Chapitre 35

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SORRY pour les fautes 😞
( je vais vite corriger )

Je me réveille en sentant des caresses dans le bas mon dos, j'ouvre petit à petit les yeux et voit mon copain qui me regarde en souriant tristement. Pourquoi ? Je me redresse et m'assoit sur le lit, j'observe les alentours et remarque deux choses l'une est que l'on se trouve dans sa chambre et de deux je ne porte plus mais vêtement mais à la place un t-shirt et un boxer d'Aiden. Je me gratte la tête ne sachant pas ce que je fais ici.

- Ai..Aiden ? Dis-je peu hésitante.

- Oui, me demande t-il.

- Qu'est-ce qu'il c'est passé ?

- Tu.. Tu ne te rappelles pas ? Me demande-t-il en se rapprochant de moi et touchant mon front.

- Ps vraiment je me souviens, de toi et ta mère, on était entrain de déjeuner puis on est monté et........

Le choqué.

J'essaie de me lever d'un bon et regarde Aiden, je me rappelle, comme Sí les morceau d'un puzzle c'était rassembler dans ma tête pour créer une image, cette image pour je vois Victor allongé au sol par ma faute. Des larmes coulent sur ma joue et il comprend que je me rappelle de tout, il approcha sa main mais je m'écarte.

- Je.. Je l'ai tué Aiden, il..il est....... Mort, dis-je horrifié.

Comment ai-je pu tuer quelqu'un, j'ai prit l'arme je n'ai pas réfléchis, je l'ai vu allongé subir les coups de son beau père, alors que Maxence lui était allongé au sol complètement sonné. Et Elodie que tenait sa mère, j'eu tellement peur qu'elle lui fasse quelque chose, je n'ai pas réfléchit. Je suis un monstre.

Je me lève, le regarde vide ne sachant pas quoi pensé, je sens le regarde inquiète et protecteur d'Aiden sur moi. Je m'avance vers la porte fenêtre et regarde le levé du soleil qui est présent devant moi.

- Je suis un monstre, murmurais-je.

J'entends des pas venir vers moi, sachant que c'est Aiden je me laisse faire. Ses mains m'encerclent la taille par derrière et pose ensuite son menton sur mon épaule, il caresse ma peau sous mon t-shirt et me chuchote :

- Tu n'es pas un monstre bébé, il est... toujours vivant.

Je me crispe à l'entente de cette phrase, il n'est pas mort ? Je me retourne et le regarde droit dans les yeux. J'ai peur de savoir mais je dois lui demander.

- Aiden, qu'es ce qu'il c'est passé après que je sois tombée dans le coma. Je veux la vérité !

Il lâche un soupire, se gratte l'arrière de la nuque comme il sait si bien le faire quand il est stressé avant d'ouvrir enfin la bouche.

- Après que tu sois tombé dans les pommes, Maxence nous a dit que nous devions partir au plus vite, nous avons ramassé tout nos affaires ma mère à suivie Max puis je t'ai porter et nous sommes partie. Pendant qu'Elodie pleurait elle à complètement oublié notre présence. Durant le trajet j'ai appelé la police ou plus tôt des amis qui travaille avec celle-ci. Victor à été soigné puis envoyer en prison avec sa fille, grâce à dossier que j'ai réussit à monter contre lui il va passer beaucoup de temps en prison. Et ne t'inquiète pas, les médecins savait qu'il était quelqu'un de dangereux et de psychologiquement instable. Ils ont donc pensé qu'il s'était lui même tiré dessus. Et pour Elodie elle a été envoyé dans un asile psychiatrique, j'ai apprit qu'elle avait des troubles de comportement.

Wow, c'est incroyable. Comment a-t-il réussit à règle tôt cela. Mais au fond je suis tout de même coupable. Il me prend le poignet et me jète sur le lit, sans comprendre ce qu'il se passe je sens ses lèvres sur les miennes. Il dépose une lignée de baisers en partant de ma mâchoire passant par mes lèvres et glissant vers mon cou.

- Tu n'y est pour rien, bébé, ce n'est pas de ta faute. Tout va... tout c'est arrangé, dit-il en souriant.

Il a peut être raison, mais je ne peux pas oublier ça, pas pour le moment, c'est tout bonnement impossible. Je pose mes mains sur ses joues et déposé un doux baiser sur ses lèvres.

- J'ai vraiment eu peur pour toi, j'ai cru que j'allais te perdre Aiden, je... je t'aime tellement. Dis-je en baissant les yeux.

Il relève mon menton et me regarde droit dans les yeux.

- Moi aussi je t'aime, tu ne peux même pas imaginer à quelle point.

Je sourit faiblement, et le pousse pour me lever, je lui prend sa main et lui dit  que nous devons descendre et voir comment vont les autres. Nous descendons les escaliers mains dans la mains, croisons le regard de chacun, et le choque.

BanaleOù les histoires vivent. Découvrez maintenant