Neyda: Amour taché de sang

Chapitre 13: espoirs.

Le bruit assourdissant de la porte qui claque me fit sursauter, et me sorti de mon état de choque.
Je couru à l'extérieur pour le rattraper. Je le retenu en tirant son bras. Son regard se posa sur ma main puis le bracelet que j'avais au poignet. Trop d'émotion se mélanger dans on visage la haine, la colère, la triste et la joie.

Moi: Moi je te promet de te battre pour nous et de tout faire pour que notre histoire ne se termine pas.

Il me regarda, mais ne dis rien. Au bout de quelque seconde de silence je le lâcha et pris la route pour prendre un taxi. Sa déclaration avait ravivé une lueur d'espoir à laquelle je me suis accroché. Je voulais et devais me battre pour nous, il avait toujours tous fais pour moi je devais aujourd'hui me battre pour nous. Je pris un taxi en direction de l'appartement, je rentra et vis Rayane dans le salon.

Moi: tu devais pas sortir demain?

Rayane: le médecin m'a laissé sortir avant.

Il avait une attelle à la jambe et ne pouvais pas marcher, ce qui l'obliger à se déplacer en fauteuil. Déjà que j'avais un mari con, j'avais maintenant un mari con et handicapé.

Rayane: viens t'asseoir j'ai besoin de te parler.

Je fis ce qu'il me dit et me plaça face à lui.

Rayane: je pense que tu regrette ton actes et moi aussi je n'aurai pas du t'étrangler je m'en excuse. Mais comprend moi j'ai toujours tout fais pour toi et tu me le rend comme si j'étais ton pire ennemi. Je reste le Rayane avec qui tu as grandi! Tu me connais mieux que n'importe qui Neyda, j'aurai pas du te brusquer et je m'en excuse. Mais je fais ça pour ton frère, je lui ai promis de prendre soins de toi et je ne peux pas le faire complètement si tu es avec un autre.

Je ne répondis pas.

Rayane: je te pardonne pour ton geste.

Moi: je ne regrette absolument pas mon geste Rayane!

Au moment où j'ai dis cette phrase une silhouette qui m'étais familière entra dans le salon et s'avança vers moi, elle etait furieuse.

Ma mère: C'EST COMME ÇA QUE JE T'AI ÉDUQUÉ HEIN?

Elle avança vers moi pour me porter un coup mais Rayane se mis entre nous avec son fauteuil. Il sert enfin à quelque chose.

Rayane: c'est bon tati ne t'inquiète pas c'est entre elle et moi, un mari et sa femme.

Ma mère: écoute moi bien toi! Si mon cancer s'aggrave j'espère que tu aura ma mort sur ta conscience comme celle de Idriss!

Mon sang se glaça dans mes veines, j'étais pétrifié par ce qu'elle venait de me dire. Mon cœur voulait exprimer cette douleur qui venait de me blesser et qui avait le même effet qu'un coup de poignard dans mon cœur. Mais je ne montrais rien, aucune larmes ne coula, je leurs avait donné trop de fois l'honneur de me voir pleurer.

Comment était elle au courant pour mon frère ? Je ne lui en avait jamais parlé, ma mère en savait bien plus que ce qu'elle laissai paraître.

Rayane: C'est bon tati, viens je t'accompagne jusqu'à la sorti je dois régler tout ça avec ma femme.

Elle sorti et lui se retourna vers moi, malgré ses difficultés à se placer. Il se rapprocha de moi et mis sa main sur la mienne.

Rayane: on réussira à surmonter tout ça ne tkt pas! Je dois partir pour le travail pendant quelque jours mais des hommes à moi arrive veiller sur toi en mon absence ok?

Je haussa la tête puis me leva en direction de la douche. J'alluma l'eau glacé qui me congelait mes membres, mais j'avais besoin de me réveiller de ce cauchemar.

Je n'avais pas perdu ma volonté de finir ma vie avec Amine et je devais trouver un moyen de me sortir de tout ça. Comment je pouvais faire en sorte qu'il demande le divorce?

Après ma douche, je me rendis compte que j'avais oublié mes habits dans ma chambre. J'ouvris la porte mais une voix familière me stoppa. Ma mère. Elle n'était pas parti?

Ma mère: Du coup elle y a crue à cette histoire de cancer elle ne te quittera pas, elle a trop peur de me décevoir.

Je n'arrivais pas à croire ce que je venais d'entendre! Elle avait menti pour que je me mari avec Rayane, mais dans quel but? Comment une mère pouvait elle en avoir autant rien à faire du bonheur de son enfants. Elle ne m'a jamais donné d'affection, mais pas à ce point. Je pensais juste qu'elle n'était pas démonstrative pas qu'elle ne m'aimait pas.

Je voulais entendre la suite mais les hommes de mains de Rayane venaient d'arriver ce qui stoppa leurs conversations. Ma mère sorti.
Je fila dans ma chambre et m'habilla, je devais découvrir la vérité.

Je devais mon montrer plus discrète si je voulais découvrir la vérité, je devais leurs faire croire que je n'étais plus une menace.

Je sorti de ma chambre en direction du salon. Rayane était entrain de sortir.

Moi: Tu vas pas partir sans faire un bisous à ta femme!?

J'avais la nausée des mots que je venais de prononcer. Il était étonné et moi aussi, un large sourire se dessina sur ses lèvres. Il s'avança et je me baissa a son niveau, je priais pour qu'il ne me demande pas de l'embrasser.
Il me fit un bisous sur la joue et sorti.
J'étais soulagée....

J'avais profiter de ce moment pour lui prendre son téléphone. Quel con!

Je fila dans ma chambre et entra le code. J'alla directement dans la conversation entre lui et ma mère. Je défila la conversation jusqu'à tomber sur un message:

Ma mère: j'espère que tu me fera
vite le virement, tu commence à
me faire regretter de pas l'avoir
marié à l'autre clochard de Amine.

Rayane: Ne t'inquiète pas on avait un
marché la main de ta fille contre un bon
billet, j'honore toujours mes marchés.
T'as de la chance parce que de base
c'est votre fils qui me doit une bonne
somme d'argent! Je ne fais que rembourser
ses dettes!

J'étais sous le choque, ma mère m'avait vendu comme de la chaire fraîche à Rayane! Elle avait menti sur son cancer car elle savait que cela m'affecterai et que je ne refuserai jamais. Je m'étais marié pour un mensonge! J'avais été trop conne et j'ai perdue Amine pour ça. Je comprenais mieux pourquoi Rayane était si violent il avait lui aussi perdu beaucoup d'argent à cause de mon frère.

Idriss, tu m'as donné ta vie et tes problèmes.....

J'entendis les clefs de la porte d'entrée s'ouvrir. Je couru la l'entrée afin de dépose le téléphone sur la commode qui faisait face a la porte. Rayane entra et me regarda avec un sourire que je lui rendis.

Rayane: quel con j'ai oublié mon téléphone!

Moi: à bon? Ou?

Rayane: juste derrière toi!

Il prit son téléphone et le déverrouilla, son regard était noir de colère. Il leva le regard vers moi et me fusillait du regard. Je le regardais l'air de rien.

Rayane: tu as touché à mon téléphone!

À suivre.....

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