Nous sommes lundi matin, 7h57 exactement et je commence par, roulement de tambour, 2h d'histoire. Oui mes deux seules heures dans cette matière de la semaine heureusement.
Je suis assise comme dans chaque cours, ni tout devant, ni tout derrière.
J'observe les gens qui entre dans la salle, Cassy, Lesly... Quand mon regard s'arrête sur elle, la fille de la photo, la fille au fond la classe, Élodie, la fille ou je dus ramène un dossier. J'en suis sûre maintenant elle lui ressemble à deux goûté deux, elle est devenu beaucoup plus jolie, et plus mature physique. Il faut que je lui demande, je suis bien trop curieuse, mais je sais que si je demande à Aiden la conversation va partir en vrille.J'attends que l'heure passe, je pense et repense à comment je pourrais me présenter. À comment je pourrais lui demander.
Dring Dring
Je sors de la salle et vais vers la cafétéria. Je ne peux pas, pas maintenant. Je ne la connais pas je ne peux pas lui demander juste comme ça.
Je m'installe avec mon plateau à côté de Juliette et en face d'Aiden, Jace lui a cours et finit 1h plus tard. Ce qui me laisse un peu de calme avant les cours. Jace est du genre bavard.
Elle est là, entrain de s'avancer vers la table, notre table. Elle pose son plateau à côté d'Aiden et elle lui tapote l'épaule, il se tourne et eut un moment de surprise. Elle saute dans ses bras mais lui ne bouge pas, pourquoi je sens de la jalousie monter en moi. C'était une amie d'enfance non.
- Tu m'as tellement manqué Aidinou.
Aidinou, elle et Max se dit le mot.
- Euhh...ouais...t...toi aussi Élodie.
- Alors comment tu me trouves après 5 ans ?
Il a toujours son air choqué, mais il serre les poings et une veine sors de son cou.
- Tu n'as pas vraiment changé.
- Tu ne le trouve pas plus belle . J'ai mûri, regardent les formes maintenant.
Non mais elle se gêne par elle ! J'y crois pas. Juliette tousse faussement pour que la pimbêche nous remarque enfin.
- Ah vous êtes des amies à mon Aidinou.
- Oui. Coupe-t-il avait que l'une d'autres nous répond.
Amis ? Lui et moi ? Très bien.
- Excusé moi, mais j'ai un rendez-vous. À plus Juliette, Aiden. En l'observant.
Je souris faiblement à Élodie et m'en vais vers... vers où ? Je décide d'aller à la bibliothèque au moins là, je suis sûre de ne pas être dérangé.
J'entre et la première personne que je vois et Maxence.
Je m'avance vers lui et lui tapote l'épaule, il se retourne et me sourit.
- Hey la tigresse comment tu vas ?
- Ça pourrait mieux aller mais bon, et toi .
- Qu'est-ce qu'il se passe, c'est Aiden ? Oui moi ça va. En souriant.
On s'installe à une table et je préféré lui demander, jouer carte sur table.
- Tu connais une Élodie ?
À peine ai-je prononcé son prénom qu'il se fige.
- Pourquoi tu me demandes ça ? Et déjà d'où tu la connais. Me demande-t-IL sur un ton froid.
- Elle est dans ma classe.
- Quoi elle est là.
J'hoche la tête et un soupir sort de sa bouche.
- Ce n'est pas à moi de t'en parler. Mais juste, ne te fit pas aux apparences.
Sur se il se lève, et s'en va. Il laisse un petit mot sur un morceau de papier.
Tient mon numéro : 06 ** ** ** ** s'il se passe quelque chose appel moi.
Je prends le papier et me lève, je chercher un livre qui m'intéresse et sors de la bibliothèque, pour rejoindre Juliette.
Les couloirs sont vides, complètement vide. Seulement quelques profs sont là durent la semaine, et les autres sont à leur formation. Ce qui revient à enlever environ 3 heure ou plus, d'heure de cours par jour. Je marche et regarde dans chaque couloir, pour trouver ma petite rousse. Mais au lieu de ça je tombe sur Aiden, il doit sûrement être entrain de chercher quelqu'un car il regarde dans chaque recoin du couloir central. Lorsque son regard croise le mien il semble à la fois soulagé et en colère. Je secoue la tête de gauche à droite et tourne les talons, pour continuer ma recherche.
J'entends des pas lourds derrière moi, il me rattrape petit à petit jusqu'à ce qu'un bras me retienne et m'arrête.Tu vas prendre chère ma petite.
Je fais volte face et le regard droite dans les yeux avant de hausser la voix.
- QUOI ?
- Je peux tout t'expliquer.
- Tu n'as rien à dire, tu fais ce que tu veux, nos ne sommes ''qu'amis'' après tout.
- Non, on ne l'est pas S'il te plaît écoute moi. Je pouvais pas faire autrement je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose s'il te plaît.
- Pourquoi tu dramatises toujours les choses. C'est une simple fille, peu être un peut peste, mais c'est une fille.
- Non tu ne comprends pas, elle est dangereuse, je suis dangereux, tu n'es pas en sécurité. Pas maintenant qu'elle est revenue là.
- Parce que ta chère et tendre est revenue, on devrait oublier notre relation, et nos sentiments.
-..... oui...
J'hallucine. Sérieusement. Les larmes commencent à monter et les premières coules. Je n'aime pas me sentir faible devant les gens que j'aime et encore moins devant ce que je déteste.
- Il avait raison, il ne faut jamais au grand jamais ne se filer aux apparences.
- Qui ta dit ça ? Me demande-t-il sur un ton autoritaire.
- Maxence. Dis-je sèchement.
- Tu étais avec lui pendant que moi je te cherchais et m'inquiétait comme un fou.
- Non Aiden, j'étais avec lui pendant quoi tu étais assis à dire que nos sommes amis, à une fille qui te fait du charme. Je crois que tu avais raison.
- À quel propos ?
- Sur nous, ça ne marcherait pas. Pas si tu ne me parle pas, tu me caches tellement de choses c'est même si je me demande si Aiden Parker est ton vrai nom.
- Je t'ai prévenu depuis le début, je te cache seulement les choses qui pourraient te faire fuir.
J'essuie les quelques larmes et passe à côté de lui, je me retourne et lui dit.
- Comment tu sais que je partirai ? Car là Aiden, tu me fais fuir simplement en me repoussant encore et encore.
Sur ces mots je me retourne et j'éclate en sanglots silencieusement, j'entends des bruits assourdissant des casiers qui claquent encore et encore.
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Maxence :)
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Banale
RomanceJe me prénomme Broke, Broke Wilson. J'ai 17ans et je suis en 1ère Littéraire. Je suis une fille qui n'a rien d'extraordinaire, rien de spécial. Je suis une simple étudiante parmi t'en d'autres. Je me qualifierais comme :....Banale..oui banale, auta...