AYNA|
Ont se retournent en même temps quand la voie d'Amir nous parviens aux oreilles. Meryem, elle, a l'air mal à l'aise, comme si elle avait trop parlée.
Je vois qu'elle connaît le caractère de mon mari.Meryem : Bonjour Amir, comment tu vas ?
Amir : Bien merci, il passe son bras sur mes épaules et me tire vers lui tenant encore Kahina contre ma poitrine.
Meryem : Bon, je vais y aller.
Amir : Je ne vous retiens pas.
Elle fait un signe de tête, caresse la joue de sa petite fille et s'en vas.
Une fois qu'elle est assez loin, je soupire d'agacement.
Ses mots m'ont blessés, et m'ont remis en question.
J'ai envie de pleurer, mais personne ne me prendra ma fille. Je ne l'ai pas accouchée mais c'est moi qui l'a borde tout les soirs après une histoire.
C'est moi qui me suis réveillé en pleine nuit pour lui donner ses biberons. Nos liens du coeur sont plus fort. Enfin, j'espère.Amir : Aynaaa?
Moi : Pardon, je ne t'écoutais pas..
Amir : Elle te voulait quoi cette vipère ?
J'ai secoué la tête, ne voulant pas lui en parler. J'étais grave énervée contre cette femme...
Amir : aux enfants Bon, vous voulez manger une glace vous ?
Ils crient en chœur, Amir rigole et me regarde en fronçant les sourcils.
Il attrape par la suite ma main et ça m'apaise. Ce n'est pas grand chose mais quand je remarque tous les gestes tendres que mon mari me fait, je craque littéralement. Je n'aurais jamais pensé qu'il pourrait se montrer aussi tendre qu'il l'est.J'ai de la chance de l'avoir et je suis sûre qu'entre Amir et Lydia il ne s'est jamais rien passé quand Kahina est née, il avait tellement de haine contre cette conne.
Moi : Chocolat caramel pour moi.
Amir : T'es pas un enfant toi donc pas le droit.
Moi : Amiiiiiir, j'ai faim.
Amir : Bon, j'lui en prend une ou pas ?
Ines : Je sais pas...
Djibril : Non, ahah
Moi : T'oublies que je sais certaines choses Djibou hein, je lui fais un clin d'œil.
Djibril : Oui enfaite elle a le droit.
Ont rigolent et prends nos glaces. Amir propose qu'ont aillent sur un banc et j'en donne un peu à Kahina qui en redemande cette bagra.
Je la sert contre moi.Amir : Tu ne l'as perdra pas Ayna, c'est notre fille.
Il attrape ma main et pose un baiser dessus.
Il sait lire à travers mes pensées, il me connaît tellement.L'après-midi se passe plutôt bien, si ont oublient l'accident du début.
Moi : Il faudrait qu'ont les remmènent Amir.
Ines : Oh non ont veux rester avec vous !!
Djibril hoche la tête.
Moi : Mais papa et Zohra vous attendent à la maison.
Amir : Ils peuvent dormir à la maison, la chambre d'amis est faite.
Ok, il est vraiment pas avec moi.
Les petits sautent de joie, ils me percent les tympans.
Ils me chantent Diiiiis oui Nanaa, ouiii !Je me sens obligé de leur dire oui, vous verrez leurs tête trop hnine.
Moi : Bon ok, mais j'appelle baba déjà pour lui demander.
Je prends mon téléphone et m'isole un peu plus loin, composant le numéro du fix. C'est toujours Mohamed qui me répond, quand Zohra voit mon numéro s'afficher elle se presse de donner le cellulaire à quelqu'un d'autre.
Mehlich, je ne saurais quoi lui dire.
Hassoul, comme je l'avais prédis, je tombe sur mon père, il accepte et me donne sa permission de les engueuler au cas où. Comme si j'en avais besoin.
Je m'en suis occupé pendant de long mois.
Moi : Bon c'est okkk!
Djibril, Ines et Amir : Ouiiiiii!
Amir : Vous voulez manger macdo?
Eh mais j'ai jurez il va faire devenir mes enfants obèses celui-là !
Mais, j'ai aussi été émue de remarquer qu'Amir serait un bon père InchAllah.
Il aime tellement les enfants, c'est un magnifique tableau qui s'offre à moi quant il porte sur ses épaules Ines en faisant des passes de ballon à Djibril en même temps.
Moi, je pousse la poussette un peu en arrière.Je vous assures que ce moment à illuminé toute ma journée, malgré les regards de jalousies qu'ont percevaient de chaques côté.
J'étais heureuse, et c'était le principal.
Le soir, nous avons regardés un film, après avoir couchés Kahina.
J'étais à gauche, Djibril à mes côtés, Ines au milieu, dans les bras de mon mari.
Ines : Ont pourra venir plus souvent avec Djibril ? à la maison c'est nul, Zohra fait le chef !
Moi : C'est normal ma chérie, elle s'occupe de vous maintenant, et même si elle ne prendra jamais la place de votre mère, elle sera toujours là pour vous.
Djibril : Mais nous ont préfèrent toi comme maman.
Moi : Je sais, mais je suis votre grande soeur moi.
Après ça, ils ne disent plus rien et ont se re concentrent dans le film.
Film nul à chier au passage, mais bon, ça les occupent, c'est déjà ça.Amir : Ils se sont endormis...
Moi : Je vais y passer aussi...
Amir : Oh non t'es pas prête de dormir!
Je lui fais de gros yeux, montrant les enfants. On sait jamais s'ils jouent la comédie.
Amir : Ils dorment!
Moi : Amir, t'en sais rien.
Il rigole et pars les emmener chacun à leurs tours aux lits.
Je monte enfiler une nuisette et me démaquille. Je glisse sous les couettes en attendant mon mari.
Quelques minutes plus tard, il me rejoint et fait un énorme plongeons sur moi. Je l'insulte de tous les noms, mais il ne dit rien et se met en caleçon.
Amir : J'ai passé une trop bonne journée hbibi.
Moi : Moi aussi mon coeur.
VOUS LISEZ
Ayna - Tout recommencer, de la ville au quartier
Romance- Chronique commencée le 11 Décembre 2015, peu connue, mais beaucoup de chapitres publiés. Je n'écris pas forcément pour les ⭐️ Mais de la reconnaissance ferais plaisir. Merci ❤️