Rebelle

Chapitre 20

Aïe !

Perdre connaissance à cause de la drogue était très douloureux au réveil et c'est à ma grande surprise que je remarqua que j'étais plus seule. Je nageais en pleins Roméo et Juliette mais en version moderne, celle ou Romeo découvrant le corp de sa bien aimée endormi prient le reste de poudre, pour ne pas souffrir le temps qu'elle dort. Je nageais encore en pleins délire, en réalité : qu'il est con ! Qu'il est con ! Qu'il est con !

-Taylor réveille toi, criais je en le secouant. Taylor.

-Mais ... Répondit il.

Je le coupa en enfournant sa langue dans ma bouche et il se laissa faire. Mon dieu ! Qu'est ce que je l'aime.

-Je suis désolé, murmura t'il.

-Moi aussi, murmurais je en lui caressant les cheveux les larmes aux yeux.

-Je t'ai manqué ? Me demanda t'il.

-Je crois que je te l'ai suffisamment manqué, je croyais que tu m'avais oublié et que tu m'avais jamais aimé, sanglotais je dans son épaule.

-Je suis juste trop têtu et borné mais je t'aime, je t'aime, je t'aime, répèta t'il.

Aucun de nous deux s'expliqua sur la drogue qu'on venait de prendre, nous avions tout deux été des junkies et ils nous en faudraient peu pour que la drogue devienne de nouveau un quotidien.

Taylor me laissa cinq minutes sur la terrasse d'un restaurant, il avait une course à faire, il revient s'assoir en face de moi, le sourire au coin des lèvres. Plus tard dans la soiré, on était toujours aussi collé l'un à l'autre, on était dans son lit puis il sortit un petit sachet blanc qui m'éffreya.

-Taylor, qu'est ce que tu fait ? Demandais je effrayés.

-J'ai repris, dit il aussi effrayé que moi.

-Taylor, arrête. Murmurais je les larmes aux yeux.

-Je peux plus.

Je me tourna vers le mur, je voulais pas qu'il y touche mais pendant qu'il traçait ses propres lignes, je résistait pour ne pas sniffé la précieuse poudre. Pour finir je me leva rapidement et je lui piqua le bout de paille pour sniffer les lignes qu'ils avaient tracés.

-J'en ai d'autre, tu compte tous les finir ? Demanda t'il.

-J'en avais besoins, dis je en lui repassant la paille.

-Je peux pas te l'interdire, parce que j'ai pas l'intention d'arrêté mais fais attention

En une semaine on était resté trois dans cette chambre, moi, Taylor et la coke. Notre addiction était revenu, on avait pas mesuré l'ampleur que cela avait prit en ci-peu de temps. Mais on était heureux et très amoureux, on prenait soins de l'un et de l'autres quand il ou si j'étais trop défoncé, on avait jamais autant fait l'amour et on ne sortait que pour aller chercher d'autre drogue mais ce matin, je m'inquiétais d'avantage pour Taylor, en plus de nôtre précieuse poudre, il avait ramené de l'héro. J'avais insisté pour lui mesurer la dose à prendre moi même puis il était partit dans la salle de bain. Mardi, j'avais dû refaire une course car nous manquions d'argent, on se laissait suffisamment libre même si on était toujours ensemble, chacun de nous était assez grand pour s'occuper de lui même.

En vérité mes inquiétude ne fesait que de multiplier les sentiments que j'éprouvais pour lui, j'avais constamment besoin de l'embrasser, de caresser son torse mais je l'aimais peut être mène trop et ça me fesait peur.

-Taylor, dis je en poussant la porte de la salle de bain.

La lumière me brûlait les yeux, elle était beaucoup trop forte pour mes yeux qui c'étaient habitués à l'obscurité. Taylor était allongé sur le tapis, je m'accroupi à côté de lui et je lui retira la seringue planté dans ses veines. Son cœur battait rapidement mais il respirait toujours, je m'allongea à ses côtés mais j'entendis des murmures suivient d'un bruit de clé qu'on enfoncerait dans une serrure. Je fis semblant de rien entendre et je cacha mon visage dans les épaules de Taylor.