Quand Le Futur Débarque. {Corrigé}

Chapitre 16: Explications... Presque vraies.

Depuis que Harry avait eût la connaissance de sa puissance et de ses dons, environ deux mois auparavant, il s'entrainait d'arrache-pied pour en connaître davantage et maitriser le surplus de puissance qu'il possédait. Les vacances ne l'empêchait pas de continuer, bien au contraire. Donc, il allait souvent, seul, dans la salle sur demande pour s'entrainer. Ses amis étaient inquiets, ne comprenant pas pourquoi il s'entraînait autant. Il commençait doucement à contrôler la base de sa magie élémentaire, et s'entrainait à voir les Auras lorsqu'il était entouré d'autres personnes.

- Harry! Stop! Lui ordonna James alors qu'il allait sortir de la salle commune.

- Que.. Quoi? Demanda la concerné, abasourdi par cette exclamation.

- Arrête d'aller t'entrainer! Même Lily ne travail pas autant. Dît Dorcas.

- Et ce n'est pas rien. Enchaîna Alice.

- Elles ont raisons. Déclara la voix rêveuse d'Irina.

- Ho, c'est bon, il n'y pas quelqu'un d'autre avec qui le comparer.

- Remus non plus ne travail pas autant. Dît James.

- Ouais, bon.. Grogna le lycanthrope.

- Allez Harry, c'est les vacances. Souffla Sirius.

- Vous ne comprenez pas, je dois m'entraîner, encore et encore. Je n'ai pas de temps à perdre, à me reposer. S'exclama Harry.

- Je ne vois pas pourquoi, t'es hyper fort. Même que quand tu fait de la magie, tes yeux changent de couleur.

- Ouais, mais je dois continuer de m'entraîner, pour les venger.

- Venger qui? S'étonna tout le monde.

- Asseyez-vous, je vais vous expliquer certaines choses.

Ils le firent et attendirent. Il devait leur en parler, pour qu'ils comprennent, et puis ils étaient ses 'amis' ils avaient le droit de savoir une partie de la vérité et il avait besoin de le leur dire. Il souffla péniblement, regardant son bracelet avec appréhension'.

- Harry. T'es sûr de pouvoir le faire? Demanda Hermione, légèrement paniquée.

- T'inquiète, je sais ce que je dois faire.

- Que se passe-t-il Harry ? Tu m'inquiètes. Avoua Lily.

- Voilà, je vous ai menti.

- Sur quoi? Demanda Sirius.

- Chuuuuut! Dirent-ils tous.

- Arght, grognat-il.

- Mes parents, sont, aïe.. Mort.

- Pourquoi t'as mal quand tu nous le dis ? S'enquit Dorcas.

- Parce qu'il a une bracelet du silence. Annonça Irina.

- Un quoi? Demandèrent Dorcas, Alice, James, Peter et Sirius.

- Vous ne lisez donc jamais ? C'est un bracelet elfique. Quand on a un secret trop important, on le concentre sur le bracelet et quand tu en parles, il te brûle, ça peut laisser des grosses cicatrices.

- Oui, elle a raison. Donc mes parents sont...

- Oui, on sait, ne t'obliges pas à le répéter.

- Ils ont été tué par Voldemort, en personne, quand je n'étais qu'un bébé. J'ai habité avec mon parrain, qui est... Mort l'année passée. On est venu ici parce que c'est la meilleure école de sorcellerie et pour que nous ayons une protection, plus pour Mione que pour moi, le temps de préparer un plan.

- Bon d'accord. Mais demain c'est Noël et tu ne t'entraineras plus jusqu'à la rentrée. Et c'est un ordre! Ordonna Lily.

Harry aurait voulu refuser mais dans un coin de sa tête, un voix lui disait que c'était le premier ordre de sa mère, il ne pouvait pas l'ignorer, même en adolescent rebel. Pour finir, il acquiesça et ils terminèrent leur journée tranquillement.

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- Harry ! Harry ! Debout ! S'écria une voix. Allez, debout, c'est Noël.

Harry grogna mais daigna lever la tête et vit James et Sirius sauter partout, Remus secouer la tête en rigolant et Peter mort de rire. Cette scène le fît sourire et se lever. Il décida d'aller se doucher et de s'habiller.

- On descend maintenant. S'écria Sirius, en courant vers l'escalier.

- On dirait des enfants. Rigola Remus.

Ils attendirent les filles pour l'ouverture des cadeaux et quand elle arrivèrent, James, Sirius, Dorcas et Alice, étaient très enthousiastes, c'était assez drôle à voir.

Ils ouvrirent les cadeaux, Harry avait reçu un bracelet roue et or avec un "H" comme fermeture de la part d'Hermione. Il la remercia en l'embrassant. Il ouvrit le reste de ses paquets et attendit que tout le monde ouvre les leur. Ils avaient tous l'air heureux de leur cadeaux. Après les avoir tous ouvert, ils allèrent petit-déjeuner.

- Eh ! Vous avez remarquer que tous les professeur sont là sauf Poidrut. Fît remarquer Harry.

- T'as raison, mais il est peut-être avec sa famille pour les fête. Imagina Lily. J'adore Noël.

- Pourquoi aimes-tu tant Noël? Demanda James.

Lily était un peu gênée de lui adresser, mais répondît quand même:

- C'est une fête merveilleuse. La plupart du temps, on le fête en famille mais Poudlard est ma deuxième maison, donc c'est pareil. Il y a une légende Moldue sur cette période.

- Ah oui, et elle raconte quoi? Demande Sirius, toujours heureux d'en apprendre plus sur les Moldus, afin de s'éloigner de sa famille.

- On dit qu'une fois un ange nommé Gabriel, annonça à une jeune femme, vierge, qu'elle était enceinte.

- Euh, comment? Demandèrent les sangs-purs, perplexes.

- C'est ce qu'elle se demandait. Cette jeune femme, s'appelait Marie. Donc elle posa la question à l'ange et il lui dit que c'était un "cadeau de Dieu"et que cet enfant sera son fils.

- Qui est Dieu?

- Ho, c'est la croyance divine des Moldus catholique, c'est un peu comme Athéna, Poséidon, Zeus.. Enfin tu vois? L'aida Hermione.

- Donc cet enfant est né dans une étable le 25 décembre. Plusieurs jours plus tard, trois rois mages, Melchior, Gaspar et Balthazar, auraient été guidés par une étoile filante jusqu'à l'étable afin de rendre hommage au "roi des juifs" c'est de cette manière qu'il se fît connaitre. Il lui offrirent de l'or, du myrrhe et de l'encens. Sinon la suite ça ne parle plus de Noël. Expliqua Lily.

- Il a vécu dans une étable ?

- Il est né là-bas et on dit qu'il a été rechauffé par le souffle d'un âne et d'un bœuf.

- Ils ont des histoires intéressantes les Moldus. Se réjoui Sirius.

- Je confirme. Répondît James. Mais s'il était juif, pourquoi tu parles de catholiques ?

- Ho, et bien, il a fait naître le christianisme, on le surnommait le Christ.

Après cette belle légende, ils continuèrent de manger et allèrent dans le parc, où ils s'installèrent contre leur arbre favori.

À suivre...