Lorsque j'ouvre enfin les yeux

259 1 0
                                    


Lorsque j'ouvre enfin les yeux

(100% histoire vraie)

Mes amis, je suis malade. Ca fait un moment. Et ça ressemble à ce bon vieux COVID de merde.

Malgré tout, cela ne m'empêche pas de profiter de mon Sébastien.

Hier, il passa me prendre vers 19ha15 avec une nouvelle voiture (encore) et nous sommes partis boire un verre dans notre nouvel endroit habituel du dimanche.

J'avais une petite mine (comme aujourd'hui d'ailleurs) mais il me répétait sans arrêt que j'étais belle.

Même si nous avions dit que nous arrêtions de nous projeter, nous avons passé un bon moment à parler d'immobilier, de ce que nous aimions ou non comme style de maison, de déco...

C'était je pense plus fort que nous, tout en sachant pertinemment qu'il valait mieux se concentrer sur le présent pour le moment (et j'angoisse beaucoup moins depuis que c'est le cas).

Il me proposa pourtant de rencontrer mes deux grands la semaine prochaine, lors d'un évènement qui, je pense, pourrait les intéresser.

Je dis ça alors qu'il y a une semaine ou deux j'avais déjà proposé à ma fille de faire sa connaissance.

Bref. Après deux heures de parlotte, nous reprîmes la route et il se gara sur notre parking de baise juste à côté de chez moi.

Nous avions une discussion assez houleuse sur le retour sur mon futur divorce (encore?! on se répète) et l'envie n'était plus à l'érotisme, de mon côté en tout cas (je ne peux parler en son nom).

Pourtant, il me dit qu'il avait envie de m'embrasser et de me serrer dans ses bras à l'arrière du véhicule.

Je me laissai tenter et évidemment, il se passa ce que vous pensez qu'il se passa.

Après un seul baiser, l'envie de lui me submergea. J'enlevai mon manteau et mon short, et lui grimpai dessus à toute vitesse, encore vêtue de mes collants (sans rien dessous) et de mon pull.

Une fois baissés sous mes fesses, je m'empalai sur son sexe immédiatement.

Il faisait nuit. On ne voyait pas grand chose. On devinait à peine nos traits dans la pénombre.

Il faisait chaud. De la buée recouvrit bientôt toutes les vitres de l'habitacle.

Après quelques minutes de pénétration douce, il me demanda de me caresser sur lui.

Dès que je mis mes doigts sur mon sexe trempé, je le sentis bander bien plus fort.

Ca me faisait même mal. Il tirait en même temps sur le bout de mes seins avec une force que je ne lui connaissais pas. Et j'adorai ça.

Au bout d'un moment, avec la chaleur et la position inconfortable, je me décalai à côté de lui.

Sa main prit la place de la mienne entre mes cuisses et il me fit jouir alors que je n'en avais pas forcément envie au départ.

Mais Monsieur a compris le truc depuis un moment et il peut forcer mon cerveau à lâcher prise même lorsque je ne le veux pas.

Il sait me toucher comme il faut et me donne toujours envie.

Il jouit à son tour sur mes collants et il en mit encore partout (j'adore ça, c'est fou).

Vint ensuite notre fameuse discussion post baise qui, sans jamais le vouloir, nous fait à chaque fois avancer dans nos têtes (pour ma part encore une fois).

Un coup de folieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant