Chapitre 3

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Il me regarda, d'un air interrogateur.

-Je ramasse votre vomis et ça vous fait rire, sérieusement là? Me lança t-il

-Hé beau brun, un coup tu... Un coup vous... Un coup rire.... Un coup énervé.... Je veux rentrer chez moi, et sauté dans mon lit...

J'avais la tête qui tournais, je disais sûrement n'importe quoi et je me taper la honte devant un beau mec. J'avais vraiment perdu ma journée moi. Enfin, il devait être au moins sept heure du matin maintenant donc j'en commençais sans doute une autre.

- Bon sinon tu habites où? Me demanda le beau brun en question.
Il remonta dans sa voiture, prêt à répartir.  Il avait retiré les tâches , mais j'avais vraiment honte de l'odeur noseabonde que je le lui laisser en cadeau de merci.

-A côté de la cafet'. Lui répondit - je
- Quel cafétéria ? Attend on est à Paname,  y'en à pas que une dans le coin de cafét !

Je n'ai plus eu la force de répondre, et m'endormis.

La chaleur du soleil me tapait sur le visage, la brume me caressait la joue, la fenêtre était sûrement ouverte... Je bailli, souleva la couette rouge toute douce... La couette rouge ? Je n'avais pas de couette rouge dans mon lit ! Je fis un bond sur le lit, position assise et je regardais autour de moi. Petite chambre. Mais pas ma chambre. Je ne savais pas où j'étais. Je ne comprenais plus rien à la vie. Je décida de ma lever et franchis la porte pour aterir dans un salon, ouverte sur une cuisine. Un petit appartement de cinquante mètre carré , pas plus. Je cherchais désespérément quelqu'un, quand le beau brun de la veille sortis de la salle de bain (oui j'en ai déduis que c'était la salle de bain parce qu'il était vêtu d'une simple serviette à la taille.)

-Ah salut, tu es enfin réveillés ! S'exclama t-il.
-Pourquoi je suis ici ? C'est chez toi? T'as dormis où ?  Pourquoi je ne suis pas chez moi? J'étais perturbé , je ne savais même pas quel heure il était !

Il me regarda avec humour, en souriant.

-Tu étais complètement ivre, et quand je t'es demandais où tu habitais, après avoir repeint ma voiture de ton vomis, tu m'as simplement répondu à coter de la cafét,  alors je ne savais pas trop où t'emmenais. Mais ne t'inquiètes pas, après ton histoire de mycose et de vomis, je t'es simplement laisser pour "morte" dans mon lit en retirant tes vêtements qui puais horriblement et t'ai donc prêter une chemise et j'ai pris le canapé. Me dit-il d'un ton ironique.

Ah oui l'histoire de la mycose, ça marche à tout les coups, ahah. Il aurai pu s'abstenir de me mettre à poil quand même. Bon ok, je suis streap- teaseuse mais en dehors du boulot, j'ai des valeurs. Allez, je n'allai rien dire, valait mieux ça que de dormir dans son vomit.

-Il est quel heure ? Lui demandais - je tout de même, parce que j'avais complètement perdu la notion du temps.
- quatorze heure. Et oui tu as bien dormis! Tu faisais quoi si tard toute seule ? M'interrogea t-il en prenant un air plus sérieu et en me servant un café.

Je réfléchi un instant. Je n'allai pas lui dire que je sortais d'un bar parce que je décompresser après mon gala de streap. Si je lui dis, je pense que cette fois il me prendrais pour une demeuré ou une femme complètement paumé qui a besoin de sex et qui, donc, se promène seule la nuit en recherchant une proie.

-Oh rien, petite fête avec des collègues. Je fais des études de droits. Mentis - je , après tout, je ne le verrais sûrement plus.

-Des études de droits, vraiment ?

-J'ai l'air si débile que ça ?

Il riait encore. Décidément,  il avait un grand sens de l'humour ce beau brun. Bon, j'avoue je mattai ces abdos depuis tout à l'heure.

Femme libre.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant