|《 16 》|

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| Dans la peau de Sans-âme |

« Aux quartier, y'a que des vrais hommes. »
Soumabeille.

On l'a connaît tous cette histoire, l'homme étant différent, est maintenant dans sa tombe.

Peut-être que si il avait agit autrement, rien de cela serai passer. Vivant dans un quartier, il devait se comporter en homme, en un vrai. Peut-être assumer ce qu'il était, ne pas avoir peur des jugements.

Que dis-je ? Il était gay. Les gens, quand t'es pas ceux qu'ils veulent que tu sois, attend toi au pire.

Ah ouais on va pas s'mentir, la vie est sale.

À l'âge de onze, j'devais me lever tôt pour répondre à la demande de tout les junkies de Paris. J'avais pas le droit à l'erreur, je devais pas venir en retard, ou la marchandise risquerai d'être moins chère que prévus. Cela arriver très souvent, mais je ne pouvais m'empêcher d'être feliz. Quand je réussissais à gagner à peine cinq balles, j'avais le sourir car je savais que la nuit, je dormirai en ayant mangé au moins du pain et boire de l'eau.

Et là ? J'ai du frics et en veux plus, toujours plus. Sans-âme n'a pas de sentiment, donc il n'a pas peur. Mais Souheil, c'est autre chose. Je crains, j'ai toujours cette angoisse de tout perdre, et comme avant, retourner dans la rue me prostituer pour gagner quelques billets.

Cet crainte, commence à s'en aller. Sachant que je vais bientôt mourir, je m'en contrefiche, de tout... Enfin presque.

En rentrant dans mon chez moi, j'passe directement dans une pièce qui se nomme salon. Je m'assoupi sur mon canapé, et j'ai ceux putain de réflexe de prendre ma bouteille de vod' et la faire pété solo en riant tel un aliéné qui doit absolument être interné. Je fini une bouteille tière-en, et la nuit commence.

J'téma mon phone, plusieurs personnes on essayait de me joindre. Le Cartel Sangre Frià veut s'associer à mon business, celui d'un Russe veut acheté une grande quantité de nos drogues. J'ai v'la les choses à fournir, mais pourtant je délaisse tout.

Je veux me concentrer, j'ai fais une promesse, une dernière promesse, que je veux tenir : Mourir auprès de Nawel.

Dès enfant, je savais que j'allais devenir une ordure. Mais y'a un défaut que je ne voulais jamais avoir : La Malhonnêteté.

Je n'ai jamais mentis, je n'ai jamais étais infidèle. Et je suis fière de moi, vingt-sept ans, et j'ai réussi à ne pas être cet homme dont on ne peut pas faire confiance.

Il est hors de question, que juste avant ma mort, je sois un homme que je ne veux pas être, que je déteste.

Nawel.. Nawel... J'ai étais éloigné d'elle plus de trois ans et je suis resté debout. Car malgré la distance, je savais qu'elle était encore ici. Ouais on va pas s'mentir. Chaque instant, j'flippe. Parce que tant que Nawel est sur terre, je sais qu'à tout moment, je peux tout perdre.

C'est pas le squelette qui jacte, mais simplement Souheil.

《 Au téléphone 》

Luego - Tu pars en couille, ça se passe comment ?
Moi - Tu veux quoi là?
Luego - Sans-âme, revient sur terre. Tu as pensé quoi ? Qu'tu pouvais la refaire tomber love de toi ? Elle aime son mari !
Moi - Cállate. T'as crus qu'j'étais con ? C'est pas ça le plan.
Luego - ...
Moi - Avant qu'elle tombe dans mes bras, faut que Salah tombe dans d'autres. Puis elle sera à mes côtés,et je mourrai en ayant tenir ma promesse.
Luego - Et elle ? Tu mourras, mais elle ? Elle aimera un homme mort. 》

《 Fin de l'appel 》

Il a oublié qui est le patron, à qui il s'adressait se connard. J'ai vite raccroché, avant que les nerfs montent, et que demain on le retrouve lapidé lui et sa femme.

Nouveau Message :

De Rayhane : Le beaux yeux bleues, est pas mal.

Moi à Rayhane : Contente toi de le faire tomber amoureux de toi, à vouloir se tailler les veines lorsqu'il passe à peine une heure sans toi.

De Rayhane : Un jeux d'enfant.

De Rayhane : Tu sais bien que je t'aime. Je ferai n'importe quoi pour toi Sans-âme. Juste pour passer une vie éternelle à auprès de toi. 》

Quand Sans- âme prend le dessus, y'à plus aucune limite. Tou est permis, alors que le jeux commence...

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« Souvenirs Inoubliables »

Partie que je dédicace à LA_TISMEYY que je remercie de ses votent, commentaires parfois. Puis, je te remercie de suivre chaque histoire que je poste. Une fidèle lectrice.

Désolée, une partie bof bof.

« Souvenirs Inoubliables. »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant