The Walking Dead: A pretty Liar

Chapitre deux

- Non! non Ash! Ne me laisse pas toute seule! J'ai trop peur! geignit Rachel effrayée.

- Tout ira très bien ma puce, ne t'inquiète pas. Je vais les attirés un peu plus loin pour les tuer et dès que je les ai semé, et je te rejoint chez tonton c'est promis. Tu t'en sortiras, j'en suis persuadé, dis-je d'une voix douce.

Rachel, en larme me vit descendre de l'arbre et courir arme au poing vers la horde, prête à tuer ces choses pour les éloigner d'elle. Rachel ne me quitta pas du regard et dès que le groupe fut partie, elle suivit les consignes et descendit de l'arbre.

Le groupe de ces machins, j'ai pas vraiment le temps de leur trouver un joli nom qui irait à merveille avec leur tête repoussante très franchement. Ils me coururent tous après comme je l'avais prévu pendant une vingtaine de minutes. je m'étais tellement éloignés de l'endroit où j'avais laissé Rachel que j'espèrai seulement qu'elle était indemne.

Je ramassai un petit caillou et je le tirai avec mon arc. Le petit caillou transperça la tête d'une de ces choses. Contente de mon exploit, je reproduis la même chose sur deux d'entre eux. Les voyant approcher, je me remis a courir pour être à bonne distance. Je décochai une flèche dans la tête de l'un deux. Soudain, l'une de ses choses sortis d'un bosquet. Je tombais sur mes fesses. Ce machin ce jeta sur moi. Je me débattis furieusement. Je repoussai un de ses trucs avec un coup de pieds bien placé. Il tomba à terre et je plantai une flèche dans la tête de ce con.

Le temps que je me sorte de cette merde, les autres se furent rapprochés. J'encochai une flèche et je tuai le monstre le plus à droite. Ensuite, je fis pareil avec celui qui fut à sa gauche. Je pris une flèche et je la plantai dans le cerveau de celui qui se rapprochai trop de moi. J'enlevai ma flèche de sa tête et je la plantai dans la tête de l'autre truc qui arriva derrière moi. A la fin, j'avais tué ses huit abominations de la nature. Je ramassai toutes mes flèches et même si j'étais à bout de souffle, je devais rejoindre Rachel. Fatiguée, je courus aussi vite que je le pus en sens inverse.

Pendant toute ma course je crus bien que mes jambes allèrent se dérober sous mon poids. J'espérai de tout cœur que ma petite sœur aie réussit à rejoindre notre en oncle en toute sécurité, même si e mot est bien vaste par les temps qui court. Je vis enfin la lisière de la forêt quasiment en fin de journée et j'aperçus enfin la maison de mon oncle au loin.

La joie de revoir Rachel me donna encore plus de force. Je parcourus les cinq cents mètres à faire. Je pouvais voir enfin la ferme de mon oncle se rapprocher de plus en plus. Je sautai par-dessus la barrière. Je vis mon oncle et mes cousines sortirent et quand ils me virent, l'une de mes cousines, la plus âgée, vint me serrer dans ses bras:

- Bon sang! on était inquiet! on n'avait plus de nouvelle et j'arrivai pas à te joindre, déclara ma cousine en soupirant.

- Mag, tu m'étouffes là. Les communications ne passaient plus et la voiture est morte on a du finir à pied c'est pour ça qu'on a pas pu vous prévenir. Rachel a du tout vous raconter en arrivant. Je suis persuadé d'ailleurs qu'elle ne vous a pas raconté sa tentative désastreuse au tir à l'arc, dis-je en rigolant.

- Rachel? mais elle n'est pas là, déclara mon oncle surpris.

- Oncle Hershel, c'est vraiment pas marrant, rouspétai-je.