𝐬𝐞𝐤𝐢𝐳.

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Leyla's pov

Nous sommes arriver devant un restaurant turc , chic et ça a l'air très chère. Ce qui me mit mal à l'aise car , je me rappelle alors que lamine payais pour moi.

- suis moi. Dis il en faisant un signe de tête vers la porte d'entrée

Je le suivait de près , un peu trop.

pourquoi as tu choisis un restaurant turc ? Dis je en essayant d'éclaircir les choses.

- je veux que tu me fasses découvrir ta culture Leyla ! Dit il en me prenant les épaules par derrière.

Mh d'accord , que si tu le fait aussi ! Dis je en regardant devant moi

- marché conclu señorita Leyla !

Une jolie dame vint nous placer sur une table à deux , mon regard défile différent plats et différent prix. J'avale ma salive en voyant des pâtes à 130 euros.

Finalement je tombe sur un plat , qui me rappelle vivement et vraiment mon enfance !

je vais prendre les gazıantep baclavsı. Affirmais - je pendant que lamine essayait de distinguer chaque plat.

- tu me conseilles quoi ? Demande t'il en levant légèrement sa tête de la carte.

tu pourrais prendre : çöp şış ! Lui pointais je du doigt.

- je te fais confiance hein ! Dit il en levant la main pour appeler le serveur.

- alors , qu'est ce que madame et monsieur voudraient manger ? Dit le serveur à présent debout devant notre table

On commende les plats , puis le serveur s'en alla. A table personne ne parle mais c'est plutôt reposant , nos plats arrivent , avec nos boissons.

- c'est vrai que c'est excellent le ..dit il , ne se souvenant pas du nom de son plat

— çöp şış ?

- ouais c'est sa merci ! C'est vraiment bon. Et ton plat ? S'écria t'il.

— c'est grave bon. 

Il me souri , et on mange nos plats.

Lamine reçoit un appel d'Hector , qui dit qu'ils sont rentrer à l'hôtel.

tu rentres quand en Espagne ? Dis je

- je rentrerais quand le tournoi sera fini , quoi tu veux que je partes ? Dit il sur le ton de l'humour

nan ! Comme ça. Dis je en sirotant mon sirop.

Quelques bref minutes passèrent , lamine me raccompagne chez moi

merci pour le restaurant. Dis je en souriant

- mais Derien ! Et n'oublie pas , je t'attendrais sur le banc de la dernière fois.

dos campos opuestos - 𝐋𝐚𝐦𝐢𝐧𝐞 𝐘𝐚𝐦𝐚𝐥 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant