MATHILDA LA LIBERTINE

Chapitre 7

PDV de Mathilda :

- Hmnnn, gémis je de plaisir quand j'atteins l'extase.

- Tu es tellement belle quand tu jouis, me complimenta t' il en se redressant pour enlever son boxer.

Une fois nu, il monte sur moi puis me pénètre en douceur sans jamais me quitter des yeux, J'arque le dos en gémissant, il commence à me donner des doux coups de reins tout en m'embrassant langoureusement. Nous passons plusieurs heures à faire l'amour tout en échange de position, après un dernier coup de rein, nous jouissons ensemble, il pose ma tête sur son torse puis me carresse le dos.

- Waouh c'est magnifique et unique, soufflais je en souriant. C'est vraiment différent.

Il lâche un rire guttural qui me fait frissonner. Il se redresse légèrement, ouvre un tiroir, il en sortant une plaquette de médicaments puis il me l'a tendre.

- C'est quoi ? Lui demandais je en essayant de cacher ma poitrine à l'aide des draps.

- Ce sont des pilules contraceptives pour éviter que tu termines enceinte, tu la prends après chaque rapport sexuel que tu auras, me répondit il en me mettant une pilule contraceptive sur la main avec une bouteille, je m'empresse de la prendre, une fois finie, je regarde l'heure sur l'horloge accrochée au mur.

- Oh merde je dois vite rentrer, m'exclamais je en me rhabillant.

- Ton langage jeune fille, me gronda t'il en mettant son costume.

Une fois finis, nous sortons de l'appartement puis de l'immeuble, je m'empresse de monter dans sa voiture, il fait de même puis il démarre en tromble.

- Tiens, dit il en me tenant un trousseau de clés sans jamais quitter la route des yeux.

- C'est pourquoi ? Lui demandais je en les prenant quand même.

- Au cas où tu voudras y revenir, m'expliqua t'il.

- Et qu'est ce qui vous dit que j'y reviendrai ? Le défiais je avec un grand sourire.

- Tu reviendras toujours de ton plein gré, sourit il en se gardant dans l'allée de chez moi.

Il n'a pas tort

Je suis comme aimantée à lui

Je n'arrive pas à m'éloigner de lui

- Fais de beaux rêves ma petite Mathilda, me souhaita t'il en ouvrant la portière puis je descends, au même moment la porte de notre maison s'ouvre ma mère qui court vers nous.

- Mathilda tu es enfin je me suis faite un sang d'encre, s'exclama t'elle en se mettant devant moi.

- Je l'ai trouvé sur la route entrain d'attendre un taxi qui n'allait jamais venir alors je l'ai racompagné jusqu'ici, lui dit il en me fixant.

- Merci Bruce, Mathilda remercie Bruce de t'avoir raccompagné, m'ordonna ma mère.

- Merci monsieur le maire, dis je d'une voix d'enfants.

Il se retint de rire puis détourne le visage

- Mathilde tu devrais interdire à ta fille de retourner dans ce bar, c'est pas un endroit pour une fille bien éduquée et catholique comme elle, imagine si tes collègues de l'église, qu'est ce qu'elles penseront de toi  et de l'éducation catholique que tu donnes à ta fille, dit il faussement compatissant en me narguant avec un petit sourire. Pour l'amour de Dieu , n'envoie plus ta fille dans ce bar remplis de pêcheurs, fit il théâtralement.

Oh le connard

Il vient de trouver le point faible de ma mère

Quel manipulateur doublé d'un menteur