... La patrona...

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A l'entente de mon nom , elle resta stoïque , bouche bée et elle avait l'air comme inconsciente comme si des souvenirs lui revinrent ; ce que je voulais la terroriser . Cette femme avait été une vraie déséquilibrée mentale , les traitements qu'elle nous avait subir , elle allait le payer et j'allais personnellement m'en occuper . Quelques heures avant , j'étais euphorique due à ma réconciliation avec Alvaro , mes souvenirs d'enfance avec Inez et la rencontre avec ce fameux Carlos cependant à cet instant , j'étais redevenue face à cette femme , un humain incapable de ressentir quoique ce soit ; je n'aurais aucune pitié face à cette créature . Voyant qu'elle ne réagissait point , je la poussais d'une manière puissante et pénétra dans son auberge de luxe . Elle vivait avec beaucoup de moyens pensais-je mais maintenant que son établissement eut été incendié que faisait-t-elle ? Passons... Alvaro me suivit de derrière mais la dame n'avait pas l'air enchantée de notre venue

La dame à la coupe au carré : D'où sortez vous ? Et pourquoi êtes vous cagoulés ?
Alvaro : Les questions c'est nous qui les posons , pas vous ! Votre demeure est fabuleuse , mais c'est étranger pour quelqu'un qui n'a plus d'activité professionnelle...
La dame à la coupe au carré : Qu'est ce que vous en savez , jeune-homme insolent ?
Alvaro : C'est simple , j'étais un de vos patient !

La dame releva ses yeux et regardait intensément Alvaro comme pour le reconnaître mais c'était peine perdue ; il avait réellement changé depuis ...
La dame : Vous me faites marcher pour me faire peur mais ça ne fonctionne pas alors retournez d'où vous venez !
Moi : Je suis aussi une de vos anciennes patientes ! Vous m'avez fait subir ce traitement atroce , vous avez été payé par Faiza Dos Santos et vous avez pris à malin plaisir à m'emfermer ma soeur et moi dans la " Maison Enchantée " , vous vous en souvenez ?

Elle tremblotait et son teint était devenue pâle , et en m'observant elle était terrifiée comme si elle avait revu un fantôme...
La dame à la coupe au carré :- en bégayant- Vous êtes une des Villanueva ?
Moi : Sin broma ( Sans blague) ! Ah vous ne comprenez pas l'espagnol pas étonnant... Quoiqu'il en soit vous allez nous aider à piéger Faiza !
La dame à la coupe au carré : - toi sourire- Jamais ! Jamais je ne trahirais Madame Dos Santos !
Moi : - avec une voix ferme - Écoutez moi bien espèce de garce , si vos antécédents parvenaient aux oreilles de la police , vous serez foutu . Vous croyez réellement que Faiza Dos Santos va vous aider à sortir ? Non elle se moque royalement de vous !
La dame à la coupe à la coupe au carré : Bien tenté mais ça sera un non , plutôt mourir que de la trahir !
Moi : - en m'approchant d'elle - Hum...et elle-t'elle au courant que nous sommes en vie car selon certains dires , elle nous croit encore mortes , que dira-t-elle quand elle saura qu'on est bien en vie ?
La dame à la coupe au carré : Vous n'oserez pas !
Moi : Déjà fait !

Dans un élan de colère et de fureur , elle essayait de m'enlever ma cagoule mais par chance , je savais bien le défendre alors je lui fis un croche pied et elle tomba à terre , je me mis sur elle et Alvaro lui me laissa faire , il avait confiance en moi et savait que je n'irais pas loin , enfin... Je pensais qu'elle aurait coopéré avec nous mais elle continua à être désinvolte

La dame à la coupe au carré : Faiza a bien fait de tuer vos parents vous n'êtes qu'une garce !

Je lui infligeais une énorme claque , elle se débattait et essayait à nouveau de m'enlever ma cagoule et cette fois ci elle y était presque , j'essayais de me débattre , de trouver une issue quand.... un couteau ! J'avais pris par précaution un couteau que j'avais mis dans ma chaussure , alors je le sortis et lui dit :
Moi : Vous allez payer pour ce que vous m'avez fait à moi et ma soeur .
La dame à la coupe au carré : - en riant - Je n'hésiterais pas à vous faire souffrir à nouveau , voir vos têtes dans ce seau à eau glacé , vous faire électrocuter , vous droguer , j'eus pris un malin plaisir à vous voir souffrir et j'espère qu'Inez ou qu'elle soit souffre encore de ses viols .

Ils ne pensaient pas que je reviendrais ...-La Patrona-Où les histoires vivent. Découvrez maintenant