êtes vous prête à coucher?

Le fameux Ethan

Chapitre 25 : Le fameux Ethan

Marion m'ouvrit. Il n'y avait aucun doute qu'elle sortait du lit. Ses cheveux noirs étaient en bataille, elle avait un restant de trace de crayon noir en dessous ses yeux, et portait une robe de chambre en soie qui laissé voir un joli petit ensemble rouge.

Je n'arrivais pas à comprendre, même comme ça elle gardait un certain charme, alors que moi le restant de maquillage faisait juste dégueulasse et me donnait l'impression d'avoir un visage de six pieds de long. C'est comme si, le reste de maquillage était la preuve que j'avais fait la fête toute la soirée, et que je n'arrivais pas à assumer le lendemain.

- Entre ! On était en train de petit-déjeuner tu veux un thé ?

- On ? À peine avais-je demandé, que je vis un canon sortir de la cuisine une tasse de café à la main. Il me regarda, et me salua avec sa tasse.

- Lucie, je te présente Ethan. Ethan, Lucie ! Chantonna-t-elle en lui prenant le bras.

Il n'y avait pas à dire Marion avait très bon goût. Ethan avait les cheveux brun clair assez courts, il avait un visage fin et des yeux gris-bleu. Il était torse nu, et on peut dire qu'il était bien bâtit. C'était sûr que quand il ne révisait pas pour être le major de sa promo, il faisait de la musculation. Il était plus grand que Marion, d'au moins dix centimètres. Il but cul sec son café avant de prendre un pull posé sur une chaise « je vais vous laisser, on dirait que vous avez des choses à vous dire » Il embrassa Marion sur la joue.

- Attend, tu ne restes pas dit-elle en essayant de le retenir.

- J'ai encore plein de choses à faire concernant les cours, et puis je ne crois pas que ton amie ait envie que j'entende ses problèmes personnels. On se voit ce soir.

Ethan pris Marion par la taille, et celle-ci lui donna un baiser passionné. Je ne savais plus où poser mes yeux et je me découvris une passion à regarder une peinture d'art contemporain que Marion avait accrochée à un des murs du salon.

Quand, ils se lâchèrent Ethan me salua en rajoutant qu'il avait été heureux de me rencontrer et partit sur le parking pour récupérer sa voiture. Marion resta à la porte jusqu'à ce que son petit copain soit rentré dans sa voiture.

- Il est tellement adorable, m'avoua-t-elle en soupirant. J'acquiesçais de la tête.

- C'est vrai qu'il a l'air cool. Ça se passe plutôt bien entre vous, on dirait. Dis-je en voyant à travers l'embrasure de la porte de la chambre que le lit était s'en dessus dessous.

- Plutôt oui ! Chantonna-t-elle encore. Mais ne parlons plus de moi qu'est-ce qu'il s'est passé pour que tu m'appelles et passes comme ça à l'improviste ?

Je suivais Marion qui se dirigeait dans la cuisine pour me préparer un thé, et lui racontai toute l'histoire à propos de ma cauchemardesque découverte.

- Oh merde ! jura-t-elle. Je pouvais sentir qu'elle se retenait de rire, elle avait toujours était comme ça, Marion de toute façon, dès qu'il m'arrivait un truc pas croyable, elle en riait. Je lui lançai un regard réprobateur comme je savais si bien les faire. « Quoi ! je n'ai pas encore ri. » S'indigna-t-elle. En même temps il t'arrive toujours des trucs impossibles aussi, ce n'est pas ma faute si ça me fait rire.

- Je demande juste parfois un peu de support est-ce trop demandé de ta part ?

- Non, tu as raison. Et du coup comment tu te sens ?