Nous avions mangés la pizza, qui était exquise d'ailleurs, devant un match de Basket. Il était vraiment à fond dans ce sport. Il connaissait tous les joueurs de la NBA, leurs points forts ainsi que leurs points faibles. Il s'était emporté plusieurs fois, c'était plutôt drôle de le voir comme ça. Moi j'avais essayé de suivre mais je préférais le foot, j'avais fait une allusion à ce sport mais il m'a regardé comme si j'avais dit une horrible absurdité. Donc je me suis tus le reste du match en savourant mes morceaux de pizza.
Maintenant Jack était sous la douche, moi je trainais seule dans sa grande maison. Il n'y avait aucunes photos de famille, je trouvais ça un peu étrange à vrai dire. D'habitude dans chaque maison il y avait au moins une photo de famille, mais là non. On pourrait presque croire qu'ils étaient simples colocataires et non une famille. Enfin, peut-être qu'ils n'aimaient pas les photos. Je demanderais à Jack. Je zappais plusieurs chaînes de télévision avec des programmes plus idiots les uns que les autres. Jack sortit de la douche en caleçon, il était terriblement sexy comme ça. Il avait les muscles bine dessinés. Et il restait des gouttes d'eau sur son corps, j'avais envie de l'avoir contre moi. De sentir sa peau contre la mienne, son souffle dans mon coup et son toucher qui me procurais tant de sensation, il se plaça devant moi et me sourit.
-Dis, ce que tu vois te plaît ? Il posa ses mains sur mes hanches. J'eu des frissons rien qu'avec ce geste. Je rougis immédiatement.
-Hum... J'aimerais bien dormir, tu as une chambre à me prêter ?
-Vas-y évite la question. Il sourit à nouveau. Mais oui Mae, je vais te prêter ma chambre. Il posa son front contre le mien.
-Mais tu vas dormir où toi ? Dis-je en baissant les yeux.
-Mais avec toi. Il se mit à rire. Je lui frappai l'épaule. Il rit encore plus puis me prit tel un sac à patate. Je ne l'ai pas vu arriver ça. Il monta les escaliers très vite pendant que je le suppliais de me poser et que lui riait. Il me posa ensuite sur le lit. Il était au-dessus de moi, mon souffle se coupa alors qu'il me regardait dans les yeux et qu'il entrelaçait nos doigts. Il m'embrassa la joue et se leva. Je m'attendais à plus je dois l'avouer, j'étais quelque peu dessus. Mais remarque j'étais très fatiguée et mon mal de crâne refit son apparition. Je me mis sous la couette. Jack fit de même avant de me rapprocher de lui et de poser ma tête sur son front. Il avait son bras autour de moi et sa main faisait des cercles sur mon dos. Je ressentis à nouveau les fameux papillons s'agiter dans mon ventre.
-Je suis désolé Mae. Fit Jack d'une voix à peine audible.
-Pour ? Dis-je en levant mes yeux pour croiser son regard.
-Ce que je t'ai dit ce matin... Je ne pensais pas ce que je t'ai dit. Il resserra son étreinte comme par peur que je parte suite à ça.
-Ah oui... Bien, c'est déjà oublié. Je passai ma main sur son torse, il frissonna, c'est moi qui vient de provoquer ça ? J'en suis heureuse vraiment. Cela veut dire que je ne le laisse pas indifférent et que je peux provoquer des choses en lui. Je montai sur lui, il me regardait surpris et je souris.
-A quoi tu joues Mae ? Il me regardait avec un air amusé. Je passais mon doigt le long de son torse. Je ne savais pas ce qui se passait dans ma tête mais j'en avais envie, peut-être était-ce la fatigue qui me faisait agir ainsi. Il plaça ses mains sur ma taille puis les glissa le long de mes hanches. Il mordit sa lèvre inférieure. Il était vraiment très sexy. Je sentis quelque chose au niveau de son caleçon durcir, je me sentis rougir aussitôt, il passa sa main sur ma nuque et embrassa les côtés de ma mâchoire. Je soupirais lorsque qu'il passa sa main sur mes fesses. Il m'embrassait ensuite au coin de mes lèvres, j'avais envie de plus mais été terriblement fatiguée.
VOUS LISEZ
Paradise //Jack Gilinsky // FINI
Fanfiction"J'ouvris les yeux difficilement. Un goût de fer se trouvait dans ma bouche. Ma tête me semblait terriblement lourde. Mes yeux me piquaient et j'avais du mal à les garder ouvert. Je ressentais les courbatures se développer dans mon corps. J'étais en...