Chez moi

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Je suis sur le parking de la boite appuyée contre une belle Mercedes,entrain de fumer mon joint, je me sens bien et détendue rien ne peut venir gâcher mon moment de zen attitude, mais d'un coup je sens unregard sur moi, je tourne ma tête et vois un Lorenzo songeur, ils'approche de moi, me prend mon joint, le porte à ses lèvres ettire dessus, ( mmm ce geste le rend encore plus sexy qu'il nel'est déjà ) je sais pas cequi ce passe dans ma tête, mais à ce moment là, je n'ai qu'une envie : me jeter sur lui, il se place devant moi et me colle contre la voiture puis baisse sa tête vers mon oreille pour me dire :

    - Je vais te ramener chez toi, tu ne peut pas conduire comme ça ( dit il avec une voix sexy )

    - Non ! Je peux rentrer chez moi toute seule

    - Yéléna, je te demande pas ton avis alors tu monte dans ma voiture, sans discuter

    - Miller !! Ne me do... ( il me coupe la parole pour me crier:

    - Putain ! Tu me laisse pas le choix

Il me porte sur son épaule et contourne la Mercedes où on été appuyés puis il me pose sur lesiège passager. Le silence est lourd, je veux pas lui parler, mais lui ne le voit pas comme ça :

    - Yéléna tu peut me donner ton adresse s'il te plais ?

    - .... ( je ne lui répond pas )

     - Bon ok je te ramène chez moi alors !

    - Hors de question que je viennes chez toi

Je lui ai donné mon adresse puis il c'est mis en route, je me suis permise de le regarder conduire, mes yeux se baladaient sur ses lèvres. Ses mains posées sur le volant, me donnaient des pensées intenses ( je vous jureque ce mec est un appel au viol, non mais merde à la fin c'est quoi mon putain de problème ? )

     - Ton problème c'est alcool, drogue et tes hormones qui pètent le feu puis ce mec

    - Ah te re-voilà conscience ? Je suis d'accord avec toi, ce soir j'ai un peu abusé mais ça va je gère mes hormones.

15minutes plus tard

Il gare la voiture devant mon appartement, il sort et vient m'ouvrir la portière ( pfff genrele gentleman laisse moi rire )Bref , on marche vers la porte d'entrée puis j'ouvre et entre dans mon appart suivi de Lorenzo, je lui propose un verre d'eau qu'il accepte.

Pointde vu de Lorenzo

Yéléna me tend le verre que jeprend en lui frôlant les doigts, je vois qu'elle frissonne, mes yeux ce plongent dans les siens, je sens une chaleur monter en moi, je ne comprends pas ce qui ce passe, mais j'ai trop envie d'elle alors sans réfléchir je pose mon verre sur le bar et je la tire à moi, je plonge une main dans ses cheveux en les tirant légèrement pour lui faire basculer la tête en arrière et lui déposer des baisés dans le cou, elle halète puis me repousse et me dit :

    - Non mais ça va pas Lorenzo ?

    - Ne fais pas ta vierge effarouché, nos corps s'appellent Yéléna et tu le sais

    - Non ! Toi et moi avons des règles et je ne compte pas les oublier avec toi puis ton corps ne m'attire pas du tout

    - Putain, tu as raison, j'me casse aller salut

    - Salut

Elle est sur le point de fermer la porte son appart quand...

    - Oh et puis merde...

Je la plaque contre le mur ducouloir, l'embrasse avec violence, mets mes mains sur ses hanches pour la soulever, elle met ses jambes autour de ma taille, me tire les cheveux et je gémis de plaisir à ce geste, je remonte sa robe et place ma main sous sa dentelle pour toucher son sexe...

    - Mmmm tu es trempée

    - Miller, ferme la et baise moi

Putain que cette femme m'excite, elle sais ce qu'elle veut. Me dit-je à moimême

Je rentre deux doigt en elle, cequi me vaut un gémissement ( pas le même qu'elle a fait dans la boite, non, lui était sincère ) je fais des va et vient rapides car je sais qu'elle n'est pas une femme vanille oh non elle est brutale comme moi, elle prend mon membre dans sa main et me branle ( mon dieu cette fille sait s'y prendre ) ce qui le fait gonfler de plus belle, je ne peux plus attendre alors je lui déchire son boxer, prend une capote et la glisse sur ma bite. Je la pénètre d'un coup brusque qui la fait pousser un :

    - AAAAAAAAAAAAhhh

Je la pilonne brutalement toujours contre le mur, je prends un de ses sein dans ma main pour le manger, le sucer et le mordre... elle gémis encore, puis je l'emmène sur son canapé et là elle me pousse sur celui-ci, s'assoie sur moi et se laisse glisser sur ma queue, je pousse un gémissement de plaisir, elle bouge lentement. Je pose mon pousse sur son clitoris et fais des cercles tout en la regardant dans les yeux. Je lui demande d'une voix saccadée :

    - Laisse... to..i allerrr yééélénaa

Je suis ses mouvements, je sens qu'elle vient alors je mets la main qui me reste de libre sur sagorge pour la serrer un peu. Elle jouis avec violence...

    - Oh put..ain Lo..rennzooooooo mmm ( en me griffant le dos, ce qui me fait basculer a mon tour )

    - Merde, Yéléna ! T'es trop bonne

    - Je sais, comme toi Miller

J'enlève la capote et pars la jeter, quand Yéléna reçoit un appel sur son portable.

Je la vois changer de couleur,pâle comme la mort, elle se lève en trombe du canapé, s'habille à la hâte.

    - Emmène moi à l'hôpital, vite !! »

Fin du chapitre

L'amour ou sa profession ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant