Chapitre 8

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''La vulgarité déteste l'élégance, comme l'élégance déteste la vulgarité.'' - Jean Cocteau (Le passé défini . )

Avez-vous déjà déteste une personne au point de vouloir la tuer rien quand la voyant ? Et bien moi, oui.  Quand je la vois toute la rancoeur, le dégoût, la haine sens par de moi. Je trouve que la citation de Jean Cocteau résume bien la chose. La vulgarité et L'élégance. Franchement je n'ai jamais vu un homme aussi mal poli, aussi grincheux, aussi violent, aussi... Argh... Il me met tout simplement hors de moi. Il a joué avec moi et j'ai été aveuglé, je ne referais pas la même erreur. Mais une chose et sur je vais lui rentre la monnaie de sa pièce.

Habillée ? Ok. Maquillée ? Ok. Sac ? Ok. Je prends mes clés et sort de l'appart pour prendre mon chemin habituel jusqu'au lycée.

À l'entrée du lycée, le long du mur en pierre, je vis Aiden adossé avec deux amis à lui que je ne connais pas. Lorsqu'l croise mon regard un petite rieuse apparaît sur son visage. Je décide de l'ignorer et d'entrer dans la cours de l'établissement. En voyant Charly seule je m'y m'avance, en ce temps nous ne sommes plus vraiment ensemble, à causé d'Évan. Dans l'histoire ce n'est pas lui qui me dérange mais Charly. Elle fait passer son amourette pour une amitié vieille de 6 ans bientôt. Je préfère lui en parler un autre moment je suis déjà assez à cran comme ça.

Charly : Salut. - en souriant.

Je lui fis un signe de la main pour la saluer et souris. J'allais lui demander si l'on pouvait parler du problème "Aiden", il faut à tout prit que je me venge de ce crétin sans cervelle. Mais Evan fît son apparition en la serrant dans ses bras et en lui embrassant la joue. Cela ne me sert à rien de prononcer un seul mot, quand-ils sont tous les deux personnes ne conte autour. Je me retourne et pars en traînant des pieds. Comment peut-elle oublier sa meilleure amie pour son copain ? Une voix me coupe de mes pensées et me fait revenir à la réalité. Juliette. En une petite semaine Juliette et moi avons appris à nous connaître d'A à z. En si peu de temps je me suis beaucoup attachée, elle comble le vide que Charly à l'essayer.

Juliette : Broke ça va ?

Broke : Oui oui ça va et toi ?

Juliette ; Oui très bien même, j'ai rencontré un garçon aujourd'hui. On a physique ensemble, et le prof nous à mis par binôme. Si je le vois je te le dis.

Broke : Tu n'as pas le choix, tu as intérêt à me le montrer.

Nous rigolions et allons jeter un coup d'oeil au tableau des absents.

Juliette : J'y crois par on et venues à 8h pour commencer à 10 h, c'est une blague .

Je la regarde et j'eus une idée de génie.

Broke  : Ju, - elle tourne sa tête dans ma direction, un petite Starbuck ? - en lâchant mon plus grand et beau sourire.
Elle hésite quelques instants mais finit par accepter. Sur ce nous nous dirigeons vers le Starbuck qui se situe aux coins de la rue.

Nous nous installons tous les deux à un tableau et attendons qu'un serveur prend notre commande. J'observe à travers la fenêtre la rue d'en face, quand je vois l'un des amis d'Aiden la traverser, je le suive du regard jusqu'à ce que je perds sa silhouette de vue.

Juliette : Bon Broke qu'es qu'il y a ? Depuis ce matin tu es à l'ouest, et ne parlons même pas de hier. Je suis rentrée tu étais couchée dans ton lit et je suis sûre que tu ne dormais pas, il était 8h30. Alors qu'es qu'il se passe ? - Elle insite bien sur la dernière et hausse un sourcil.

Très bien. Je soupire un bon coup et me lance.

Broke : OK je vais t'expliquer, mais promet moi de le dire à personne. -elle hoche la tête et je poursuis. Tu te souviens d'Aiden ? - elle fit signe que oui. Et bah hier quand tu étais allée voir ta famille Aiden est passé pour parler de notre "petite"altercation au macdo. Et on a fini trempé dans la douche. Il m'a m'embrassé, je lui ai demandé d'arrêté car je sais très bien comment ça allait finir et suite à ça il est parti en me disant qu'Ashley avait raison et que j'étais coincée. Alors qu'il a totalement tort je ne suis même plus vierge. - lui dis-je pour finir.

Juliette : Wow, ok, euh il t'a embrassé .

J'hoche la tête de haut en bas. Et elle poursuit.

Juliette : Et donc si j'en déduis la bonne conclusion tu veux lui faire mordre la poussière ? - me demande-t-elle avec un petit air diabolique.

Broke : Exactement. Tu as une idée ?

Juliette : Mh oui une toute petite.

En disant cette phrase un sourire au coin appareil sur son visage. Elle m'observe et se lance.... Et je dois dire que son idée n'est pas mal du tout, elle est même géniale.

BanaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant