Chapitre 18 en cour de réécriture

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Point de vue de Tyler

J'avais mis du temps à ouvrir les yeux et j'avais déjà recommencer à m'assoupir après le départ de l'infirmière, un médecin était dejà venus avec deux infirmières pour vérifier mon état mais je ne comprenais pas tout. J'étais trop fatigué pour réfléchir et le médecin avait réussi à m'assomer avec une tonnes de question du genre "combien j'ai de doigt ?" ou "comment vous appelez vous ?", la dernière infirmière à partir m'avait signalé que mon frère arrivait, ça ne pouvait pas être mon véritable frère Carter, ça devait être Zach qui se fesait passé pour mon frère.

Doucement puis brutalement, mon cerveau se mit à cogiter, j'étais à l'hopital et les souvenir de l'accident resurgissent peu à peu, j'avais le souvenir de la brutalité quand je suis tomber dans le fossé après avoir dévier la voiture qui arrivait en face puis le noir complet. Un autre détail me revient, j'avais doubler Carter puis Lilou, j'espère qu'ils vont bien, s'il arrivait quelques chose à Lilou par ma faute,je me le pardonnerais jamais puis Carter, même s'il me déteste et qu'il reste un enfoiré, ça reste mon grand frère. Quelqu'un entra, je reconnu la silouhette de Carter mais je referma les yeux, il venait pourquoi ? M'engueuler, surement, il était incapable de laisser sa haine de côté et puis j'avais rien à lui dire non plus.

-Tyler ? Murmura mon grand frère.

Il avait l'air nerveux, sa voix tremblait mais calme, sans la moindre colère dans sa voix, peut être qu'il c'était juste inquièté pour moi. D'ailleurs qu'est ce que j'avais eux ? Le médecin m'avait rien expliqué mais tout avait l'air normal dans ma tête, du moins Carter avait confirmé que je m'appelais bien Tyler et j'étais encore persuadé d'avoir bien compter sur les doigts du médecin. Je finis par ouvrir les yeux et mes traits devait être aussi nerveaux que celui de Carter, j'avais peur de lui reparler, ça me fesait tellement bizzare mais il fesait un gros effort pour le faire, alors je ne sais pas si je devais lui en vouloir à mon tour.

-ça va ? Bafoua t'il. T'as pas trop mal ?

-Non, baillais je. Je me sens juste comme assomé, qu'est que j'ai eux ?

-T'es rester assez longtemps dans le coma, m'avoua t'il gêné.

-Combien de temps ? Grinçais je.

-Un mois et une semaine.

-Ah, soupirais je. Je m'étais préparer à plus long.

-C'était déjà assez long pour nous, soupira t'il soulager.

Je souris à sa remarque, j'étais content de compter pour lui, Lilou avait raison mais il jouait tellement bien le frère sans coeur que j'avais crus qu'il pouvait me laisser crever sans remord.

-Et Lilou, elle va bien ? Demandais je inquiet. Je l'ai doublé et après j'ai essayé de me rabbatre devant elle.

-Lilou, va bien, m'arrêta t'il.

Carter partit une heure après, on avait un peu parlé puis on avait jouer aux cartes pour passer le temps. Je savais pas si j'allais le revoir bientôt, peut être qu'après ça, ont continuerais à s'ignorer. Peter était passer, un peu avant le départ de Tyler. Ils étaient partit, une fois Zach arrivé, ils avaient réussi à avoir Lilou. Bizzarement Peter avait l'air gêné quand je lui est demandé ou elle était comme si c'est deux la, ce fesait la gueule mais comment on pouvait se facher avec Lilou ?

Lilou avait finit par pointer le bout de son nez avec un magnifique sourire aux lèvres, elle avait embrasser Zach sur la joue avec de le prier de dégager sur le champs. Zach c'était plutôt amusé de la situation et était partit après deux minutes, des minutes qui semblaient durer une éternité pour Lilou qui regardait mes lèvres avec envie.











Je m'arêta au côté du circuit puis je sortis une cigarette avant de m'apercevoir que j'étais pas seule sur ce circuit. Un homme agées d'une vingtaine d'années s'approchaient de moi, il avait un grand nez, ces un détail que je remarquais tous de suite chez lui et tout le reste n'était pas très beau même s'il était très bien habillé d'une façon assez chic d'ailleurs.

-Wow, après huit mois tu es toujours aussi spectaculaire, s'écria un gars.

-Et en qui ai je l'honneur ? Demandais je froidement.

-Will Beck, un de tes grands admirateur, tu m'étais passé devant à la course des qualifications et aussi des débutants. Je voulais te proposer quelque chose.

-Vas y dis, demandais je toujours aussi froidement.

-Avec des copains, on voulait un peu innover dans les courses et gagner de l'argent, commença t'il. Alors on se réuni le mardi et on lance des paris, on fais un bout d'autoroute sur cinq kilomètres puis on reviens, seul le gagnant remporte la mise des paries.

-De cinq cents à mille.

Mille ? Ça devait être un signe.

-D'accord pour mardi, c'est ou et à quelle heure ?

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RebelleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant