Si vous vous attendez à une blague, vous risquez d'être un brin déçus.
Eugene Paul Wigner est un physicien théoricien Hongrois naturalisé Américain. En 1963, lui, ainsi que Maria Goeppert-Mayer (une physicienne Germano-Américaine) et Hans-Daniel Jensen partagent le fameux prix Nobel pour leur travail sur la physique quantique.
Vous êtes toujours là?
Mais j'avais rien prévu, moi! Comment je suis censé vous divertir maintenant? Bon... Je vais vous parler des baleines. Les baleines sont des poissons... Non, je crois que ce n'est pas vraiment une bonne idée, après réflexion. Ok, vous savez quoi? Je vais vous donner des éléments scénaristiques quelconques et vous allez prendre une feuille de papier ou un ordinateur, écrire une fabuleuse interlude infernale, l'enrouler (si vous l'avez écrit sur ordinateur vous l'imprimez, et si vous l'avez rédigé sur votre smartphone vous êtes un peu con, et pouvez donc entamer la suppression de votre charmant document word. Non mais franchement, qui écrit sur son téléphone? (La petite mise à jour que vous lisez actuellement à été écrite sur un bippeur, ainsi, ça ne compte pas)), puis, soigneusement et avec maintes précautions, vous allez vous le glisser dans l'orifice corporel de votre choix (il peut s'agir de votre céleste cavité anale comme de l'oreille droite de votre loutre de compagnie si c'est votre truc. Je ne juge pas. Enfin si mais vous faites ce que vous voulez, après). Si ça vous dit pas je peux toujours reprendre mon exposé sur la physique quantique... Ouais, c'est bien ce qu'il me semblait. Dans ce cas-là, je n'ai qu'une chose à dire: au boulot!
Les éléments sont: un type chauve, une armée de souris, un bol de dix mètres de diamètre et la ville de "Ouagadougou" dans le Burkina-Faso. Oh, et ça finit avec la phrase: "Je savais bien que c'était pas par là qu'on devait rentrer". Allez, bonne chance.
Bon, par contre je vais tout de même tenter de remplir tout ça parce que ça fait un peu vide, là.
Un conte de fèces:
Il était une fois un crapaud, il était très laid. Un jour, un prince charmant le vit, baignant dans un étang dont émanait une perpétuelle odeur de transpiration. Il le ramena chez lui, prévoyant de l'épouser. Le crapaud n'en avait aucune envie, et ainsi il lui cracha au visage et lui dit: "Wesh bâtard, tu me touches pas avec tes salles teu-pas!" impressionné par un vocabulaire ainsi châtié, le prince n'en tomba qu'encore plus amoureux de la créature.
Trois jours plus tard, le crapaud lui refila le SIDA et le pauvre prince mourut sur le champ. Le cuisinier fît cuire le crapaud et le servit au banquet des obsèques, ce qui causa la mort de tout le royaume par intoxication alimentaire. A l'exception du cuisinier et des mendiants, qui bâtirent un empire plus fort des cendres du précédent. Empire qui s'effondra à son tour une semaine plus tard pour exactement les mêmes raisons.
Morales: Ne vous tapez pas des crapauds, La peste c'est nul et surtout, ils étaient quand-même sacrément cons au moyen-âge.
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Billybob Au Pays Des Emmerdes
HumorVous aimez l'aventure, le suspense et l'action? Vous êtes adeptes d'humour de haut niveau? Vous avez une haute estime pour les auteurs qui mettent un sens caché à teneur philosophique imposante? Vous lisez tout ce qui s'étend de Victor Hugo à Stephe...