Chapitre 13

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PDV de Mathilda:

Les portes de l'ascenseur s'ouvrent immédiatement sur son appartement. Il est là , dos à moi, vêtu d'un short noir et d'un t shirt noir, au son de l'ascenseur il se retourne vers moi.

- Mathilda que t'es t'il arrivée ? S'exclama t'il en mon visage défiguré et mes vêtements sales.

Je cours immédiatement me blottir dans ses bras musclés et chauds

- Sers moi fort s'il te plaît, j'ai besoin de ta chaleur, sanglotais je en collant à lui, il s'exécute.

Cette odeur musquée m'a tellement manqué

J'ai besoin lui

C'est la seule personne sur laquelle je peux compter

Il ne doute jamais de moi et me comprend sans que je n'ouvre la bouche

C'est l'homme de ma vie

L'homme que j'aime plus que tout au monde

- Viens tu dois prendre un bain, me dit  t'il en me soulevant en mariée, il monte à l'étage, nous entrons dans la chambre puis la salle de bain, il me déshabille et je me laisse faire comme une automate. Une fois nue , il me fait prendre mon bain, il me séche le corps puis me met l'un de ses t shirt noir puis il me dépose sur le lit et rabat le drap sur nos deux corps. Je monte sur lui et pose ma tête sur ses pectoraux, il se penche pour ouvrir un tiroir pour en sortir une pommade. Il relève ma tête en douceur puis applique la pommade sur chacun de mes bleus. Après avoir fini repose ma tête sur son torse et me serre dans ses bras musclés.

- Vas tu enfin me dire pourquoi tu es venue ici dans cet état ? Me demanda t'il en caressant ma joue.

Je laisse couler une larme solitaire puis je lui raconte tout, la tentative de viol du père Bill et la réaction de ma mère.

- Quoi ? Cria t'il en cessant ses caresses.

- T.....t...tu me crois n'est ce pas ? Sanglotais je en essuyant mes larmes. Je te dis la vérité, il y a même ce garçon comme témoin, Continuais je en attendant patiemment sa réaction.

- Bien sûr que je te crois ma petite Mathilda , ta mère aurait dû te croire elle aussi, tu es sa fille et ce prêtre n'est qu'un inconnu. Tout le monde sait que de nos jours les prêtes ne sont plus fiables, la plupart sont des pédophiles qui violent des enfants , me dit t'il en serrant les poings comme s'il contenait sa colère.

Merci

C'est le seul qui est là dans les bons et les mauvais moments

Même si mes parents rejettent, je peux au moins compter sur Bruce Wilson

Je ne le remercierai jamais assez pour ça

Sans lui je serai à la rue

- Elle n'a pas hésité à croire à ce prêtre pédophile au profit de sa propre fille. Comme si ce prêtre était un saint alors que c'est un homme comme nous, pestais je en serrant les dents.

- Tu m'as dit que la soeur du jeune homme qui t'a sauvé, avait elle aussi était violée, me rappela t'il avec dégoût.

- Oui ça fait des années qu'il le fait, repondis je tristement en passant mon doigt à travers le tissu de son t shirt.

- Ce prêtre est ici au Texas depuis 20 vingt cinq ans. Ça fait vingt cinq ans qu'ils violent des pauvres adolescentes sans qu'on ne l'arrête, je devine déjà que toutes ces adolescentes  avaient des mères comme la tienne qui ne les avaient pas cru voilà pourquoi il est toujours en liberté, m'expliqua t'il en me serrant contre lui.

Je comprends maintenant pourquoi ce jeune homme qui m'a sauvé disait que ce prêtre pédophile choisit toujours de violer des adolescentes dont les mères sont des ferventes croyantes qui l'idolâtrant toujours

C'est vraiment triste

Celles qui nous donnent naissance nous sacrifient au profit des prêtres

Ça fait mal de savoir que plusieurs adolescentes subissent ça dans le monde

- Nous devons faire quelque chose Bruce, m'exclamais je.

- Je dois trouver des preuves contre lui afin de l'envoyer en prison pour le reste de sa misérable vie de pervers, siffla t'il. Cette fois ci je me chargera de trouver un nouveau prêtre, je ne veux pas que la communauté des prêtres m'envoie un autre prêtre pédophile, Continua t'il.

Il prend son téléphone puis lance un appel.

- Mélanie je veux dès demain matin les toutes informations sur le prêtre Charles Bill, ordonna t' il à sa secrétaire puis il raccroche.

J'aurais tellement voulu avoir un père intelligent et droit comme Bruce

Néanmoins je l'ai comme amant

Un silence apaisant s'installe dans la chambre, seuls les battements de nos cœurs se font entendre.

- Ma petite Mathilda arrête ça, me menaça t'il.

- De quoi parles tu ? Demandais je en jouant à l'innocente.

Ma main passe sous son boxer  et attrape son membre puis l'engloutis dans ma bouche , je commence à faire des va et vient tout en carressant sa verge avec ma langue.

- Mathilda, grogna t'il en empoignant les cheveux pour accélérer le rythme.

Je le sens venir

Avant qu'il ne jouit, je me retrouve à quatre pattes sur le lit et lui entrain de me baiser par les fesses.

- A....a..ah oui , gémis je en roulant des hanches.

Il me pénètre de plus en plus profondément. Ça fait un mois que nous n'avons rien fait, et là c'est comme si nos corps se redecouvraient à nouveau. J'avais totalement oublié toutes ses sensations.

- Tu es tellement étroite ma petite Mathilda, s'extasia t'il en renversant la tête en arrière.

Pour seule réponse, je lâche un couinement de plaisir, il colle mon dos à son torse nu puis empoigne mes seins sans jamais cesser de baiser.

Ces sensations sont uniques

Je ne peux plus me passer de Bruce

Je veux mourir dans ses bras musclés

Mon téléphone qui sonne nous interrompt dans notre partie de jambes en l'air. Je le prends sur la table de chevet puis je regarde qui m'appelle.

- C'est ma mère, gémis je de plaisir. Ne t'arrête pas mon amour.

- Réponds et mets le haut parleur, m'ordonna t'il en me donnant une succession de coups de reins brutaux.

Je m'exécute d'une main tremblante de plaisir, puis je le pose au coin du lit.

- Allô Mathilda il fait déjà nuit revient à la maison, m'ordonna ma mère d'un ton neutre.

Une étincelle d'espoir s'allume en moi

Ma mère s'inquiète pour moi

- Le prêtre Bill et moi nous avons trouvé une solution pour qu'il te pardonne. Tu iras travailler à l'église pendant deux mois sous la surveillance du prêtre Bill ainsi mon honneur sera lavée et mes amies de l'église ne traiterons pas de mauvaise mère pour t'avoir élevé. Alors reviens à la maison avant que je n'appelle pas la police pour leur dire que tu as fugué, articula t'elle froidement puis elle raccroche.

Quoi?

Elle n'osera quand même pas me faire ça...........

MATHILDA LA LIBERTINEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant