༺༻Lamine's pov
La tension était palpable dans l'air du stade de Wembley. Chaque souffle, chaque cri des supporters semblait vibrer au rythme de nos cœurs battants. C'était la finale de l'Euro 2024, et l'Angleterre se dressait devant nous comme l'obstacle ultime. Je regardais la foule depuis le banc, le maillot trempé de sueur, les muscles tendus, et le regard fixé sur le terrain.
Le coup de sifflet de l'arbitre annonça le début du match, et les deux équipes se jetèrent dans l'arène avec une intensité féroce. Les premières minutes furent un tourbillon d'actions, de passes précipitées et de défis acharnés. Les chants des supporters anglais résonnaient dans le stade, tandis que ceux des supporters espagnols faisaient tout leur possible pour couvrir le bruit des tambours adverses.
Le match avançait, et malgré nos efforts, le score restait vierge. L'Angleterre se montrait dangereuse, mais notre défense, menée par Alejandro et les autres, tenait bon. J'avais rarement ressenti une telle pression. Chaque mouvement des joueurs anglais était comme une menace imminente, chaque action était décisive.
À la 72e minute, alors que la fatigue commençait à se faire sentir, nous eûmes enfin notre chance. La balle fut envoyée à l'aile droite, et je perçus un espace dégagé devant moi. Je fonçai, cherchant à échapper à la défense anglaise. Mon coéquipier fit une passe parfaite, et je me retrouvai face au gardien. Le ballon glissa parfaitement sous ma semelle, et je le frappai avec force. Le ballon s'éleva et se dirigea vers le coin inférieur gauche du but, et tout sembla se ralentir alors que le gardien se jetait en vain. Je glissa sur le terrain humidifier par la pluie puis fit ma célébration : L
Le stade explosa. Les cris de joie des supporters espagnols envahirent l'air, couvrant presque les acclamations désespérées des Anglais. Je levai les bras, accablé par l'excitation et la libération de cette pression écrasante. Les applaudissements et les chants résonnaient comme une symphonie dans ma tête. Ce but était plus qu'une simple victoire ; c'était la concrétisation de mois de travail acharné.
Le temps s'égrena lentement après ce but, chaque minute semblant durer une éternité alors que l'Angleterre poussait pour égaliser. Mais notre défense, bien que fatiguée, restait solide, et nous tenions bon. Le coup de sifflet final retentit, et la foule espagnole éclata de joie. Nous avions remporté la finale, et je me retrouvai envahi par un mélange intense d'émotions : soulagement, fierté, et une joie immense.
Je cherchais Leyla dans les tribunes VIP. J'avais vu son visage briller d'excitation et d'amour pendant tout le match, et je voulais partager ce moment avec elle. Enfin, je la repérai, émanant d'une lumière propre, applaudissant avec ferveur. Je courus vers les gradins, cherchant à éviter les foules en délire. Elle était en train de discuter avec des filles , Kelyssa et Alice , les copines des bellighams , qui je suppose son venue assister au match de Jude.
( __Lyssss__ Alice01081 for u my girls 💋)
Une fois que je fus à sa hauteur, nous nous étreignîmes. Elle était radieuse, ses yeux scintillant d'une joie pure.
- Félicitations ! cria-t-elle, les larmes aux yeux. Tu as été incroyable !
Je la pris dans mes bras, serrant fort.
— Je n'aurais pas pu le faire sans toi, Leyla. Ta présence ici signifie tout pour moi.
Nous descendîmes ensemble sur le terrain, mêlés à la foule de joueurs célébrant la victoire. Les photographes cliquetaient en permanence, capturant chaque moment de cette nuit mémorable. Les cris de joie des coéquipiers, les acclamations de la foule, tout était une cacophonie euphorique. Nous nous dirigions vers les vestiaires pour célébrer avec l'équipe et les familles.
Le temps passa rapidement avec les célébrations, les accolades, les interviews, et les photos. Après un certain temps, je me sentis prêt à partir. Nous avions prévu de passer la nuit à l'hôtel, pour profiter de la victoire et avoir un peu de tranquillité après toute cette agitation. Je dis à Leyla de m'attendre à la sortie du stade pendant que je discutais avec Alejandro et quelques autres coéquipiers.
Les discussions se prolongeaient. Alejandro et moi parlions de notre prochain match amical et des plans pour la saison prochaine. Les autres membres de l'équipe se joignaient à la conversation, et je perdis la notion du temps. L'excitation de la victoire m'avait fait oublier les heures qui s'étaient écoulées. Je jetai un coup d'œil à l'extérieur, cherchant Leyla parmi la foule, mais elle n'était plus là.
Un frisson d'inquiétude parcourut mon échine. Je me dis que peut-être elle était simplement partie à la recherche d'un endroit calme ou qu'elle avait eu un contretemps. Mais l'inquiétude persistait. Je demandai à un membre du staff s'il avait vu Leyla, mais il ne savait rien.
Je sortis en hâte du stade, scrutant la rue bondée à la recherche d'un signe de Leyla. La ville était en ébullition, les rues pleines de supporters célébrant notre victoire. Mon cœur battait à tout rompre, l'excitation de la victoire se transformant en une angoisse croissante. Les lumières des voitures et les cris des fans créaient une ambiance chaotique, amplifiant ma panique.
Je me précipitai vers la zone où Leyla aurait pu se trouver, appelant son téléphone à plusieurs reprises. Chaque son de la voix enregistrée me plongeait dans un tourbillon d'anxiété. À ce moment-là, je sentis un vide immense, une peur écrasante que je n'avais jamais connue auparavant.
Puis, au coin de la rue, je vis un groupe de personnes se presser autour de quelque chose. En me rapprochant, je réalisai avec horreur que Leyla était au centre de l'attention, luttant contre deux hommes en tenue sombre. La scène était floue, mais le désespoir dans les yeux de Leyla était clair. Elle était en train de se faire enlever.
Je poussai les gens qui se tenaient en travers de mon chemin, ma détermination se transformant en une rage pure. Mes jambes me portèrent plus vite que jamais, et je me précipitai vers le groupe. « Leyla ! » criai-je, ma voix brisée par l'adrénaline et la peur.
Les hommes se retournèrent en entendant mon appel, leurs visages cachés derrière des masques. L'un d'eux tenait Leyla fermement, tandis que l'autre semblait prêt à intervenir. Sans réfléchir, je fonçai vers eux, mon cœur battant à tout rompre. La situation était chaotique, chaque mouvement semblait amplifié par la tension. Je frappai le premier homme avec toute la force que je pouvais rassembler, le faisant tomber au sol. L'autre tenta de m'attraper, mais je le repoussai avec des coups précis et désespérés.
Leyla, terrifiée mais consciente, réussit à se libérer des mains du premier homme, courant vers moi. Nous nous retrouvâmes face à face, l'épuisement et la peur marquant nos visages. Mais notre soulagement fut de courte durée. Les deux hommes, bien que blessés, se redressèrent et commencèrent à se rapprocher à nouveau.
Je pris Leyla par la main, l'entraînant derrière moi.
— Nous devons partir maintenant ! dis-je, le souffle court. Nous courûmes à travers les rues, le chaos de la ville se mêlant à notre fuite. La nuit, qui avait commencé avec une victoire éclatante, se transformait en un cauchemar dont je ne savais pas comment nous allions sortir.
Alors que nous nous éloignions du danger, je sentais la terreur encore présente dans chaque mouvement de Leyla. Elle était secouée, et la pression de ce moment était écrasante. Mais nous étions ensemble, et c'était la seule chose qui comptait. Je savais que cette nuit allait changer beaucoup de choses, et que la route devant nous serait semée d'embûches. Mais, pour l'instant, la seule chose que je pouvais faire était de veiller sur elle, et de m'assurer que rien de tel ne se reproduise.
Mais qu'est ce que Leyla a fait pour mériter tout ça ?
???'s pov
APPEL ENTRANT :
— ¿de nuevo? ¡un montón de idiotas! No debe escapar la próxima vez. de lo contrario vendría y lo tomaría con mis propias manos.
A traduire vous même ..
bir sonraki bölüm
hazırlık aşamasında..
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dos campos opuestos - 𝐋𝐚𝐦𝐢𝐧𝐞 𝐘𝐚𝐦𝐚𝐥
Fanfiction« les yeux chicos, ils ne mentent jamais » ༺༻ « You say you love rain , but you open your umbrella , you say you love the sun but you find a shadow spot. You say you love wind but you close your window. This is why i am afraid 𝐰𝐡𝐞𝐧 𝐲𝐨𝐮 𝐬𝐚...