moi : LÂCHE MOI JE T'AI DIT TU ME DÉGOÛTE
Ismaël : T'as bien raison de me trouver dégoûtant
Moi : Lâche moi...s'il te...plaît tu me fais mal...je t'en supplie
Mon cœur battait à tout rompre ; son regard avait totalement changé. J'avais l'impression de voir mon père à travers son visage
Il m'a relâchée, et j'ai couru jusqu'au chauffeur je lui ai demandé de me déposer rapidement à l'hôtel
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Nessayem
RomanceL'amour, c'est lorsque le bonheur de l'autre est aussi important que le sien De l'antagonisme à l'affection, il n'y a parfois qu'un pas que l'amour peut franchir