𝐛eş.

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Ölöm uyarmıor ama benimki uyarıyor.
Cette phrase me défini parfaitement.

- Leyla. Mon frère m'a appeler en faisant signe de venir

merhaba kenan. « salut kenan » lui adressais je

- qu'est ce que t'as sur la lèvre ?me dit il en fronçant les sourcils

longue histoire. Je veux rentrer s'il te plaît kenan

- qu'est ce qui s'est passer ? Me dit il fermement

une fille est tomber sur moi voilà.

Il acquiesce en silence et me fit signe de la tête pour entrer dans la voiture , puis enfin démarrer.

Je regarde une dernière fois la maison de mon amie , d'ailleurs , Lisa ne m'a pas dit au revoir. Mais elle est sûrement occuper avec son nouveau mec. Ça me dérange pas , tant qu'elle est heureuse

- tu t'es bien amuser sinon ?dit il en cassant le blanc

oui très bien. Et toi avec karlotta ?

- tout est sur contrôle chef. Dit il en passant sa main sur son front

du coup tu dort chez elle ou pas ?

- ouais , je te dépose et j'y vais. J'hoche la tête en guise de réponse.

Il va me manquer kenan..

Arriver à la maison je n'ai pas du tout envie de dormir , il est 1h du matin mais c'est le week end autant en profiter.

Je met ma playlist avec des sons turques , flex de comprendre la langue.

Dans ma playlist :

- bak bana
- torna
-gizli Aşk
- senin Yüzünden

Ansi de suite ..

Je sors une feuille et brandit mon crayon à papier , la mine fit des tours , présentant ce que je ressentais à l'instant même

Fini , j'éloigne la feuille pour voir le résultats. Un mélange de malheur , tristesses et de joies. Après c'est ce que je ressens. Quelqu'un random regarderait cette feuille ne comprendrait pas

Ma playlist tourne en boucle , je l'ai faite un peu aléatoirement je l'avoue.

Il est 2h , je décide de ranger ma chambre , je déplace quelque meubles histoire d'agrandir ma chambre

Je nettoie mon miroir , je regarde mon visage pour descendre sur mon corp

Purée j'ai grossi.

Je vais dans les toilettes se situant a côté de ma chambre avant de l'attacher les cheveux en chignon décoiffé puis , je me fais vomir.

Après avoir déglutit , je tire la chasse d'eau et m'assois parterre. Je me tiens la tête , les yeux rouges. Je commence à lâcher quelques gouttes , quelques larmes , puis une avalanche.

dos campos opuestos - 𝐋𝐚𝐦𝐢𝐧𝐞 𝐘𝐚𝐦𝐚𝐥 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant