chapitre 32

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Depuis sa plus tendre enfance, il se souvenait que la résidence de sa famille qui se trouvait en Allemagne l'effrayait, il trouvait qu'elle était lugubre, repoussante et malsaine.

Mais aucun autre membre de sa famille n'en parlait, il avait l'impression d'être fou et préférait donc se taire, ne jamais rien dire et ainsi évité une énième dispute et une série de reproche de la part de son père.

Il se souvient que lui et sa sœur jumelle avaient été un moment amené à vivre quelques mois dans cette résidence, sans la présence de leur mère, leur grand frère et avec leur père qui ne rentrait que rarement.
Ce grand manoir au dessus des collines avait vraiment le don de faire peur à Charles Wilson chevalier.
Il avait l'impression d'entendre des murmures et des grincement effrayant à chaque fois qu'il fermé les yeux.
Tout était étrange dans cet endroit.
Les restrictions de son père étaient multiples.
Ils n'avaient presque pas le droit de faire quoi que ce soit.
Mais l'interdiction qu'il ne fallait surtout pas enfreindre était de ne jamais allait dans la cave.

C'était le plus important et la tâche à ne jamais enfreindre.
Charles le respectait, bien que guider par sa grande curiosité, il savait resté à sa place et ne donnait aucune ampleur à son côté curieux et impétueux.

Mais un jour, en l'absence de son père et avec l'inattention du personnel, Charles avait atterri devant la porte de la cave.
Guidé par son ballon qui lui avait échappé des mains.
Il avait peur, très peur mais il avait encore plus peur que son père ne trouve son ballon dans ce lieu et ne finisse par l'accusé de quoi que ce soit.
Il était donc obligé de le récupérer, il ne comptait pas ouvrir la porte de la cave.
Il voulait juste récupérer son bien et partir aussi vite que ses jambes de gamins pouvaient le lui permettre.
Il avala sa salive et fit un pas vers son ballon avant de le récupérer et de posé ses yeux sur la fameuse porte qui semblait si lugubre.
Si ... Malaisante. Si impure.

Charles fit demi tour et voulue quitter les lieux mais un bruit provenant de derrière la porte ne pue qu'interpeller son esprit d'enfant.
Son ballon toujours en main, le petit garçon à la chevelure blonde s'approcha de la porte et l'ouvrit lentement, l'atmosphère qui se dégageait de cet lieu était plus qu'etrange.
Le garçon fit un pas en avant puis deux jusqu'à se retrouver pris dans la pièce, accueilli par les grincement du bois et les bruits d'une chaînes qui semblait retenir queque chose... Ou quelqu'un.

Charles avala sa salive et s'approcha encore un peu, jusqu'à tombé dans un coin du lieu sombre qui était baigné dans la faible lumière d'une redicule petite lampe.

Sous ses yeux écarquillés, se trouvait une femme, attachée tel un animal, les bras lié au dessus de sa tête, sa chevelure pourpre recouvrant son visage et la tête baissée, elle ne portait que des haillons et des vêtements plus adéquate étaient posé sur une table proche de la dame.
Celle ci était posé sur le sol, pieds également lié et respiration lente.

Charles n'osait pas bougé d'un pouce, il avait très peur.
Il fit un pas en arrière et fut grincer le plancher, ce qui poussa la femme a faire un mouvement avant de levé le regard tout aussi pourpre que sa chevelure vers Charles.
Bien que dans un état pitoyable, cette dame avait le mérite d'être très belle. Et il avait l'impression de lavoir déjà vue plusieurs fois aux côtés de son père.

La femme semblait extrêmement fatiguée, comme si elle avait fait des jours sans boire ni manger, c'était effrayant.
Elle reposa sa tête difficilement sur l'un de ses bras bien que cela était difficile pour elle.
Elle encra ensuite son regard dans celui de Charles avant de dire doucement.

le roi des ronces ( Bleu Lock) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant