Chapitre 7

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. J'avais remplacé mes mes cours de gym par la conduite en une semaine j'avais largement dépassé l'objectif que Carter m'avait fixé j'avais été jusqu'à cent cinquante kilomètres heure. J'évitait le plus possible ma maison jusqu'à faire croire que je dormais chez mon copain, j'avais dormis chez Peter plusieurs fois. J'avais même réussi à ne pas voir Louis depuis son retour à la maison, il y à quatre jours. Pourtant je devrais bien l'affronter un jour où l'autre, j'avais plus le choix, surtout que Lucas avait de plus de mal à le supporter.

-Lilou, vient ici. M'appela ma mère.

Je redoutais le pire mais j'allais la rejoindre dans la cuisine.

-Peut on savoir pourquoi tu ne vas plus au entraînement ? Demanda ma mère.

-J'ai plus envie de faire de gym. Annonçais je sur de moi.

-Quoi ? Suffoqua ma mère. Mais tu n'as même pas atteint les jeux olympiques.

-J'ai plus envie, je suis totalement démotivé, les jeux ne sont que dans trois ans et je ne tiendrais jamais jusqu'à là.

-Mais tu ne peux pas arrêter comme ça, tes une championne. S'écria ma mère.

-Je ne veux plus et tu m'y forcera pas.

Je monta en haut, l'état de Lucas m'inquiétait, je le vis tourner sur sa chaise de bureau s'arrêter et reprendre, il nous fesais une sorte de dépression.

-Lucas, sa va ? Demandais je inquiète.

Il s'arrêta de tourner mais ne me repondis pas, il me fixa puis il se mit à tourner de nouveau.

-Tu as pris quelques chose ? Murmurais je.

Toujours aucune réponse, je me mis à fouiller autour de lui, il n'y avait aucune bouteille, je trouva un petit sachet en plastique vide.

-Lucas, c'était quoi ? Demandais je en criant.

Ses yeux etaient cernés, je le pinça pour voir si il réagissait à la douleur mais il ne sentis pas mon pincement, je lui mis une claque, un peu plus pour me défouler que pour autre chose.

-Viens, te coucher. Murmurais je en le prenant par les bras .

Je le fis s'allonger sur le lit, en veillant à ce qu'il reste bien sur le côté, je lui carressa ses cheveux avant de fermer la porte et de m'effondré en sanglot devant sa porte.

-Lilou, murmura Louis en m'enlevant mes mains qui cachait mon visage.

-Dégage tout ça c'est de ta faute, tu va le tuer, tu l'as pas sauvé, criais je.

Il me giffla, je me releva choqué puis je fonça au garage je pris les clés puis la voiture de Louis. Ici je ne pouvais faire confiance à personne, Zach c'était cassé, Louis était un connard et Lucas devenait suicidaire. Carter pouvait faire confiance à aucune femme, moi, c'était au homme. Je fonçais à toute vitesse vers les côtes californienne toute en zigzag.

J'atteignis les deux cents kilomètre heures comme j'atteignis l'orgasne, jusqu'à apercevoir les flics, mon visage se decomposa quand je vis la voiture me suivre, je me rangea sur le côté, ne voulant pas m'attirer plus d'ennui. Il me demanda les papiers mais bien sûr, j'en avais pas et surtout pas le pemis de conduite. Je lui avoua que je n'avais que quatorze ans mais je refusa de lui donner mon nom. Il me menotta et m'emmèna au poste, malgré l'interrogatoire je ne lacha pas mon nom, il me demanda si je voulais appeler quelqu'un mais je refusa.

-Bien, vous resterez dans cette cellule jusqu'à ce que quelqu'un vienne payer la caution, me dit l'officier.

J'etais seule dans cette grande cellule, il n'y avait que des bancs tout le long des murs, vers midi une policière vient m'apporter un menu KFC, je le mangea par ennui, je n'avais pas faim. S'en suivit d'une demi heure ou mon estomac me tordait de douleur, je demanda d'allé au toillette et je pu enfin digérer de ce poulet qui menacer d'exploser mon estomac. J'essaya de faire la sieste puis je compta les parpaing de la cellule puis le carrelage. Vers deux heures du matin, je me mis à sangloter, la cellule c'était rempli de prostitué de racaille ou de dealeuse, je supplia un officier de pouvoir appelé quelqu'un et par chance il accepta.

RebelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant