Mullingar - Niall H ( Tome Deux )

Chapitre Onze

Gregory Lemarchal - Et maintenant

--- Et maintenant que vais-je faire ?

De tout ce temps que sera ma vieDe tous ces gens qui m'indiffèrentMaintenant que tu es partie
Toutes ces nuits, pourquoi pour qui ?Et ce matin qui revient pour rienCe coeur qui bat, pour qui, pourquoi ?Qui bat trop fort, trop fort ---

Nous sommes rentrer des Bahamas depuis quelques jours maintenant, et je croule sous le travaille à terminé. Sa fait quatre heures que je suis enfermée dans ce bureau à la noix alors que derrière cette porte mon mari et mon fils font la fêté dans le salon. Sa me fait bizarre quand je pense à Louis en tant que mari et plus en tant que meilleur ami, Mais je suis toujours certaine que ma décision était la bonne. Aussi bien pour moi que pour Louis qui est notre fils à tout les deux aux yeux de la loi Américaine.

Plongée dans mes pensées, je n'ai pas entendu Lou entrer dans le bureau, alors quand je sens une main se posée sur mon épaule ces tout naturellement que je sursaute. Une main posée sur le coeur, pour montrer ma peur, je l'interroge du regard.
Sa mine ne présage rien de bon et le téléphone qu'il tient dans sa main le confirme ma réflexion.

Quelqu'un demande à te parler mon ange.

Qui est ?

Pour ton réponse, il hausse les épaules et quitte le bureau me laissant seule face à mes questions et ce téléphone pour seule réponse. C'est donc méfiante que je commence à parler dans le combiner.

allo ?

Le silence que j'entend à l'autre bout du fils est pesant et il commence sérieusement à m'inquiéter. Je suis un froussarde en plus, je déteste ce genre de blague au téléphone.
Je m'apprête à raccrocher quand j'entend une personne sangloter. Mon coeur ce serre et commence à prendre un rythme peu habituelle, signalent ma panique intérieur.

Qui est ce ?

J'ai apparement parler un peu fort car Lou déboule dans le bureau à une vitesse folle. Il s'apprête à prendre le téléphone quand la personne ce décide enfin à parler.

Mélanie ?

Je me fige quand je reconnais la voix de la personne au bout du file. Une catastrophe a dû arriver pour qu'elle ose m'appeler après plus de dix ans. La panique laisse place aux désarrois dans mon corps, mes mains commence à trembler.

Anne ? Comment a tu eu mon numéro de Fix ?

Écoute, je me force à t'appeler par respect pour maman, car tu sais aussi bien que moi que tu ne mérite aucunement d'être informer que notre mère est morte d'une overdose ce matin même. Elle sera enterrer mardi, si tu veux faire acte de présence, tu n'es pas obliger ! Sache que personne ne veux de ta présence à cette enterrement. Comme je te l'ai dit il y a quelque minutes ces juste de la politesse, pas la courtoisie.

Je n'ai pas eu le temps de lui répondre quoi que ce soit qu'elle avait raccroché. De toutes façon qu'est ce que j'aurai pu répondre à ça.