Chapitre 4 :
Des loups-garous.
La voilà ma société secrète : une espèce d'hybrides. Des hommes et des femmes en tout point identique aux humains. À ça près qu'ils possédaient le pouvoir de se transformer en boule de poil. Mes souvenirs immédiat étaient confus mais j'ai bien vu un trentaine d'hommes muter.
Je gémis de douleur, ma robe était déchirée, j'étais en sang même si la griffe n'avait pas atteint mes poumons.
Kingwood m'avais bien eut. J'avais entendu son petit discours, j'avais écouté leur légende en me disant que ces personnes vivaient réellement sur une autre planète, je devais rentrer chez moi.
Je levais les yeux vers mon sauveur.
- Vous !
- Je vous avais prévenu de ne pas venir à ce bal.
Matthieu Chevalier, l'Alpha de France. Je me demandais si il comptait pas plutôt faire comme les autres mais dans son coin... Mais pour l'instant c'était mon seul allié.
Il me suivit à la trace jusqu'à ma suite.
- Pourquoi me suivez vous ?
- Je suis garant de votre sécurité, préparez vous à partir, Arthur doit déjà savoir que vous avez filé.
Je pris dans les tiroirs mon jeans slim vert, des sous-vêtements simple ainsi que chaussettes et un sous-pull à l'effigie de Tom & Jerry.
Assit sur le luxueux sofa, mon sauveur me regardait étrangement.
- Quoi ? Demandais je un peu trop brutalement.
- Je suis surpris. Vous étiez effrayé et là... Non.
- Oui mais là, il n'y a plus de menace. À moins que vous en soyez une, mais vous vous êtes donné trop de mal pour me sortir du château. Je vous remercie chaleureusement mais à partir d'ici je peux rentrer seule.
J'allais utiliser l'argent gracieusement offert par le vieux fou, maintenant je préférais brûler les billets que les lui rendre.
- Où comptez vous aller ? Demanda-t-il incrédule.
- Chez moi.
Je rentrais dans la salle de bain et fermais la porte à clé. Protection dérisoire mais psychologiquement utile.
Je souffrais de devoir retirer le tissu collé à ma chaire à vif. Je mis la magnifique robe à la poubelle, déchirée et couvert de sang elle était fichu et puis les cadeaux empoisonnés : non merci !
Je nettoyais ma blessure, cela m'arracha quelques cris.
- Vous allez bien ?
Je fus touché par son inquiétude.
- Très bien.
Je pus me laver, l'eau sur ma plais me torturais. Je m'essuyais la poitrine en douceur, comment expliquer le sang sur les serviettes de l'hotel?
Les Kingwood se débrouilleront. Je trouvais des bandes de tissus stérilisées que je fis tenir avec du scotch médical. Je mis précautionneusement mon soutient-gorge et mon haut. Je m'habillais entièrement puis en réunissant mes affaires je me maquillais le visage pour cacher mes bleus. Pour me donner une contenance je me maquillais les yeux et mis du gloss.
Je rouvris la salle de bain et m'assis par terre pour mettre mes Docs-Martens verte. Ce fut seulement quand j'eus finis que j'entendais mon sauveur parler à quelqu'un. Je me figeais.
- Oh non Christ, je t'assures elle va très bien... Oui, avec les gardes qui vous surveille on peut pas vous rejoindre, j'ai déjà programmé notre fuite. À demain.
Il rangeait son téléphone, j'entrais dans le salon, il me regarda des pieds à la tête. Il me lança un regard admiratif.
- Vous êtes impressionnante, on ne dirait pas que vous venez de vous faire agresser par des monstres.
- Vous traitez votre propre espèce de monstre ?
- C'est ce que nous somme pour vous.
Je détournais les yeux, je n'avais pas encore réfléchis posément à tout cela.
- Préparez vous nous partons. Je peux nous faire quitter le pays sans remous.
Je pris ma valise et la posais sur la table, il choisit de m'aider. Il prenait mes vêtements dans l'armoire et je les rangeais. Il eut la décence de me laisser ranger mes sous-vêtement toute seule. J'aurais rougis si il y avait touché.
Il fit les cents pas en attendant. Je le vis prendre quelque chose sur mon lit. Je me raidis, il avait prit Mr Pantoufle.
Je savais très bien qu'à mon âge il était ridicule d'avoir encore un doudou et si cela se découvrait je perdais toutes crédibilités. Mais je ne pouvais tout simplement pas m'en séparer. Mon premier petit copain l'avait utilisé comme argument pour dire que j'étais immature. Ouais bien sur, c'était pas moi qui avait piqué une crise de jalousie car un enfant de dix ans m'avais dis que j'étais jolie.
- Donnez moi ça, dis je en tendant la main.
- Il est mignon ce lapin, ma nièce aussi en a un mais en bien meilleur état, celui là doit bien avoir vingt-cinq ans. Il doit sûrement sentir le vieux tissu.
Il le renifla ostensiblement. Le mouvement de ses narines auraient pût me faire rire.
- Ah non ! Pomme et lavande, étrange association. Votre peluche à exactement votre odeur.
- C'est votre nez de monstre qui dit ça ? Le taquinais je.
- Mon museau, nuança-t-il.
Je pouffais, il avait un humour étrange mais amusant. Il mît ma peluche dans la poche avant de ma valise.
Nous prîmes un taxi jusqu'au port de Douvres, nous n'échangeâmes pas un mot, je ne pouvais poser aucune question devant le chauffeur du taxi. Quand mon compagnon d'infortune retira ma valise je laissais les six enveloppes d'argent dans le coffre avec écrit sur l'une d'entre elle "for you, mister Taxi".
J'étais surprise qu'un bateau nous soit réservé en plein milieu de la nuit mais je compris en arrivant que le bateau appartenait au Chevalier. Le capitaine du mini-ferry n'émit aucune protestation et obéis à tous ses ordres, même de me préparer une chambre. Je dormais d'un sommeil sans rêve qui s'avéra très reposant malgré les remous du bateau.
Par solidarité Mr Chevalier resta avec le capitaine à parler de diverses passions masculines.
Nous arrivâmes vers six heure, heure française. Nous patientâmes jusqu'à sept heure douze à la gare du Havre. Nous prîmes le train express pour Paris.
J'observais mon compagnon pendant qu'il se reposait. Il ne semblait pas... Monstrueux. Il était courageux comme beaucoup d'humain, il avait parlé des atouts de divers actrices avec le capitaine comme d'importer quel humain. Les personnes lors du bal étaient gentille, méchante, humble, colérique, drôle ou non. Ces personnes étaient humaines mais avec un plus extraordinaire.
Je retournais la situation en longue, en large et en travers mais je tombais toujours sur cette conclusion. Puis je me posais des questions : avaient ils des dents plus grandes que la normale ? Je regardais le loup-garou en face de moi. Il dormait la bouche fermé.
Je repensais à mon mystérieux danseur, comme tout les invités il était un loup, il n'avait pas de grande dent. Je me demandais si il avait fait partit de ceux qui sont sortit ou de ceux qui avait voulu m'attaquer.
Il était attirant, je regrettais de ne pas être resté avec lui dans le jardin. Mon compagnon de voyage était attirant lui aussi. Tout les loups sont ils comme cela ?
Je voulu le réveiller au moment où nous entrions en gare mais il ouvrit les yeux à ce moment là. Je me demandais suspicieuse si il avait réellement dormit.
Il porta ma valise jusqu'au parking le plus proche de la gare. Une Mercedes noir nous attendait, le chauffeur salua son patron et rangea ma valise dans le coffre. Nous restâmes coincé un moment dans les embouteillages du midi, je ne trouvais pas goût à regarder les autres voitures stagner. C'est pour cela que je ne remarquais pas tout de suite que nous quittions la ville. Nous allions à son manoir.
- Mr Chevalier, mon appartement est plus proche de Paris que votre manoir. Pouvez vous me déposer chez moi ?
Il me lança un regard lasse.
- Non. Nous avons des choses à voir à propos de votre présence au bal et de ses conséquences.
- Ah, exprimais je circonspecte.
- Oui car si je vous ai l'interdit c'était pour pas mal de raison, compléta-t-il avec un ton de professeur agacé par un élève récalcitrant.
Il allait probablement me remonter les bretelles mais je ne me laisserais pas faire.
Vexé de me sentir en faute je me retournais vers le paysage.
Nous arrivâmes au manoir dans les environ de midi. Il m'informa que notre discussion aurait lieu dans son bureau, je ne lui avouais pas que j'avais faim.
Je ne vis personne mais quand nous approchâmes de son bureau j'entendis des murmures, les habitants du manoir devaient nous espionner. D'après Mr Kingwood, l'apparition d'une princesse louve était un événement rare, je devais être une curiosité de leur enfance enfin dévoilée.
Arrivé dans le bureau le maître des lieux s'installa dans son fauteuil, il m'invita à prendre place en face de lui.
- Mlle David, savez vous que mon territoire s'étant sur la France entière ?
- Oui, les DOM-TOM aussi ?
- Non la Corse est la seule île sous mon pouvoir et encore c'est la bas que j'exiles mes bannis. Vous devez vous doutez qu'il est impossible que je sache si un loup débarque sur mon territoire.
- Oui, répondis je avec méfiance. Et alors ?
- Comment vais je pouvoir garantir votre protection si tout les loups peuvent venir chez vous et vous violez ?
Que ferais je en pareil cas ? Julien ou Natacha m'aiderait sans problème.
- J'irais chez une amie ou chez mon frère.
- Ils sauront bientôt tous de votre vie, jusqu'à l'adresse actuelle de votre meilleure amie de maternelle.
- Que me proposez vous ?
- Le seul endroit où vous serez en totale sécurité est ce manoir.
Je me relevais en plaçant les mains sur son bureau.
- Il est hors de question que je reste coincé ici !
- Je pourrais vous l'ordonner.
Je plissais les yeux, souhaitant parraitre menaçante.
- Je ne suis pas un loup-garou, je ne suis donc pas l'un de vos sujets.
- Hélas depuis hier vous l'êtes.
Je retombais sur mon siège.
- Les blessures de loup-garou peuvent me transformer ? Demandais je en posant les mains sur ma blessure.
Je sais que je m'étais plutôt bien faites à l'existence des loups-garous mais de là à en devenir une...
- Non pas du tout, vous êtes une filia lupus.
Je me détendais.
- Et à part un nom à problème c'est quoi ? Mr Kingwood à parlé de loup plus fort si je me souviens bien.
- Vous qui étudiez notre vie vous ne connaissez même pas notre religion et ses légendes ? Fit il moqueur.
- Non, rougis je. Moi je m'occuper plutôt de la rédaction, c'est mon mentor Mr Lambert qui s'occupe de votre histoire.
- Nos ancêtres vivaient dans le respect de la nature et en harmonie avec les loups, si bien que la déesse Lupine nous fit grâce d'un immense don : pouvoir devenir loup. Nous sommes bien plus gros et fort que de vrai loup. Pour eux comme pour nous il faut un Alpha. Alors quelques fois, dans notre histoire, une princesse louve naît. Son compagnon devient l'Alpha des Alphas et leur premier né est un loup plus puissant et dominant que les autres.
- Et il n'y a aucun moyen pour que vos amis me laisse tranquille ?
Il réfléchit quelques instants.
- Si. si vous tombez enceinte. D'un simple humain votre enfant n'aura pas grand chose de plus que les autres humains et vous ne pourrais plus mettre au monde un Alpha. Seul un loup déjà né Alpha pourra prétendre au titre d'Alpha des Alphas. Donc au lieu de craindre plus de dix millions de loup, vous ne devez craindre qu'une quarantaine d'entre nous.
- Je vois, je vais vite me trouver un mari alors mais je refuse de rester ici contre mon grès... Vous êtes un Alpha, si me violer vous permet de devenir le grand Manitous, pourquoi ne le faites vous pas ?
- Si c'est vous qui me le demande, moi ça me va. Vous êtes très belle et vous avez un corps désirable mais malheureusement pour vous ma mère m'a élevé mieux que ça.
Je penchais la tête, il était sincère. Était ce un compliment ? On ne pouvait pas lui reprocher de me mentir.
- Vous n'avez aucune ambition ?
- Si comment tout homme de pouvoir mais pas au mépris du corps d'une femme.
- OK. Mais je refuse de rester ici. Si je ne vais pas travailler je serais renvoyé.
- J'ai les moyens et convaincre votre patron de vous octroyer un congé de disons... Six mois ? Le temps de trouver autre chose pour votre sécurité.
- Je pourrais tout de même sortir du manoir de temps en temps ? C'est que nous sommes qu'en début d'été, je n'ai pas envie de rester cloîtré à l'intérieur.
- Quand je parlais du manoir je voulais parler du domaine dans son ensemble. Cinq cent hectares de forêt et de clairière plus deux lacs naturels. Mais pour sortir du domaine ce sera soit avec moi soit avec ma sœur cadette Christa ou son époux.
Je me résolu à accepter, mais avec mes conditions.
- J'acceptes mais je me sens un peu privilégiée. Vous n'auriez pas un travail que je puisse faire ? Pour payer mon hébergement.
Il me regarda longuement, il réfléchissait en tapotant du pouce son accoudoir droit. Son visage s'illumina.
- Secrétaire. Car voyez vous Christa ne pourra pas travailler avant au moins deux ans, ses jumeaux sont née en avril et depuis c'est Kateline, la troisième qui s'occupe de mes affaires mais elle est nul, j'arrête pas de lui dire. Vous êtes journaliste, vous maîtrisez la paperasse. Et si possible, à l'occasion, nourrice pour les jumeaux de Christa quand elle sort courir.
- Courir... Avec quatre pattes ? Demandais je curieuse.
- Oui. Elle n'aime pas trop les confier à Hugo, il a déjà beaucoup à faire dans le manoir... Et j'y pense, si ma mère vous apprécie, allez prendre le thé avec elle de temps en temps.
- Ça me va Mr Chevalier.
- Nan pas de ça ici. Vous êtes là pour un moment, appelez moi Matthieu.
- Avec joie Matthieu, moi c'est Juliette.
Dans la limite du temps exprimé, six mois, cela me convenais.
- Oh non vous allez perdre toute joie quand vous verrez l'état catastrophique des dossiers. Kat à tous balancé avant hier en m'insulté à tort de patron tyrannique et despotique.
- Avec raison ! Entendis je du couloir suivis de plusieurs "chut !".
Alors comme ça la fratrie de Matthieu nous écoutait depuis le début.
- Vous saviez ? Articulais je silencieusement.
Il hocha la tête avec un soupir mis consterné mis amusé. Il se pencha et appuya sur le bouton de l'interphone.
- Hugo ? Pouvez vous faire montée la valise de Mlle David jusqu'ici ?
Il se leva.
- Voyez vous les deux portes juste derrière moi Juliette ?
J'avais beau regarder je ne vis aucune porte visible, juste les mêmes tableaux qu'à ma dernière visite. Celui sur ma droite représentait un couple de loup qui hurlait sur un fond de pleine lune. Sur celui de gauche, quatre petits louveteaux jouaient en se mordillant queues et oreilles.
- Derrière les peintures ?
- C'est exacte, venez.
Nous nous approchâmes de la peinture des louveteaux. Je trouvais une petite poignée dans le cadre, Matthieu ouvrit.
Derrière il y avait une vaste chambre en "L". Elle contenait un berceau, une table de change, un parc et une grande armoire. J'aimais les couleurs, les murs étaient blanc mais le mobilier de diverses couleurs.
- Voici votre chambre.
- Je suis plus petite que vous d'au moins vingt centimètres mais je penses ne pas rentrer dans ce berceau.
- Je sais, sourit il. C'est l'idée de Christa car depuis le second tableau on accède à ma chambre. Christa ne veut pas que vous soyez seule dans l'aile des invités, tout le reste est prit ou est à la disposition de membre de la famille. C'est donc la seule chambre sans propriétaire. De plus mes appartements sont les plus sûre du manoir, en cas d'infiltration c'est inviolable. Vous et moi serons les seuls à en avoir la clé... Dans l'après-midi je ferrais venir un lit adulte.
- Pourquoi avez vous une chambre de bébé à côté de la votre ?
- Ce sera pour mes futurs enfants mais comme je ne risque pas d'en avoir dans les six prochains mois vous pouvez vous y établir.
Il approcha d'une porte, une vraie, peinte en jaune canaris.
- Là c'est ma chambre. Nos deux chambres forme un "U" et entre les deux c'est la salle de bain. Malheureusement quand j'ai emménagé ici je ne pensais pas que quelqu'un d'autre que ma descendance vivrait ici alors il faudra faire avec.
- Pas de problème.
Ne vivait il pas ici depuis sa naissance ?
- Quand avez vous emménagé ?
- À la naissance de mon plus jeune frère. Le second étage saturait. C'est la bas que vit ma mère et les quatre plus jeune. Christa et son mari vivent au troisième... Pour la visite du manoir nous attendrons, j'entends leur estomac gronder d'ici.
Quand nous retournâmes dans le bureau six têtes me regardaient en souriant. La rousse et le blond portaient chacun un bébé.
- Juliette, je vous présente vos geôliers. Le petit poil de carotte c'est Thomas, celui qui n'a jamais vu un peigne de sa vie c'est Maxime, la fausse blonde aux mèches rouge c'est Gwendoline, la brune avec un petit air idiot c'est Kateline.
- Hé ! S'exclama l'intéressée indignée.
- Ouais, la rousse c'est Christa, le blond c'est Jérémie son mari, mon
Beta et meilleur ami et les deux petits nouveaux sont Victorine et Daniel.
Je remarquais que toute la fratrie avant un prénom à diminutif : Mat, Christ, Kat, Gwen, Max et Tom.
Ils étaient tous grands, seuls les deux plus jeunes étaient plus petit que moi, et encore pour le brun je n'étais pas sûre ! Je ne me considérais pas comme petite avec mon mètre soixante dix mais là... Ils avaient tous divers traits commun mais seuls Matthieu, Christa et Maxime avaient les yeux gris, les trois autres avaient des yeux bleu vert comme de l'eau. Même si à cet instant précis ils m'apparaissaient comme une simple famille, je remarquais leur mâchoire altière, leur regard puissant ou bien leur maintient royale.
- À table ! S'exclama le plus jeune, Thomas.
- Le dernier arrivé s'assoit entre maman et Mat ! Compléta Gwendoline.
Les quatre plus jeunes partirent en courant. Les trois loups restant rigolèrent et les suivirent en marchant. Matthieu prit un bébé des bras de sa sœur et lui caressa le crâne tout en parlant avec le jeune père. Christa me sourit et me prit par le bras. Elle aussi avait les pupilles grises mais les siennes n'avaient aucune trace du pouvoir et de la menace de son frère, juste de la douceur.
- Pourquoi ne veulent ils pas s'assoir entre votre mère et votre frère ? Lui demandais je.
- Au déjeuner, notre mère s'assoit devant la porte, à une place de différence de Matthieu, la personne qui se trouve entre eux deux doit se tenir à carreau car ils parlent des affaires du territoire et notre mère n'aime pas être interrompu quand elle parle. Alors la personne est sûre de s'ennuyer ferme. Je pense que notre mère voudra vous parlez alors ce midi ce sera votre place.
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Matthieu ou l'Alpha de mon coeur
WerewolfJuliette David est une journaliste travaillant sur les sociétés secrètes. Face au refus d'un des chefs de cette communauté elle se tournera vers un autre chef qui semble, si gentiment, lui ouvrir les portes de leur bal annuel. Elle déco...