Le balcon qui en avait vu de toutes les couleurs

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Le balcon qui en avait vu de toutes les couleurs

(100% histoire vraie)

Hier fut une journée particulière et ce pour plusieurs raisons.

La première, c'est que j'informais ma mère que j'allais divorcer et que j'avais rencontré quelqu'un.

Sa réaction était prévisible, mais elle fut un tantinet plus trash que ce que j'avais imaginé.

Passons sur cet épisode sensiblement foireux et arrêtons nous directement à la soirée d'hier.

Je retrouvais Sébastien vers 18h15 chez lui. Nous avions prévu d'aller boire un verre dans son quartier, entres autres joyeusetés, si vous me comprenez.

Mais avant cela, il fallait que je lui raconte la réaction de ma mère, ainsi que celle de ma sœur (beaucoup mieux quant à elle).

Sur ses bons conseils, nous nous étions installés sur son balcon au soleil.

Il faisait encore si chaud.

Je portais une jupe légère avec une culotte en dentelle rose clair que j'avais mise spécialement pour lui.

Il la remarqua rapidement alors que je décroisai les jambes et fut attiré par cette dernière comme un aimant.

Il releva ma jupe et m'écarta les cuisses pour pouvoir regarder tranquillement.

Quelques instants plus tard, il prit ma place et déboutonna son pantalon.

Je m'assis alors sur son sexe bien dur. J'avais peur que des passants nous voient, aussi je passais mon temps à regarder un peu partout.

Au bout d'un moment, je me levai, il reprit sa place en face de moi et moi la mienne.

Mais comme je n'avais pas envie d'en rester là, j'écartai de nouveau les cuisses et commençai à me caresser devant lui.

Il fit de même. Je voyais son regard lubrique sur moi, il adorait ce qu'il voyait et ça m'excitait davantage encore.

Ses yeux étaient fixés sur mon sexe grand ouvert et je le voyais vraiment au bord de la jouissance.

Un regard encore différent que ceux que j'avais pu voir jusqu'à présent.

Je sentais mes lèvres gonflées par le désir et par la pénétration qui venait d'avoir lieu.

Lorsque j'insérai un doigt en moi, je réalisai alors que j'étais trempée.

Le voir au même moment se masturber était incroyable.

Je voulais qu'il se contrôle et qu'il ne jouisse pas à cet instant et le lui dis mais il me répondit que ce n'était pas possible; il était trop excité.

Il se leva pour jouir sur l'intérieur de ma cuisse, tout en regardant mon sexe offert.

Ensuite, il se mit à genoux et me lécha pendant d'exquises minutes.

Le courant d'air frais sur ma peau et sa langue sur moi me donnaient d'intenses sensations, mes jambes tremblaient sans discontinuer.

Après toutes ces émotions, nous avons passé un moment dehors avec un verre assez chargé en alcool.

J'étais triste. Déçue. Par la réaction de ma mère qui avait été infecte et avait inventé les pires horreurs sur Sébastien alors qu'elle ne le connaissait même pas.

Comme si à 37 ans je n'avais pas encore compris qu'elle ne changerait pas. Jamais.

J'avais beau le savoir, il y avait toujours cette infime partie de moi qui espérait encore un peu.

Et qui attendrait jusqu'à la fin. De l'amour. De la bienveillance. De la reconnaissance, que sais-je?

Tout ce qu'il m'avait manqué jusqu'alors.

Heureusement, Sébastien était une bonne épaule pour pleurnicher et il arrivait à me réconforter.

Rentrés à la maison (ouhhh cette expression sortie tout droit des profondeurs de la nana qui est déjà beaucoup trop attachée), je posai mon sac et enlevai ma jupe, tant qu'à faire.

Il me prit par la main et m'emmena directement dans la chambre.

Nous avions très envie l'un de l'autre (ce n'est pas comme si nous venions de faire l'amour une heure ou deux auparavant).

Il enleva son pantalon et j'enlevai mes sous-vêtements.

Il me demanda de m'allonger et se mit sur moi directement.

Le moment où je m'allongeais les cuisses écartées et où il me rejoignait m'excitait toujours énormément.

Je savais qu'il allait me prendre et j'étais toujours extrêmement impatiente de le sentir de cette manière là.

Il entra en moi assez brutalement.

Pourtant, nous nous étions mis d'accord sur le fait que nous ferions l'amour tendrement ce soir-là car nous avions un peu abusé les jours précédents.

Il me demanda très vite si j'arrivais à voir correctement nos sexes l'un dans l'autre dans le miroir.

Comme ce n'était pas le cas, je me décalai quelque peu et pus observer une image d'une beauté sans nom.

Je n'avais jamais regardé aussi attentivement la magnificence d'un sexe d'homme pénétrant celui d'une femme.

C'était beau et excitant (oui, le porno ce n'est vraiment pas ma tasse de thé, je préfère le vivre que de regarder sauf qu'à cet instant précis, le vivre et le voir c'était vraiment incroyable).

Il jouit encore un nombre incalculable de fois. Il me défonça le dos aussi. Mais sur le moment, je n'avais pas mal.

Il me mit des fessées très fortes, et me dit que j'avais une tête à me faire enculer. Ahah.

Et que je puais le sexe aussi ( Il est certain qu'avec tout ce sperme sur moi je ne devais pas sentir le chocolat. Je plaisante- il m'avait dit ça alors que nous étions dehors et cela n'avait aucun rapport avec mon odeur, vous l'aurez compris).

Je ne comprenais pas comment un simple baiser ou une simple caresse me donnait automatiquement envie de lui, alors même que nous passions des heures à faire l'amour chaque fois qu'on se voyait (et c'était souvent).

Je ne comprenais pas non plus comment au bout de cinq minutes à peine il était capable de bander à nouveau et d'être aussi dur que la pierre.

C'était l'amour sans aucun doute. L'envie d'être ensemble.

Le bonheur d'avoir trouvé sa moitié sans l'avoir cherchée, sans s'y attendre.

Le plaisir d'être ensemble, de partager un maximum de choses, et le réconfort également quand ça n'allait pas.

Il devenait de plus en plus indispensable à ma vie. J'avais besoin d'un contact quasi permanent.

J'avais besoin de le voir, de l'entendre, d'être près de lui.

J'avais besoin de ses bras et de ses caresses pour être bien.

J'avais besoin de faire l'amour avec lui, tendrement parfois et bestialement d'autres fois.

J'avais besoin de sa présence, de chaque parcelle de son être.

J'aimais tout, même des choses que d'ordinaire je détestais chez les autres.

Etre auprès de lui était la seule chose que je désirais.

Il était devenu essentiel tout simplement...

Un coup de folieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant