Chapitre 3

235 13 0
                                    

PDV de Mathilda:

- Alors ma petite Mathilda tu as perdu ta jolie petite langue ? Dit il en se plaçant dans mon dos.

- E......uh j......je, bégayais je.

- Et si nous allons parler dans ta chambre , dit il en la porte de ma chambre, J'entre et il me suit.

- Alors pourquoi tu as passé deux mois à m'éviter ? me demanda t' il en me plaquant à la porte.

- J'étais occupée, mentis je.

- Hummm je vois, dit il en fixant mes seins. Durant ses deux mois tu as fait d'autres parties de jambes en l'air ? Me demanda t' il.

Oui et pas qu'un peu

- Oui, répondis je en le fixant ses iris vert.

- Combien ? Me demanda t' il les dents serrées.

- sept

- Donc si je comprends bien durant ses deux mois où tu me fuyais tu te faisais baiser par d'autres hommes, dit il d'un ton faussement calme.

- Oui , souris je en allant déposer mon sac sur la table de chevet.

- Tu ne peux pas savoir le nombre de fois où j'ai rêvé de te baiser durant ses deux mois, dit il d'une voix rauque en me regardant me déshabiller.

J'enlève lentement et sensuellement ma chemise, puis mon soutien gorge, ma jupe et ma culotte.

Une fois toute nue je me rapproche lentement de lui.

- Alors Bruce qu'est-ce que tu es prêt à me donner pour avoir à nouveau le droit de me baiser ? Lui demandais je en posant mes petits doigts sur sa chemise blanche.

- Je savais derrière ce visage de petite adolescente catholique se cachait une vraie salope , quel est ton prix pour que je te baise, susurra t' il en empoignant mes fesses.

Ça marche à chaque fois

Je lui fais mon plus beau sourire.

- Il y a une nouvelle paire de bottes à la mode, toutes mes amies en ont mais mes parents refusent de me l'acheter parce que ça coûte une fortune, dis je d'une voix enfantine.

- Tu les auras si tu te mets déjà à quatre pattes pour que je te baise , m'ordonna t' il avec un sourire pervers.

Je m'empresse de grimper sur le lit, je mets à plat ventre, je relève mon bassin à l'aide des oreillers. J'entends le zip de sa braguette, il pose ses deux grandes mains sur mes hanches puis il me pénètre profondément jusqu'à la garde, je lâche un soupir de satisfaction.

- Oh putain Mathilda tu es tellement bonne, grogna t'il en me donnant des coups de reins vigoureux. Est ce que ses hommes qui t'ont baisé, te baisent mieux que moi, dit il en tournant vers le miroir.

- N....non , gémis je en regardant mon reflet dans le miroir.

C'est tellement bon

J'aime le sexe et j'en suis devenue

Je ne peux plus vivre sans me faire baiser

Et avec le corps de rêve que j'ai personne ne peut me résister

Je dis bien personne

Il me met sur le dos sans jamais se retirer de mon vagin, il me malaxe les seins et les fesses, je gémis encore.

Il baise mille fois mieux que tous les hommes avec lesquels j'ai baisé durant ses deux mois

Il sait me prendre comme la pétasse que je suis

MATHILDA LA LIBERTINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant