Chapitre 22

2.7K 153 12
                                    


Après avoir bu l'apéro, nous passons à table. Les filles et moi nous partons dans la cuisine, pour commencer à servir les assiettes. Après avoir servi les autres invités, nous passons aux assiettes de des gars. On met l'ingrédient dans leurs assiettes, et on part leurs amener. Fabien avait prit les nôtres au cas où ! Je m'assois à côté de Valentin et ont commencent tous à manger. Pendant le repas, avec Fabien et les filles on surveille les gars manger. Ne vous inquiétez pas, le "caca en pipi" comme dirait Fabien, ne dure que cinq jours. On est pas si méchant que ça !

Quand d'un coup, ils commencent à faire des têtes bizarre. Puis ils courent à toute vitesse aux toilettes. Avec Fabien et les filles on rigole en silence. Les autres doivent se demander qu'est-ce qu'il se passe. Fabien leur dit que c'est une longue histoire et qu'ils ne peuvent pas comprendre. Quelques minutes plus tard, ils reviennent, s'excusent et se remettent à table.

Valentin : Je peux savoir ce que vous avez fait ? Dit-il en chuchotant.

Moi : Bas rien pourquoi ? Dis-je d'un ton innocente.

Valentin : T'inquiète tu vas pas rire longtemps. Dit-il en faisant un clin d'œil.

D'un coup je ressens une légère pointe de peur. Je prends mon téléphone discrètement et envoie un message à Fabien.

[Moi :

- J'ai peur :(

Il ne tarde pas à répondre :

[Fabien :

- Moi aussi :(

[Moi :

- On est dans la merde !

[Fabien :

- Ouais. Ça te dis qu'on aille sauter d'un pont ?

[Moi :

- Avec plaisir ! En plus Valentin m'a dis que je ne vais pas rigoler longtemps ! :(

[Fabien :

- Bas moi Mathéo m'a dis que je vais le payer ! Et Tyler a dit qu'il déteste avoir la chiasse ! Alors je vais mourir... AU SECOURS !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je rigole devant son message et je reviens dans les discutions. Quand Fabien, il avait une tête de chien battu. Je ne peux pas m'empêcher de rire ! Le repas terminé, avec les filles on va chercher le dessert. Pour le dessert on a fait des macarons qu'on acheté bien sure ! Plus de la fontaine en chocolat... LA VIE !! J'appelle Fabien pour qu'il vienne nous aider.

Fabien : On va souffrir les gars !

Nina : Carrément ! Quand j'ai vus la tête de Mathéo je peux vous dire qu'on a intérêt d'aller se cacher !

Camille : Ils vont sûrement faire quelque chose ce soir. Quand ils sont revenue se mettre à table, ils parlaient. Donc c'est sûrement leur plan. Et quand je suis monter tant tôt, je les ai entendu dire qu'ils allaient agir ce soir.

Moi : J'ai envie de pleurer !

On rigole en même temps de pleurer. Pour de faux bien sure ! Après notre petit moment de chagrin, Fabien apporte la fontaine en chocolat. Avec les filles on apportent les macarons plus les chamallows qu'on va manger avec le chocolat. Oui on va prendre cinquante kilos en une soirée mais c'est pas grave ! On va bien se péter le bide ! Après avoir tout installé, Valentin prend la parole :

Valentin : Après le dessert, je vous propose de faire des jeux ?

Tout le monde (sauf Valentin) : Pourquoi pas !

Je le sens pas. Je sais pas pourquoi mais je le sens pas ! Après avoir manger ce délicieux dessert, nous sortons dehors. Il est vingt trois heures mais il fait toujours autant chaud. Le jeux de Valentin consiste à : des personnes doivent se mettre devant un mur et ils essayent d'évité les tomates qu'on leur lance. Et bien sure les personnes sont moi, les filles et Fabien. Super ! On se met devant le mur et Rick met de la musique. Que le jeu commence.

Fabien : Ok on est mort là. J'étais content de vous connaître !

Moi : Ouais j'ai passé de bon moment avec vous !

On se fait un câlin collectif, et on se met en place. Et je peux vous dire que les gars se font plaisir à lancer les tomates ! Ils lancent fort ces cons ! Les autres rigolent... bon même nous ! Je peux vous dire qu'on va prendre une bonne douche ce soir ! Au moment ou nous allons partir, on reçoit chacun un seau de peinture. Les connards !

Nina : Vous êtes sérieux là !

Mathéo : Oui bébé. Dit-il en riant.

J'ai eu une idée.

Moi : Valentin vient me faire un câlin. Dis-je avec un sourire.

Valentin : Non sans façon !

Je commence à courir mais il n'avait pas percuté donc il n'a pas eu le temps de se mettre à courir. Je saute dans ces bras et on rigole ensemble. Je lui en met partout sur le visage en rigolant. Il prend mon visage entre ses mains et m'embrasse.

Phone playOù les histoires vivent. Découvrez maintenant