" Deviens ma muse Freya. "
Ces mots, prononcés avec une intensité désarmante, résonnèrent en elle. Jamais Freya n'aurait pensé qu'une simple soirée mondaine, qui l'ennuyait d'avance, bouleverserait ainsi sa vie.
Autrefois, elle aurait refusé sans hé...
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❝ 𝑇𝑢 𝑛𝑒 𝑝𝑒𝑢𝑥 𝑝𝑙𝑢𝑠 𝑡𝑒 𝑝𝑎𝑠𝑠𝑒𝑟 𝑑𝑒 𝑡𝑎 𝑚𝑢𝑠𝑒 ? ❞
ᥫ᭡
𝑭𝑹𝑬𝒀𝑨 𝑪𝑨𝑴𝑷𝑩𝑬𝑳𝑳
𝓙e fais craquer mes doigts prête à faire mes recherches sur elles, mais au même instant la sonnerie de ma maison retentit. Mon cœur rate un battement et je regarde l'heure. Il est à peine dix-sept heure et pourtant, je n'attend personne.
Je ferme mon ordinateur portable et me lève tout en me dirigeant vers la porte. Je regarde dans le juda.
Mon cœur se réchauffe en voyant mes futures invités.
J'ouvre la porte et je suis accueillit par une orde d'amour sans nom.
— Tata Freyaaaa ! hurlent mes nièces d'amour.
— Mes bébés d'amour !
Mes trois nièces sautent dans mes bras alors que je m'accroupie pour toute les attraper. Elles ont entre 3 et 8 ans, ce sont les enfants de mon grand-frère, Isaac, âgé de trente-cinq ans.
— Mes princesse, vous m'avez tant manqué !
— Mais tata c'est toi qui vient plus nous voir.. se plaint Jasmina, âgé de cinq ans.
Je ris doucement en serrant un peu plus fort mes nièces dans mes bras. Abigael boude légèrement, me regardant avec ses grands yeux accusateurs, tandis que Sarah, la plus jeune, s'accroche à mon cou comme si elle ne comptait jamais me lâcher. La plus grande, Chloé, joue déjà les petites adultes en me tapotant la tête avec un air faussement mature.
— Oh, Jasmina, tu sais bien que tata travaille beaucoup, je suis désolée, ma chérie. Mais je suis là maintenant, et ce soir, on va rattraper tout ça, OK ?
Elle hoche la tête, mais je vois bien qu'elle n'est pas totalement convaincue. Je me redresse en tenant Sarah dans mes bras, tandis que Chloé tire déjà sur mon pull pour attirer mon attention.
— Tata Freya, papa a dit que tu nous gardais ce soir ! s'exclame-t-elle avec enthousiasme.
— Oh, vraiment ? dis-je en haussant un sourcil, amusée. Et où est donc votre papa ?
Je regarde au loin et aperçois Isaac, debout près de sa voiture, un sourire en coin sur le visage. Il me fait un petit signe de la main avant de s'approcher.
— Salut, Féfé, dit-il en me tendant une valise. Désolé de débarquer comme ça, mais j'ai une urgence au boulot et personne d'autre pour les garder ce soir.
