Chapitre quatre

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Quand, ils nous virent arrivé, tout d'abord je l'ai vis sauter de joie, mais quand ils s'aperçurent que l'on vint de pleuré, leurs visages réjouis se changèrent en tristesse. Je posai le corps de ma sœur avec délicatesse, non loin de la maison, puis Maggie m'accompagna pour aller chercher la pelle. Je creusai un trou pour enterrer ma sœur sur le côté Est de la maison sans prononcer un seul mot.

Je déposai le corps de Rachel à l'intérieur, puis je recouvris son corps. Toute la famille se réunit pour rendre un dernier hommage à mon petit rayon de soleil. Je fus tellement bouleversé que je ne pus rien dire. Comment résumé en quelques mots ma petite sœur que j'aimais tant. Nous restâmes là pendant un certain temps, puis un à un, ils rentrèrent tous dans la maison. Je fus la dernière à partir quand il fit nuit. Qu'allai-je devenir sans elle maintenant...



Depuis la mort de Rachel, dix mois étaient passés. Ashley avait arrêté de sourire et elle passait e plus clair de son temps dans la forêt ou approvisionner la ferme. Elle était devenu comme une terre dépourvu de soleil, comme une coquille vide si vous préférez. Quand l'un des membres de la famille Greene au début avait prononcé le nom de Rachel, Ashley était partit chasser. Hershel se faisait beaucoup de soucis pour sa nièce, mais dès qu'il abordait le sujet, Ashley écoutait deux secondes avant de se sauver dans la forêt. Depuis, le nom de Rachel était tabou en sa présence. Ashley avait totalement changé, elle était devenu totalement distante avec sa famille... Un vrai loup solitaire comme l'avait imagé Jimmy le petit-ami de Beth.



Un matin comme tout les autres, je m'étais réveillé, puis j'avais pris une douche et j'étais descendu prendre le petit déjeuner avec le reste du groupe. Rien de très extraordinaire. Otis fut à la chasse de son côté. Il faut dire, que j'avais mes coins et lui les siens, donc on ne risquait pas de se marcher dessus. Je partis du côté Est de la forêt ou se trouvait généralement les plus beau daim et lapin du coin.

Malgré tout ce qui était arrivé l'année dernière, je me sentais plus en paix dans la forêt. La nature ne me jugeait pas et ne me tenais pas rigueur de mes actions passés, ni de mes fautes... Je marchais toujours avec prudence, car je croisais souvent des rôdeurs dans le coin ses derniers temps, mais sinon la plupart du temps, la forêt était calme.

J'entendais les oiseaux chanté et le bruit de la rivière qui coulait en contre bas. Soudain, je remarquai des traces encore fraîche. Je ramassai un petit cailloux, puis je visai l'arbre. Le bruit fit fuir les oiseaux et trois petits lapins sortirent de leur terrier. Je tuais les lapins avec une flèche pile dans l'œil par lapin. Je nouai les lapins entre eux à l'aide d'une ficelle que j'accrochai à ma ceinture. Je continuai à chasser encore un petit moment avant de prendre la route qui menait à la ferme, mais sans me presser.



En entrant dans la maison, je vis deux hommes dont l'un portait l'uniforme de policier. Je regardai Otis avec Maggie qui n'eurent pas l'air pris en otage. Je jetai un regard méfiant sur les deux hommes et je fus prête à tirer si les deux hommes furent suspect.

- Il se passe quoi ici? demandai-je suspicieuse.

- C'est mon père qui les a fait entrer. Otis a tiré sur un cerf, mais la balle à traversé le daim et six éclats ont touchés le fils de Rick, Carl, expliqua Maggie.

The Walking Dead: A pretty LiarOù les histoires vivent. Découvrez maintenant