Chapitre 24

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On etait à la veille des vacances de Thangiving - Noël, Lyndsay, moi et Louise se préparions pour rejoindre nos familles. Louise etant toujours fouré dans nôtre chambre, elle avait finit pas aménagé avec nous. On avait collé nos trois lit et la chambre était dans un sacré désordre, aucune de nous trois étaient maniaque. On était devenu très proche, j'avais complétement oublié la Louise du lycée mais quand on évoque cette période on en rigole.

-Elle son à qui ces chaussures ? Demanda Lyndsay.

-C'est pas à moi, répondis je.

-À moi, non plus. Répondit Louise à son tour.

-Je vais les prendre, dit elle en haussant les épaules.

-Lilou, je viens d'avoir le pilote, il arrive dans cinq minutes. Me renseigna Louise.

Louise était très riche, son père possèdait un jet privé et un yatch, le contenu de son placard vallait des milles et des cents mais elle me prêtait souvent c'est affaire.

-Louise, ton Prada ? Demandais je en lui fesant mon air mignon.

-C'est ton dernier cadeaux de noël, rouspeta t'elle. Mais je te le donne, rigola t'elle.

-T'es sur ? M'étonnais je.

-Oui, mais on dois y allé là

On fit un gros câlin à Lyndsay qui habitait New York, soit à trois milles kilomètres de nous puis on partit dans le taxi.

-Il y à un truc que je comprend pas, s'exclama Louise. Tu as deux paires de Louboutin, un Prada, une veste en cuir Reiko et même une Porsche mais tu n'as jamais d'argent.

-Pour payer ma perruque, j'ai fais un truc illégal, avouais je.

-Tu t'es prostitué ?! S'écria t'elle.

-Non, rigolais je. Au début je fesais de simple course sur un circuit dans la campagne, ma Porsche m'a rien couté puisque c'est des grand amies à moi qui me l'on faite, seul la carrosserie est d'origine. Et puis, le circuit m'ennuyait, je me fesais engueulé par mes frères car je roulais beaucoup trop vite alors j'ai fais des noubelles courses. Cette fois je gagnais de l'argent grâce à des parieurs et c'était beaucoup plus excitant.

-Wow, j'aurais jamais deviné mais c'est mieux que de faire la pute. Pourquoi tu as arrêté ?

-À cause du connard, répondis je.

-Oh ! Il sera là ?

-Je sais pas, j'allais pas lui posé la question, il répond pas de toute façon.

-Si tu as besoin, je suis pas loin. Me souria Louise.

-S'il est déjà arrivé et qu'il m'attend, je fais quoi ? Demandais je triste.

-Tu le castre. S'écria t'elle. Non, Lilou, pleure pas.

-Mais ça fais tellement chier, après tout ce qu'on à traversé ensemble, ce petit con ne peut pas attendre trois mois avant de se taper, toute les blondes du campus et je devrais pas lui en vouloir car je l'ai trompé.

-Quoi ?! Tu l'as trompé quand ? S'écrira t'elle.

-Quand il etait dans le coma, j'ai été à Paris et j'ai un peu fais n'importe quoi.

-Wow, tu as fais fort. Il est enragé mon chaton. Commenta t'elle.

Lyndsay et Louise, me prenaient pour un petit chaton, j'étais la plus sage des trois, je prenais au sérieux mes études, aux soirés ma seule folie était de boire pendant qu'elle accumulatait les mecs et les joints.

RebelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant