La Terre est envahit par les zombies suite à un virus. Ashley Campbell a très vite compris qu'elle allait devoir lutter férocement pour protéger sa petite sœur Rachel.
Alors qu'elles erraient dans les bois, pour rejoindre la ferme de leur oncle...
- Daryl est tiré d'affaire, annonça Carol joyeusement.
Les cris de joies retentirent dans la prison. Rick remarqua les traits tirés par la fatigue d'Ashley. Rick se dirigea vers elle et lui sourit:
- Tu devrais aller t'allonger. S'il y a quoique ce soit, on viendra te réveiller, assura Rick.
Rick s'aperçut qu'elle allait répliquer, mais il lui fit les gros yeux pour la dissuader.
- Bon d'accord... soupira-t-elle.
Ashley entra dans le bloc et s'allongea sur son lit dans la cellule voisine de celle de Daryl. Le sommeil l'emporta, juste après avoir posé la tête sur l'oreiller. Seulement, ce ne fut pas le sommeil le plus réparateur qu'elle est connu.
Kira vint me réveiller quelques heures plus tard. Rick avait bien fait de me dire d'aller pioncer. Je n'avais pas traîner pour m'endormir. A peine avais-je posé la tête sur l'oreiller que je m'étais endormit. Kira m'informa que Daryl était réveillé et qu'il voulait me voir.
J'étais anxieuse rien qu'à l'idée de lui parler. Il faut dire que ça se passait pas très bien entre nous ses derniers temps. Avec tout ce qui s'était passé, ça m'avait aidé à redéfinir mes priorités. Il fallait vraiment qu'on discute. Je me levais tout en m'étirant et en sentant le bébé bouger. Il avait été plutôt calme ses derniers temps d'ailleurs.
Kira me fit un grand sourire et descendit l'escalier. Je tournai la tête et j'aperçus Daryl, les yeux grands ouvert. Il était en train d'aiguiser ses flèches. C'était bien lui ça.
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J'entrai dans la cellule dans un silence dès plus étrange. Il me fixai du regard et je ne savais pas trop quoi en penser. Je me sentis mal à l'aise, ne sachant pas trop par où commencer... Celui qui me dit par le début, je le dégomme.
- J'suis contente de voir que t'es enfin réveillé, marmonnai-je gêné.
- Ouais... Merci, grommela Daryl.
Le silence s'abattit à nouveau dans la cellule. On dirait deux cons qui ne savent pas se parler... En fait, c'est pas on dirait, c'est ce qu'on est.
- Il faut qu'on parle... murmurai-je le visage fermé.
Daryl saisit brusquement ma main à s'en faire grogner de douleur.
