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1 mois 1/2 plus tard

Avec Amir, tous se passait pour le mieux El Hamdulilah, franchement je n'ai pas à me plaindre.

Kahina, elle, courre de partout et nous épuise, ont dois surveiller tous ses faits et gestes.
Mais, je suis épanouie, ma vie est comme je le désirais.

Ma mère est venue passer un week-end à la maison et a donc appris à mieux connaître Amir.

Ils s'appréciaient super bien.

Moi : à Amir Tu fais quoi ?

Amir : J'ai quelques papiers à remplir, pourquoi ?

Moi : Rien, j'aurai aimée sortir Kahina au parc, histoire qu'elle se défoule ailleurs que dans sa chambre.

Elle s'amusait à vider ses armoires et en mettre de partout. 😅

Amir : Je finis et je vous rejoins ?

Moi : Ça marche, je vais chercher Djibril et Ines, ça fais longtemps que je les ai pas vu.

Amir : D'accord, vient faire un bisou à ton mari avant? c'est un ordre.

Moi : Sinon quoi ?

Amir : Tu veux réellement savoir ? avec une voie perverse

Moi : AMIR! J'ai encore des courbatures d'hier, faut que tu ralentisses !

Amir : Mais je veux un bébé Amir.

Moi : Ouais ben ont à le temps.

Même si, je pense qu'il est prêt à arriver.
Tout les soirs, non stop.
Depuis qu'il a démarré la machine il ne me laisse plus tranquil, mais bon, c'est mon mari...

Il y a deux semaines, j'ai même dut faire un test de grossesses, il s'est avéré négatif, malgré ma fatigue et mes douleurs de dos.
Le docteur m'a dit que je devais me reposer. Facile à dire quand t'as un bambin qui court à longueur de journée.

Kahina : Mama

Moi : Sauvé par la crapule. Aller mon coeur à tout à l'heure.

Amir : Ouais ouais!

J'ai rigolé et j'ai enfilé la veste à Kahina. Elle bougeait dans tout les sens, alors je l'ai bouclée dans le siège auto. La seule chose qui l'a calmait c'était la musique, ou bien la pub de la télé. Oui oui, cet enfant est spécial.

Une fois devant la cité, j'ai esquivé Nessim, encore une fois et je suis montée frapper à la porte.

Zohra : Ah Salem Aleykoum. Mohamed y a ta fille!

Moi : Salam...

Mohamed : Ah benthi ça fais longtemps, rentre.

Moi : Non je... Je voulais emmener les enfants aux parcs, si tu veux.

Mohamed : Oui pourquoi pas. DJIB INES Y A VOTRE SOEUR!

Ils sont venus en courant en criant Naaaanaaaaa.
J'ai eu le droit à un gros câlin et ils ont enfilés leurs vestes.
J'ai dis à mon père que je les remmenaient pas tard et ont est partis.

Ayna - Tout recommencer, de la ville au quartierOù les histoires vivent. Découvrez maintenant